¤ Chemtrails et de géo-ingénierie: le Smoking Gun de la Société royale du Parlement britannique

source : http://prigioniero.6serve.com/CHEMTRAILS-SMOKINGUN

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Posté par number6 le 27. Avril 2012 – 20:54

 Messieurs Attention pourquoi le prisonnier que vous présentez n’est pas «l’un des nombreux documents, mais un rapport d’un comité scientifique au Parlement britannique en 2010 par la Royal Society (celle de Sir Isaac Newton, par exemple) Ce monsieur et des preuves irréfutables que ce qui prouve ce que de nombreux chercheurs indépendants dire sur les chemtrails et non pas seulement «vrai, mais confirme ce qui avait été dit ces dernières années, les études réalisées à Sanremo pense que personne en train de lire cet article, sera en mesure de« échapper à un sourire d’apparence saine de satisfaction personnelle. Le prisonnier, port de données et cette fois il ya de la Chambre des Communes anglaise,  ou le parlement britannique a examiné une proposition de son Comité scientifique.Maintenant, je pense que la lecture de ce document vous ne pouvez pas être d’accord que tout ce qui a été dit par les chercheurs de chemtrails était tout à fait vrai. Je leur laisse la tâche de traduire et d’expliquer aux gens qui suivent leurs travaux, l’explication de ce document une commission scientifique aucune population finie « de moins que dans le Parlement anglais en 2010 traduco évidemment seulement un petit morceau de la présentation de la documentation que vous trouverez icimaintenant, nous pensons qu’il écrit http://climateresponsefund.org sur le document que je traduis pour vous ici sur messieurs les chercheurs de géoingénierie, si vous voulez savoir sur à ce moment que vous connaissez bien frappé à la porte!

 Source:   Avec la géoingénierie décrit les activités spécifiquement et délibérément conçus pour fournir un changement climatique global avec l’objectif de minimiser ou d’inverser anthropique (c’est-à cause de l’homme) du changement climatique. La géo-ingénierie couvre de nombreuses techniques et technologies, mais est divisé en deux grandes catégories: ceux qui absorbent le dioxyde de carbone de l’atmosphère, telles que le gel de dioxyde de carbone dans des formations géologiques, et ceux qui réfléchissent le rayonnement solaire. Techniques dans cette catégorie comprennent l’injection d’aérosols (note de l’auteur qui est à droite, vous suffit de vaporiser!) Sulfate dans la stratosphère pour simuler l’effet de refroidissement causée par de grandes éruptions volcaniques. technologies et les techniques varient tellement que tout cadre réglementaire pour les géoingénierie ne peut pas être uniforme. Au lieu de cela, ces techniques, en particulier l’élimination du carbone, qui sont étroitement liés aux technologies existantes, pourrait faire l’objet d’une réglementation internationale du développement des systèmes existants pour y inclure la géoingénierie. Pour d’autres technologies, notamment l’énergie solaire de réflexion solaire, les nouveaux règlements pour être développés. Il ya trois raisons pour lesquelles nous croyons que le règlement est nécessaire. Tout d’abord, à l’avenir, certaines techniques de géo-ingénierie pourrait permettre à un seul pays de manière unilatérale à influencer le climat. Deuxièmement, même si certains cas de test à grande échelle la géoingénierie très peu est déjà en cours. 

Troisièmement, nous devons la géoingénierie comme un «plan B» si, en cas de défaillance de « Plan A ». Ou la réduction des gaz à effet de serre, nous sommes confrontés à des changements climatiques très perturbateur Si nous commençons le travail maintenant que fournira l’occasion d’explorer pleinement les technologiques, les questions environnementales, politiques et réglementaires.Nous ne sommes pas exigeants d’un traité international, mais la base d’un régime réglementaire pour commencer. Techniques de géo-ingénierie doivent être classées dans la prise en compte de facteurs tels que des effets transfrontaliers, la dispersion des matières potentiellement dangereuses pour l’environnement et l’effet direct sur ​​les écosystèmes. Les régimes de réglementation pour la géoingénierie devrait être ajusté en conséquence. Les contrôles doivent être fondés sur un ensemble de principes que nous ensemble, par exemple, la propagation de la recherche géo-ingénierie et la publication des résultats et de développement ouvert de dispositifs pour le gouvernement avant le déploiement des techniques de géo-ingénierie. L’ONU (la LDN ‘Nations Unies qui se présente de la bouteille? Avez-vous remarqué?) est la manière dont le système final sera un cadre opérationnel, mais avant que le Royaume-Uni et d’autres gouvernements ont besoin pour pousser l’agenda international et d’obtenir de géo-ingénierie des processus mouvement. Cette recherche est novatrice, car nous avons travaillé en collaboration avec la Chambre des représentants américaine des sciences et de la technologie, le premier travail en commun internationale de ce type pour une maison de Select Committee communes. Nous avons trouvé l’expérience enrichissante et constructive, et, espérons-le, avec succès. Nous sommes de fervents partisans de la collaboration entre les législations nationales sur des questions telles que la géo-ingénierie d’envergure internationale. Notre rapport sur ​​la réglementation de la géoingénierie maintenant en queue d’aronde dans une enquête de grande envergure que la Chambre est fait sur ​​la géoingénierie. Science, technologie et ingénierie sont la clé pour résoudre les défis mondiaux, et de recommander à notre comité, la collaboration internationale en tant que successeur d’un moyen novateur pour relever ces défis.

le document p resentato la Chambre des communes en 2009 et « cette 
version pdf

de la note Prisonnier: Ces pages ne sont pas présentées dans un article de la plainte (les ivrognes garder la désinformation en disant que répéter à peu près inventions) des théoriciens de la conspiration habituelles, mais comme si c’était juste un comité scientifique, qui a une relation similaire le Parlement britannique, mais quelqu’un du cerveau probablement veeery lente qui fait déboulonner peut «dire que la relation n’est pas« la science? Vraiment, vous ne pouvez pas la «pensée rire-vous que ces messieurs sont impliqués dans un travail de démystification et d’ignorer un tel document présenté par sa commission scientifique. Comme disent les Anglais , si vous pouvez démystifier cette! Non seulement cela, mais le lecteur attentif du prisonnier aussi introduire la version pdf du document  que vous pouvez télécharger et nous recommandons fortement aux chercheurs indépendants dans l’étude de la géo-ingénierie conservarsene d’une copie. Smoking gun Plus »de ce! ah dimeticavo jeter un oeil  à ce document

Toujours vigilant!

Numbersix

http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200910/cmselect/cmsctech/221/221.pdf

http://climateresponsefund.org/index.php?option=com_content&view=article&id=151:uk-house-of-commons-qthe-regulation-of-geoengineeringq&catid=38:climate-intervention-news&Itemid=63

UK House of Commons: « The Regulation of Geoengineering »

Friday, 19 March 2010 06:17

House of Commons Session 2009-10 Publications on the internet Science and Technology  Committee Publications Science and Technology  Committee - Fifth Report The Regulation of Geoengineering Here you can browse the report together with the Proceedings of the Committee. The published report was ordered by the House of Commons to be printed 10 March 2010. HTML Report: http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200910/cmselect/cmsctech/221/22102.htm PDF Report: http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200910/cmselect/cmsctech/221/221.pdf Summary Geoengineering describes activities specifically and deliberately designed to effect a change in the global climate with the aim of minimising or reversing anthropogenic (that is human caused) climate change. Geoengineering covers many techniques and technologies but splits into two broad categories: those that remove carbon dioxide from the atmosphere such as sequestering and locking carbon dioxide in geological formations; and those that reflect solar radiation. Techniques in this category include the injection of sulphate aerosols into the stratosphere to mimic the cooling effect caused by large volcanic eruptions. The technologies and techniques vary so much that any regulatory framework for geoengineering cannot be uniform. Instead, those techniques, particularly carbon removal, that are closely related to familiar existing technologies, could be regulated by developing the international regulation of the existing regimes to encompass geoengineering. For other technologies, especially solar refection, new regulatory arrangements will have to be developed. There are three reasons why, we believe, regulation is needed. First, in the future some geoengineering techniques may allow a single country unilaterally to affect the climate. Second, some—albeit very small scale—geoengineering testing is already underway. Third, we may need geoengineering as a « Plan B » if, in the event of the failure of « Plan A »—the reduction of greenhouse gases—we are faced with highly disruptive climate change. If we start work now it will provide the opportunity to explore fully the technological, environmental, political and regulatory issues. We are not calling for an international treaty but for the groundwork for regulatory arrangements to begin. Geoengineering techniques should be graded with consideration to factors such as trans-boundary effect, the dispersal of potentially hazardous materials in the environment and the direct effect on ecosystems. The regulatory regimes for geoengineering should then be tailored accordingly. The controls should be based on a set of principles that command widespread agreement—for example, the disclosure of geoengineering research and open publication of results and the development of governance arrangements before the deployment of geoengineering techniques. The UN is the route by which, eventually, we envisage the regulatory framework operating but first the UK and other governments need to push geoengineering up the international agenda and get processes moving. This inquiry was innovative in that we worked collaboratively with the US House of Representatives Science and Technology Committee, the first international joint working of this kind for a House of Commons select committee. We found the experience constructive and rewarding and, we hope, successful. We are enthusiastic supporters of collaborative working between national legislatures on topics such as geoengineering with international reach. Our Report covering the regulation of geoengineering will now dovetail into a wider inquiry that the House of Representatives Committee is carrying out on geoengineering. Science, technology and engineering are key to solving global challenges and we commend to our successor committee international collaboration as an innovative way to meet these challenges. You are here: Parliament home page > Parliamentary business > Publications and Records > Committee Publications > All Select Committee Publications >Commons Select Committees > Science and Technology > Science and Technology         House of Commons Session 2009-10 Publications on the internet Science and Technology  Committee Publications   Science and Technology  Committee - Fifth Report The Regulation of Geoengineering   Here you can browse the report together with the Proceedings of the Committee. The published report was ordered by the House of Commons to be printed 10 March 2010.

Contents Terms of Reference

Summary

1 Introduction

 

Previous scrutiny of geoengineering

Coordinated working with US House of Representatives Science and Technology Committee

The inquiry

Structure of this Report

 

2 Categories of geoengineering

 

Introduction

Definition of geoengineering

Carbon Dioxide Removal (CDR)

Solar Radiation Management (SRM)

Differences between CDR and SRM

Weather modification techniques

Conclusions on definition

Conclusions on grading for the purposes of regulation

 

3 Need for regulation of geoengineering

 

Geoengineering techniques currently subject to regulation

Geoengineering techniques currently not subject to regulation

Urgency

Geoengineering is too unpredictable

Conclusions on the need for the regulation of geoengineering

Public attitudes

 

4 Future regulatory arrangements

 

The formulation of a regulatory regime

Principles to be applied to geoengineering research

Research

Research: climate impact testing

Research: international confidence and cooperation

Formulating international regulatory arrangements for geoengineering

Role of the UK

 

5 Collaborative working with the US Congress

 

Introduction

Arrangements for collaborative working

Review of procedural arrangements

Conclusion on collaborative working

 

6 Conclusion

Conclusions and recommendations

Annex: Joint Statement of the U.K. and U.S. Committees on Collaboration and Coordination on Geoengineering

 

Introduction

Background

Geoengineering

The U.S. inquiry

The U.K. inquiry

Committee co-ordination

 

Formal Minutes

Witnesses

List of written evidence

List of Reports from the Committee during the current Parliament

Oral and Written Evidence
13 January 2010

 

La Conférence d’Asilomar internationale sur les technologies d’intervention climatiques Asilomar Conference Center Pacific Grove, CA 22 au 26 mars, 2010 Présenté par Le Fonds d’intervention du climat et L’Institut du climat   Le Fonds d’intervention du climat est la coordination d’une conférence internationale pour élaborer des normes et des directives pour l’expérimentation contrôlée sur le génie climatique ou les techniques d’intervention. La Conférence internationale sur les technologies d’intervention climatiques vise à minimiser les risques associés à la recherche scientifique sur le climat ou l’intervention géoingénierie du climat, autant que la Conférence d’Asilomar sur 1975 ADN recombinant modélisé avec succès des méthodes sûres et appropriées de gestion de laboratoire. La Conférence d’Asilomar se concentrera exclusivement sur l’élaboration de directives de réduction des risques pour des expériences d’intervention climatiques. Télécharger le Rapport de la Conférence d’Asilomar

Le Fonds d’intervention du climat Le Fonds d’intervention du climat a été fondée en 2009 pour favoriser la discussion de la recherche interventionnelle climatique (parfois appelé la géoingénierie ou génie climatique) et de diminuer le risque que ces techniques peuvent être appelés ou déployé avant qu’ils soient bien compris et réglementée. Le Fonds d’intervention climatique exhorte immédiates et étendues des réductions d’émissions pour contrer la menace du changement climatique et ses impacts. C’est la réponse la plus importante au changement climatique que les individus, les organisations et les gouvernements peuvent faire. Toutefois, les progrès sur la réduction des émissions a été lente. Les scientifiques craignent que, sans des progrès plus rapides, il pourrait y avoir de grands impacts sur les économies et les sociétés qui se traduisent par des appels pour une plus grande intervention pour éliminer les gaz à effet de serre activement CO2 ou d’autres de l’atmosphère sur une grande échelle ou pour compenser les effets des gaz à effet de serre. Beaucoup d’éminents scientifiques et sociétés scientifiques ont appelé à la recherche sur ces techniques d’intervention climatiques et nous sommes d’accord. Il ne serait pas sage d’attendre jusqu’à ce que nous nous trouvons dans une situation d’urgence climatique pour explorer les réponses possibles aux changements climatiques inacceptable.  De telles recherches doivent être effectuées en toute sécurité et en toute responsabilité, cependant, après une réflexion approfondie sur les normes les plus appropriées et les lignes directrices pour l’expérimentation. Le Fonds d’intervention du climat a été créé pour encourager et permettre la délibération. La mission du Fonds climatique d’intervention • Favoriser la recherche sécuritaire et responsable sur l’intervention du climat par  - offrant un forum neutre où les normes et lignes directrices pour la recherche d’intervention climatiques peuvent être discutés et mis au point  - en collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux afin d’encourager les organisations appropriées pour intégrer les normes et les lignes directrices proposées dans leurs délibérations sur les recherche sur l’intervention du climat  • Travailler avec les partenaires nationaux et internationaux de communiquer des informations sur la recherche interventionnelle climatiques aux groupes intéressés et le public en général.