¤ Meteotan, un nouveau blog chemtrailologue
source : le mardi 17 août 2012 à 4h45 environ
Restitution de l’indice de réfraction complexe et de la granulométrie d’une population de particules sphériques à partir de l’indicatrice de diffusion de la lumière par C. VERHAEGE Ingénieur ENSMA (Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique) Soutenue publiquement le 16 octobre 2008, devant la commission d’examen. L’interaction du rayonnement solaire ou terrestre avec les particules contenues dans l’atmosphère est un phénomène important à quantifier pour d’une part évaluer le réchauffement de la Terre et pour d’autre part en déduire la qualité de cette atmosphère. Afin de mesurer la diffusion de la lumière par un ensemble de particules nuageuses et d’aérosols, deux appareils ont été conçus et réalisés à l’IUT de Montluçon. Le premier est un appareil monté sur avion pour étudier les particules nuageuses. Diffèrents projets de mesures aéroportées ont étés menés en Europe au Japon et au Chili dont les projets Aerocontrail, ARAT97, Cirrus98, JACCS99 et INCA. Les aérosols (particules en suspension dans l’air) affectent le climat suivant différents processus. Le premier effet est l’influence directe des aérosols sur la lumière via la diffusion et l’absorption. Le second effet est la modification des propriétés radiatives et de la durée de vie des nuages car les aérosols servent de noyaux de condensation pour la formation des gouttelettes en suspension. D’après les derniers rapports de l’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) 2001 et 2007, ces processus sont mal quantifiés et leurs incertitudes sont grandes. Ces incertitudes sur le forçage radiatif des aérosols sont du même ordre de grandeur que le forçage des gaz à effet de serre. Les aérosols désignent les particules solides ou liquides qui sont en suspension dans l’atmosphère. Elles sont en suspension dans l’air car leur vitesse de chute est très faible (de l’ordre du cm/h) et c’est pourquoi leurs trajectoires suivent sensiblement l’écoulement de l’air. Dans la vie de tous les jours, elles sont appelées différemment suivant leur provenance, comme par exemple : poussières, brouillard, brume… On inclut également dans les aérosols, les hydrométéores qui sont constitués d’eau, liquide ou solide, présente sous forme de gouttelettes ou de cristaux. Ces hydrométéores sont les éléments constituant les nuages. La définition de la taille des particules dépend de leur forme. Les particules dont l’échelle est nanométrique correspondent à un regroupement de molécules appelées grappes moléculaires. La taille typique des molécules diatomiques(molécules constituées uniquement de deux atomes, soit de même ou de différents éléments chimiques) est de l’ordre de 0,3 à 0,6 nm(nanomètre). A l’autre bout de l’échelle, les particules de diamètre important supérieur à 50 μm(micron) ne restent pas longtemps dans l’atmosphère, du fait de leur vitesse de chute non négligeable. Les aérosols sont très variés aussi bien en termes de taille, de forme que de nature. Leur rôle dans l’atmosphère est très important aussi bien de façon directe que de façon indirecte (modification des propriétés des nuages : contenu en eau, taille des gouttes, durée de vie). Ces particules modifient le bilan radiatif de l’atmosphère et une grande incertitude sur la valeur de leur forçage radiatif perdure. Les propriétés optiques des aérosols conditionnent la propagation de la lumière à travers des couches atmosphériques et modifient le bilan radiatif de la Terre. Lorsque la lumière intercepte une particule, son intensité diminue. Cette diminution s’appelle l’extinction. Cette extinction correspond à deux phénomènes : la diffusion et l’absorption. La diffusion est définie comme le changement de direction des photons au cours de leur propagation, en gardant la même longueur d’onde (diffusion élastique). Lorsqu’un obstacle (particule solide ou liquide, molécules…) intercepte une onde électromagnétique (appelée également lumière), des charges électriques dans l’obstacle se mettent à osciller à cause du champ électrique de l’onde incidente. Ces charges électriques lorsqu’elles décélèrent, rayonnent une énergie électromagnétique dans toutes les directions. Ce rayonnement est appelé rayonnement diffusé. L’absorption correspond à la transformation du rayonnement en d’autres formes d’énergie : chaleur, énergie de réaction chimique… L’absorption correspond à la fin de la vie d’un photon. Les aérosols servent de vecteurs d’éléments chimiques entre les différentes parties de l’atmosphère. Ils influent de façon importante la composition chimique des précipitations. Ils participent également au bilan radiatif de la planète de deux façons : un effet direct et un effet indirect. L’effet direct correspond à l’interaction de ces aérosols avec les rayonnements solaire ou terrestre. Il est lié à leur capacité d’absorption du rayonnement infrarouge (effet de serre) et de réflexion (albédo) et d’absorption du rayonnement visible. L’effet indirect est le fait qu’ils servent de noyaux de condensation nuageux ou de noyaux glaçogènes qui initient la formation de gouttelettes ou de cristaux de glace. Il faut noter que leur effet indirect est important car une part significative des nuages ne précipite pas et que la composition chimique des aérosols est modifiée après passage par la phase liquide dans les nuages. Il existe aussi un effet semi-direct. Les aérosols absorbent le rayonnement solaire, de ce fait le profil de température de l’atmosphère est modifié. Cette modification du profil influe sur les conditions de formation des nuages. Des mesures collectées en nuage avec un néphélomètre aéroporté ont été traitées pour trois cas (deux en nuage et un en contrail). Le but des mesures d’aérosols est de connaître le maximum de paramètres de ces particules tels que leur nature, leur taille, leur forme, leur nombre, leur effet radiatif… Afin de caractériser complètement une population d’aérosols en prenant l’hypothèse que ces particules soient sphériques et homogènes, il est seulement nécessaire de connaître leur distribution en taille ainsi que leur nature. Dans le cas de la diffusion de la lumière, la nature de la particule correspond à son indice de réfraction complexe (la partie réelle correspond à la diffusion et la partie imaginaire à l’absorption). Ce traitement a permis de mettre en évidence que les particules des contrails ne sont pas des particules d’eau sphériques. Les néphélomètres sont des appareils qui mesurent la lumière diffusée par une population de particules. Les différents paramètres que l’on souhaite connaître sur les aérosols sont leur spectre ou granulométrie (nombre en fonction de leur taille, concentration) ainsi que leur nature et leur forme. Trois cas ont été étudiés toujours en aveugle, deux étaient des mesures d’indicatrices de diffusion en nuages d’eau liquide et le troisième était une mesure effectuée dans un contrail. Les indices des deux cas de gouttelettes d’eau liquide permet d’affirmer que dans ces deux cas, les particules nuageuses échantillonnées étaient des gouttes d’eau sphériques., on retrouve bien le bon indice réel. On peut constater aussi que les particules ne sont pas absorbantes, ce qui correspond bien à de l’eau. Dans le cas « Contrail » l’indice de réfraction, en particulier la partie réelle, ne correspond pas à de l’eau. On peut dire néanmoins que les particules sont de petites tailles et que ce n’est pas de l’eau liquide. Les contrails sont issues des moteurs d’avion. Ceux-ci rejettent principalement de l’eau, du CO2 et un peu de suie (carbone imbrûlé). L’eau pourrait être sous forme solide (glace). L’indice de réfraction de la glace ne correspond pas à la valeur de l’indice trouvé. L’indice de réfraction de la suie ne correspond pas à la valeur de l’indice trouvé. Une des possibilités serait le mélange eau liquide + suie. L’indice de réfraction du mélange suie + eau ne correspond pas non plus avec la valeur de l’indice trouvé. Une des possibilités est d’avoir un noyau de suie entouré d’eau mais d’autres solutions pourraient convenir comme la présence de particules non-sphériques ou la présence d’un autre produit. Les correspondances et intercomparaison entre différents appareils de mesures ont permis de s’assurer de l’applicabilité et de la validité de cette méthode avec ces données réelles. D’autres travaux utilisant ces différentes hypothèses seraient nécessaires pour apporter des éléments de réponse à l’interprétation de ces mesures. Source: http://wwwobs.univ-bpclermont.fr/atmos/Theses/Th_Verhaege.pdf Un ministre italien a eu une rélévation de génie: il a l’intention de résoudre le problème de la pénurie d’eau avec des satellites. Etant le ministre de “l’éducation” nationale, Francesco Profumo, qui, lors de la présentation d’un accord avec la Région de Toscane (l’un des plus atteinte par la sécheresse), a déclaré: “L’Italie doit investir dans des satellites nouvelle génération, tels que les optiques, et je pense que dans son ensemble cela permettra également de nous aider sur la question de la sécheresse. “Il a ajouté: «pour étudier et combattre les phénomènes de sécheresse, nous avons un élément de départ très important qui est l’utilisation (sic) des technologies radar et satellite. Dans le même temps, l’Italie doit investir dans des satellites de nouvelle génération. “Le ministre Profumo oublie que le problème de l’eau courante est due à sa dernière génération de satellites: Ces dispositifs fonctionnent dans la gamme micro-ondes et n’apprécie ni les nuages en formations ni l’humidité. C’est pour cette raison, que les équipes d’aéronefs convenablement équipés et exploités… par satellite, dispersés dans la basse moyenne et haute atmosphère , des tonnes de mortelles métaux hygroscopiques et polymères, inhibant les précipitations. “Les fondamentaux de survie des avions de combat: analyse et conception” par Robert A. Ball, est un texte volumineux sur les stratégies militaires à partir de laquelle vous pouvez obtenir beaucoup de preuves de corrélations identifiées à l’époque. De nombreux chercheurs et des scientifiques indépendants ont étudié le lien entre la baisse d’humidité et les activités chimiques. Parmi eux le premier était Paul C. Fienga, astrophysicien, a relever que les aérosols cause la baisse soudaine et brutale des valeurs hygrométriques. L’expert, malheureusement, été calomnié et diffamé par la désinformation, a laisser tomber l’affaire. Cependant, les études ont continué et même de simples observateurs peuvent constater que, dès que les nuages se forment dans le ciel, en particulier les cumulus, des escadrons entiers d’avions décollent pour les dissoudre. Quelle est la raison principale de cette fureur contre les nuages? Les hydrométéores (pluie, neige et brouillard) sont un obstacle aux signaux électromagnétiques dans l’atmosphère. Le paragraphe que nous citons ci-dessous, tiré du livre en question, indique que les signaux radar sont atténuées par la vapeur d’eau et l’oxygène dans l’atmosphère. Ainsi, une source technique confirme ce que certains chercheurs avaient détecté et a acquis, au moyen d’observations et d’analyse méticuleuses. Le paragraphe se lit comme suit: “Objectif – Déterminer l’atténuation du signal radar, comment il se propage à travers l’atmosphère – Les signaux radar sont atténués par la vapeur d’eau et l’oxygène dans l’atmosphère terrestre. L’atténuation devient significative à des fréquences supérieures à 10 GHz. L’assouplissement sur une distance R peut être exprimé sous la forme exp (-Ra), où α est le taux d’atténuation par unité de distance. [...] Les précipitations dans l’atmosphère sous forme de pluie, de neige et de brouillard peuvent réduire de manière significative les signaux radar ainsi que de contribuer au bruit de fond. En général, plus la fréquence du radar est haute, plus grande sera l’atténuation. Le taux d’atténuation à la fois dans le cas d’une pluie légère ou d’un épais brouillard est d’environ 0,1 dB / km pour un signal à 10 GHz radar. Par conséquent, le signal sera réduit de 10 dB après avoir parcouru 100 km sous une pluie modérée ou dans un brouillard dense. “ Mais nous allons voir quels sont les types de télédétection. Une classification de base de télédétection peut distinguer les t. passive et t. active. Télédétection passive: Le capteur est affilié à seulement recevoir le rayonnement électromagnétique émis ou réfléchi par l’objet en cours d’analyse. Télédétection active: Le capteur est a la fois émetteur du rayonnements électromagnétique et calculateur du rayonnement, lorsque les mêmes ont interagi avec la surface et ont été reflétées. Les systèmes de télédétection passive sont de deux catégories: a) Des instruments qui recueillent un rayonnement électromagnétique émis par le soleil et réfléchie par la surface en fonctionnant dans le spectre visible et infrarouge; b) Des instruments qui recueillent le rayonnement émis directement depuis la surface et fonctionnant essentiellement dans l’infrarouge thermique. Les systèmes pour la télédétection active se divisent en systèmes de diffusion, qui opèrent dans le spectre visible et les infrarouges, et d’un système radar fonctionnant dans la gamme des micro-ondes. Inconvénients de la récupération satellitaire: La présence de nuages sur la zone de la récupération rend impossible l’acquisition des données satellitaires. En particulier pour les satellites avec capteurs panchromatiques et multispectrales (satellites optiques), qui fonctionnent dans le spectre visible, les nuages rendent impossible la récupération. Ainsi, le titulaire du ministére de “l’éducation” nationale a fait une de ses gaffes que nous avons pris pour habitude, quoi d’autre ? La sécheresse comme une excuse pour les contrats qui profiteront à l’industrie militaire et les agences spatiales? En attendant, la météo ne prévoit pas de grands changements par rapport aux jours passés. Une zone de haute pression centrée sur la France (et pas sur l’Afrique du Nord …) permet l’activité d’aérosols nocturnes (comme indiqué dans la photo de couverture, aimablement fournies à nous par mon ami Alex Bisi), tandis que pendant la journée, nous observons, comme confirmé par les centres météorologiques du gouvernement, le “transit de légers voiles”. Cette volonté de faire passer la pilule avec le mot «léger» ne signifie, cependant, rien de bon, car la présence de ces couvertures artificiels augmentent encore les températures (effet de serre induit) et permettra d’éviter les précipitations sur la plupart du territoire. Vous ne pouvez pas exclure des phénomènes violents (surtout dans le Nord) dans les zones adjacentes à celles où les opérations de pulvérisation sont effectuées, des activités réalisées avec l’objectif de détruire la couverture nuageuse naturelle qui, nous le répétons, en particulier avec des valeurs thermiques élevées, devrait être une caractéristique commune de nos cieux. Pour confirmer cela, on lit dans les dépêches de la météo officiel la formulation «nuages résiduels au matin et brume se propageant». Est une expression qui, en soi, ne signifie rien, mais a une valeur quand on est conscient du fait que la majeure partie des opérations clandestines de géo-ingénierie ont lieu sous couvert de l’obscurité. http://tankerenemymeteo.blogspot.fr/2012/08/profumo-di-bruciato.html?spref=fb Les signaux radar sont atténués par la vapeur d’eau et l’oxygène dans l’atmosphère de la Terre. Les précipitations dans l’atmosphère sous forme de pluie, la neige et le brouillard peuvent considérablement atténuer les signaux radar ainsi que de contribuer à l’encombrement de fond. D’où la création du fameux «léger voile nuageux» dont on nous parle souvent à la météo de façon a réduire l’oxygène atmosphérique et l’humidité, et propager les communications radar. http://tankerenemy.blogspot.fr/2011/09/book-about-military-strategies-explains.html Le carbonate de calcium (CaCO3) est un composé calcium, de concrétions calcaires venant des pierres a chaux, mais il est aussi artificiellement utilisés dans diverses industries. C’est un sel très peu soluble dans l’eau mais très solubles en présence de dioxyde de carbone suite à la formation de bicarbonate. Cette réaction réversible est très importante dans le cycle géochimique du calcium. Elle se traduit également dans le cas de la dureté élevée de l’eau, de l’encrassement dans les canalisations et les chaudières. Le calcaire, riche en carbonate de calcium, est la matière première pour la production de chaux. Ce produit était déjà connu et utilisé par les différents peuples de l’Antiquité. En raison de son grand danger, le travail a été confié à un petit nombre de travailleurs bien formés. Ils le mélangent avec du sable pour le mortier utilisés dans la construction. Le calcaire, réduit à des fragments de la taille de quelques centimètres, a été introduit dans des fours spéciaux, chauffés à 800-1000 degrés Celsius pendant environ dix heures, pendant lesquelles s’est produit le prétendu “burnout”, une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO2) et produit de l’oxyde de calcium ou de la chaux vive. La chaux est une substance blanche, très poreuse et hygroscopique. Lorsque mouillé avec de l’eau, la chaux déclenche une réaction thermique par lequel la température monte jusqu’à 300 degrés Celsius. S’il est mis en contact avec un matériel inflammable, le feu prend rapidement. La diffusion de carbonate de calcium avec les chemtrails est, comme nous l’avons déjà noté, nuisibles à l’agriculture. Les sols calcaires, en fait, sont impropres à la culture: le principal défaut de la fertilité des sols calcaires est due à l’immobilisation de certains nutriments. Ce défaut est doux dans les sols modérément calcaires, mais se produit de façon plus intense au-dessus de pH 8. Peu de plantes montrent leur plein potentiel productif dans ce type de terrain. En plus de cette implication, il est évident que le composé d’essai est soumis à des réactions chimiques et thermiques liés aux propriétés hygroscopiques et aussi a l’absorption de l’humidité. L’effondrement des valeurs hygrométriques de l’atmosphère et l’augmentation des températures, un résultat typique de beaucoup d’activités d’aérosols, sont des phénomènes qui peuvent être expliquées en remettant en question le carbonate de calcium, tandis que le bien-diabolisé dioxyde de carbone, selon des études récentes, n’est pas décisif dans ce que l on appel “l’effet de serre”. Donc des valeurs thermiques exceptionnellement élevées pour cette période, peu ou très peu de chutes de neige, sont des situations induites par la géo ingénierie clandestine et illégale et n’est pas un phénoméne naturel. Des millions de tonnes de chlorure de calcium sont produites annuellement aux seuls USA. En 1990, son cours était de 182 $ par tonne. C’est un composé qui possède de nombreuses applications :Les contrails ne sont pas des particules d’eau sphériques
IMAGE
Parfum de brûlé (Profumo di bruciato) [chemtrails summer 2012]
Chemtrails vs cumulus
Le carbonate de calcium utilisé dans la géo ingénierie
Du fait de son caractère très hygroscopique, il
CaCl2 + 2 H2O → CaCl2·2H2O
Le processus de dissolution du chlorure de calcium est très exothermique et des températures supérieures à 60 °C peuvent être atteintes rapidement. L’ingestion de pastilles de chlorure de calcium peut donc occasionner de graves brûlures.
Du fait de la chaleur émise lors du processus de dissolution, le chlorure de calcium peut être utilisé pour faire fondre de la glace. Au contraire du chlorure de sodium, il n’est pas nocif pour le sol et les plantes. Il peut également agir à des températures plus basses que le chlorure de sodium. Pour cet usage, il se présente sous la forme de petites boules de quelques millimètres de diamètre (comme sur la photo au début de la page).
Il est utilisé lors du mélange du béton pour accélérer la prise et le rendre plus dur.
Il est utilisé sur certaines autoroutes pour fixer la poussière : en réagissant avec l’humidité de l’air, il permet de maintenir une fine couche liquide à la surface de la chaussée ce qui maintient la poussière.
Le chlorure de calcium a un goût amer. Il est ajouté aux aliments cuisinés industriellement pour augmenter la dureté cellulaire de la nourriture, comme par exemple dans les cornichons, olives, compotes de pommes, haricot-princesse en bocaux.
Il est aussi utilisé en biologie moléculaire, celui-ci permet en effet de rendre des bactéries compétentes en dégradant leurs lipopolysaccharides de surface. Il les rend ainsi apte à la transformation par un vecteur. Il peut aussi servir comme agent de transfection cellulaire avec des cellules animales.
Il peut également être utilisé en alimentaire (numéro E509), notamment pour solidifier les alginates, gélifiant.
Les solutions de CaCl2 ont la propriété de rendre les parois cellulaires de certaines bactéries plus poreuses (notamment E. coli). Cela en fait un produit utilisé en laboratoire dans la recherche génétique.
Le chlorure de calcium est irritant. Il doit être manipulé avec des gants. Il est relativement sans danger à manipuler, mais il ne doit pas être ingéré. Comme il réagit de manière exothermique avec l’eau, il peut occasionner des brûlures de la bouche ou de l’œsophage.
C’est un matériau très hygroscopique qui doit donc être conservé dans des récipients bien fermés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chlorure_de_calcium
Sécheresse : l’Iran accuse l’OTAN (16 juillet 2012) Comme vous le savez, les nuages se déplacent d’ouest en est. Ils se forment sur l’océan, puis se déplacent sur la Méditerranée, où les changements d’air apparaissent. Ensuite, ils passent sur l’Iran, se déplaçant vers l’est. A ce moment-là, les nuages ont été vidés de la plupart de leur contenu. http://www.youtube.com/watch?v=LPqK8VC2HyA L’occident est responsable de la sécheresse qui frappe le sud de l’Iran dans le cadre de sa “guerre non déclarée” contre la République islamique, a affirmé un vice-président iranien cité lundi par l’agence Fars. “J’ai des doutes sur la sécheresse anormale qui touche le sud du pays. L’oppression et le colonialisme mondial (appellations de l’Occident par les dirigeants iraniens) influencent la situation météorologique avec des moyens technologiques (…) et cela fait partie de la guerre non déclarée” des Occidentaux contre l’Iran, a déclaré le vice-président chargé du tourisme, Hassan Moussavi. http://www.europe1.fr/International/Secheresse-l-Iran-accuse-l-Occident-1171159/ http://news.yahoo.com/iran-drought-part-soft-war-west-vp-191444201.html Thunderstorm Solar Power Satellite (TSPS) Les systèmes requis pour un concept de Thunderstorm Solar Power Satellite (TSPS) a été présenté au “Workshop on Space Exploration and Resource Exploitation-Explospace” 20-22 octobre 1998 Cagliari Sardaigne.Ce concept propose l’utilisation d’un satellite de puissance solaire pour réchauffer la région du courant froid descendant d’un méso cyclone afin interférer le processus de développement cyclonique et d’espérer prévenir la formation de cyclones (ou tornades). http://www.angelfire.com/mn2/kanuckski/EastlundResearch/tsps1.jpg http://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_solaire_orbitale http://www.dailymotion.com/video/x96fpj_haarp-detourner-un-jet-stream-coura_tech La pollution détruit la pluie Les nuages s’expendent a cause de la pollution, vu que la pollution augmente le nombre de gouttelettes dans les nuages. Les gouttelettes se séparent et deviennent trop petites pour qu’il pleuve. Le faux problème des traînées persistantes en 1975 Des expériences récentes, cependant, ont révélé que les traînées d’échappement visibles peuvent être empêchées par l’addition de très fines particules (des poussières, par exemple) aux gaz d’échappement. La condensation et la sublimation sur ces plus petits noyaux forment des noyaux de condensation trop petits pour être visibles. 1975 Federal Aviation Administration http://www.filestube.com/1Syb4BtxeNKmgmgwCldhVL/FAA-Contrails-1975-Screen.html Tactique de guerre électronique système RFMP/VRTPE (avion turc abattu?) La dispersion de métaux électro conducteur et hygroscopique dans l’atmosphère, surtout le baryum, se lie à un système intégré qui implique l’usage d’avions AWACS, de satellites en orbite géostationnaire et de radars VLF et ELF au sol. Les AWACS sont dotés, depuis 2003, merci à un contrat avec la société MITRE, d’appareillages électroniques sophistiqués qui permettent de reproduire le territoire en modélisation tridimensionnelle. Nous nous référons au Projet RFMP, un programme justement basé sur la connexion entre la diffusion de sels de baryum et des exigences liées spécifiques aux communications radars et satellitaires de dernière génération, aptes à l’analyse et cartographie électronique de régions entières aux fins stratégiques. Le projet de la Marine militaire américaine RFMP, c’est-à-dire “Planificateur des fréquences radio de mission”, est le nom du système donnée à un groupe de programmes informatiques. Un des sous-programme, dans le cadre d’un tel système, c’est le VRTPE qui permet d’observer le champ de bataille sur un écran dans une configuration tridimensionnelle. Le système RFMP dépend des satellites pour recevoir et traiter les images de la zone de combat, pour ensuite combiner avec l’image reprise au sol, reproduisant ainsi les représentations tridimensionnelles. Le système RFMP fonctionne de manière adéquate seulement au dessus des eaux et le long des cotes, mais pas sur les masses terrestres, parce que pour opérer au mieux le radar a besoin de conditions particulières atmosphériques. Les militaires ont résolu ce problème, en employant des escadrilles d’avions qui relâchent dans l’atmosphère un mélange de sels de baryum, de façon à créer un canal pour les fréquences radio. Ceci produit un milieu apte à la transmission des ondes radio pour le système RFMP/VRTPE.Le président Ahmadinejad dénonce les chemtrails ”L’Europe nous vole notre pluie”