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25 février 2011

¤ Le Président islandais en appelle au peuple

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 9 : 23

Brèves /

source : http://www.solidariteetprogres.org/article7454.html

22 février 2011 – 13:36 22 février 2011 (Nouvelle Solidarité) – Pour la deuxième fois en un an, le président de l’Islande, Olafur R. Grimsson, a refusé de signer un accord adopté par le parlement, destiné à compenser les pertes britanniques et hollandaises découlant de la faillite de Landsbanki Islands hf, en octobre 2008. A la place, il compte tenir un référendum sur la question.

C’est en décembre que cet accord avait été conclu, prévoyant de rembourser les 5 milliards de dollars de pertes enregistrées par des déposants anglais et néerlandais, accord approuvé le 16 février par 44 des 63 législateurs islandais. Les citoyens s’étaient cependant mobilisés, plus de 42 000 des 318 000 habitants de l’île (soit plus de 13 % de la population) signant une pétition demandant au Président de bloquer l’accord. Après réception des signatures, Grimsson a décidé de soumettre le projet à un plébiscite. La législation précédente sur le même accord avait été rejetée par 93 % des électeurs en mars 2010.

Grimsson a souligné la volonté populaire de « voir le peuple, aux côtés du parlement, agir en législateur dans cette affaire ».

¤ Irlande : il est encore temps de griller les créanciers internationaux !

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 9 : 19

Brèves /

source : http://www.solidariteetprogres.org/article7455.html

22 février 2011 – 14:39 22 février 2011 (Nouvelle Solidarité) – A trois jours d’une élection générale décisive pour l’avenir de l’Irlande et de l’Europe, le chef du parti corrompu Fianna Fail n’a pas peur du ridicule et tente tout ce qu’il peut pour récupérer des voix ; il accuse le Sinn Fein de mentir au peuple lorsqu’il affirme que l’Irlande peut rejeter unilatéralement le plan de renflouement UE/FMI.

Le Président du Sinn Fein, Gerry Adams, a répondu que cela ne fait que confirmer la « folie » qui gouverne le parti au pouvoir. « Ce n’est pas le Sinn Fein qui est responsable de la crise économique ; ce n’est pas le Sinn Fein qui a abandonné ce qui restait de notre souveraineté ; ce n’est pas le Sinn Fein qui a fait passer l’intérêt des gros banquiers et des plus fortunés avant l’intérêt des citoyens irlandais. Le Sinn Fein affirme que les contribuables ne peuvent pas assumer le plan de renflouement UE-FMI. Et notre conception est partagée par de nombreux économistes reconnus. »
Le parti de Gerry Adams a d’ailleurs annoncé qu’il organisera un referendum pour que le peuple décide d’abandonner ou non le plan.

La ligne de fracture de ce referendum a d’ailleurs été tracée par l’économiste irlandais David McWilliams dans un article intitulé « Il est encore temps d’économiser plusieurs milliards ». McWilliams est le créateur du site web thepeopleseconomy.com ayant pour but de répondre aux questions des citoyens sur le renflouement et d’organiser des cours pour les candidats qui veulent des solutions. Dans son article, il propose la tenue d’un referendum sous l’égide de l’article 27 de la Constitution – « les enjeux d’importance nationale » – pour restructurer la dette des banques irlandaises et la séparer de la dette souveraine. « Cela donnerait au gouvernement le mandat pour dire à la BCE que l’on a pas d’autre choix que de rendre les dettes à qui elles appartiennent » !

¤ Wisconsin : la « grève de masse » s’étend

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 9 : 16

Brèves /

24 février 2011 – 13:15

source : http://www.solidariteetprogres.org/article7458.html

24 février 2011 (Nouvelle Solidarité) – Depuis que les Wisconsinois se sont levés en masse la semaine dernière contre le budget d’austérité du gouverneur républicain Walker, qui prévoit la fin du droit de négociation collective pour les employés d’Etat, le ferment s’étend à tous les Etats-Unis : des rassemblements ont lieu dans l’Ohio, l’Indiana, l’Iowa, le Michigan, le Massachusetts et le New Jersey. Des messages de soutiens sont arrivés de plusieurs dizaines de pays. Hier à Washington, des milliers de personnes se sont rassemblées en signe de solidarité avec les combattants du Wisconsin qui occupent le parlement depuis 10 jours, demandant la démission du gouverneur Walker et la fin de l’austérité qui frappe l’ensemble des Etats américains.

Mais, comme le souligne dans une déclaration commune les candidats du Comité d’action politique de Lyndon LaRouche, distribuée dans tous les Etats-Unis, ce ferment est mondial et l’austérité est la politique menée et encouragée par un Président Obama qui a renfloué Wall Street et les grandes banques internationales.


La grève de masse mondiale exige Glass-Steagall

Déclaration conjointe des six démocrates larouchistes candidats au Congrès pour 2012. Elle doit être diffusée le plus largement possible afin de donner une orientation stratégique aux centaines de milliers d’américains qui se joignent à la vague de protestation qui saisit le pays pour défendre leurs droits de citoyens contre un régime fasciste.

Comme le montrent les pancartes brandies dans le Wisconsin en soutien au peuple égyptien et le défilé de nations qui joignent leur voix à cet appel à la justice, il est clair que chacune de ces manifestations n’est pas un phénomène local. L’ensemble de l’humanité se lève contre quarante années de mondialisation, contre des prix alimentaires artificiellement élevés dont la cause est la politique de renflouement hyperinflationniste menée par Paulson, Bernanke et Obama. Des centaines de milliers de milliards de dollars ont été distribués à un système financier « casino » en état de faillite et qui, comme l’a récemment souligné le rapport de la Commission d’enquête sur la crise financière (FCIC), repose sur une vaste fraude ayant directement provoqué la crise dans laquelle nous sommes plongés.

Gouverneurs, conseils municipaux, employés du service public et citoyens se tournent les uns contre les autres pour savoir à qui la faute des « dépenses excessives » ; ce débat est à côté de la plaque. Le rapport de la FCIC montre, ce que le Président fantoche Obama a refusé de reconnaître, que la crise est la conséquence de décennies de démantèlement des lois bancaires qui assuraient la séparation entre les fonctions économiques vitales et la spéculation des prédateurs financiers – en particulier la libéralisation des paris financiers dérivés et l’abrogation en 1999 de la loi Glass-Steagall. C’est ainsi que nos villes et nos Etats se retrouvent en faillite, avec des revenus en chute libre et des demandes d’aides qui se multiplient, sans perspective d’amélioration.

S’il avait été rétablit l’an dernier, Glass-Steagall nous aurait évité cette situation. Le Président Obama s’y était alors opposé, comme il s’y oppose encore aujourd’hui, parce que Glass-Steagall détruira l’ensemble du système financier de la City de Londres. Non seulement les hedge funds et autres spéculateurs seront mis en faillite, mais les gouvernements de par le monde, menés par les Etats-Unis, auront réaffirmé la primauté du droit des citoyens et de l’intégrité de leurs économies nationales sur les paris financiers des putains de Wall Street et de leur mère impériale britannique. Une fois cette masse folle de dettes financières éliminée, le gouvernement fédéral pourra émettre du crédit destiné aux projets d’infrastructure comme NAWAPA, afin de relancer la production physique et alimenter les Etats en fonds d’urgence.

C’est à cause de cette situation sans précédent et du manque criant de leadership politique, que nous avons décidés de lancer nos candidatures. Mais nous sommes dans un de ces moments de l’histoire où l’action se déroule au delà de l’agenda électoral. Ce qui semblait vrai hier, se révèle faux aujourd’hui. Le bain de sang dans lequel a fini la Révolution française nous pose frontalement la question de savoir si les décisions que nous allons prendre dans ce moment de bouleversement vont engendrer un changement durable vers une qualité d’existence meilleure ? C’est pour cela que nous exigeons la réaffirmation des principes « auto-évidents » de notre Constitution et de notre déclaration d’Indépendance à travers deux mesures : l’éviction immédiate d’un Président Obama mentalement atteint et le rétablissement de la loi Glass-Steagall.

Les principes fondateurs de notre nation ont délibérément une portée universelle, et leur caractère « auto-évident » réapparait soudainement comme une vérité légitime, en réponse à plusieurs décennies de politiques destructives dans le monde entier. Comme l’a écrit Alexandre Hamilton en 1775 : « Les droits sacrés de l’humanité ne doivent pas être relégués au rayon des vieux parchemins ou des archives qu’on laisse moisir. Ils sont inscrits, comme par un rayon de soleil, dans toute la magnitude de la nature humaine. » Notre gouvernement a été créé pour être l’institution du peuple et doit donc redevenir le véhicule de nos intérêts plutôt que de ceux du système impérial britannique. La FCIC l’a démontré clairement : ce système a provoqué l’effondrement de toute l’économie mondiale ; si nous continuons à nous faire hara-kiri pour le défendre, c’est que nous ne sommes moralement pas aptes à survivre.

Rachel Brown (Massachusetts), David Christie (Washington), Bill Roberts (Michigan), Kesha Rogers (Texas), Diane Sare (New Jersey), Summer Shields (Californie)

16 février 2011

¤ Prêt à jeter

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¤ De sa prison, Bernard Madoff accuse

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 10 : 19

source : LEMONDE.FR avec AFP | 16.02.11 | 06h51  •  Mis à jour le 16.02.11 | 07h21 

Condamné à cent cinquante ans de prison, Bernard Madoff, 71 ans, purge sa peine dans un pénitencier situé près de Raleigh, en Caroline du Nord.

Condamné à cent cinquante ans de prison, Bernard Madoff, 71 ans, purge sa peine dans un pénitencier situé près de Raleigh, en Caroline du Nord. REUTERS/SHANNON STAPLETON

L’escroc américain Bernard Madoff, qui purge une peine de cent cinquante ans de prison, déclare dans un entretien publié par le New York Times qu’un certain nombre de banques et de fonds d’investissements étaient nécessairement au courant de sa fraude.

« Ils ne pouvaient pas ne pas savoir », déclare M. Madoff au quotidien, affirmant que ces établissements non identifiés étaient d’une certaine manière « complices » de la gigantesque fraude qu’il avait montée. « Leur attitude était en quelque sorte de dire : ‘Si vous faites quelque chose de mal, nous ne voulons pas le savoir’« , ajoute celui que l’on surnomme « l’escroc du siècle ».

Arrêté à la fin de 2008, M. Madoff a été reconnu coupable en juin 2009 d’avoir organisé une gigantesque fraude pyramidale dans laquelle ses quelque seize mille victimes ont perdu au total les plusieurs dizaines de milliards de dollars qu’elles lui avaient confiées.

Irving Picard, le mandataire désigné pour représenter les victimes de M. Madoff, a déposé une plainte le 2 décembre contre la banque américaine JPMorgan, l’accusant d’avoir été « entièrement complice » de la fraude montée par l’ancienne étoile de Wall Street, en ayant choisi « sciemment », comme d’autres établissements financiers, de « détourner les yeux ».

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