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9 septembre 2012

¤ Tuerie de Chevaline 5/09/2012 (Haute-Savoie) : 30 secondes de tirs, plusieurs tueurs expérimentés, plusieurs véhicules, M. Saad Al Hilli travaillait pour une filiale d’Astrium et avait été surveillé par les renseignements britanniques en 2003

Classé dans : Etrange,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 10 : 17

‘Executed in 30 seconds’: British family shot dead in French Alps hit by two bullets each in ‘professional hit’

New details strengthen theory that Saad Al-Hilli and his family were victims of contract killers, say cops

Crime scene: BMW has smashed windows and flat tyre and had been reversed into bank of earth

Crime scene: BMW has smashed windows and flat tyre and had been reversed into bank of earth

The British family gunned down in the French Alps were executed in just 30 seconds – with each of them being shot twice.

Detectives revealed that Saad Al-Hilli, his wife Iqbal, and her 77-year-old mother were hit by two bullets each – while a cyclist who stumbled across the scene of the carnage was hit five times.

The fact that intense gunfire was heard for less than 30 seconds – and it was so brutally effective – strengthens the theory of experienced hit-men being responsible.

British engineer Engineer Mr Al-Hilli, 50, was initially shot once in the forehead as he sat at the wheel of the BMW estate car he had used to drive his family to a caravan holiday to Lake Annecy, in eastern France.

Then a second ‘coup de grace’ bullet was apparently used to make sure that Mr Al-Hilli, of Clayton, Surrey, was indeed dead.

This is the classic modus operandi of gunmen the world over who are contracted to kill people, whether working for criminal gangs, terrorist groups, or security services.

Mr Al-Hilli, his wife Ikbal, and her elderly mother were shot twice through the car’s windows, with not a single bullet wasted.

Sylvain Mollier, a 45-year-old father of three who arrived at the scene by bike, is likely to have disturbed the multiple killings, and thus would have made a more difficult target.

An investigating source confirmed to French media that all those in the car « received two bullets each », while Mr Mollier « was hit five times ».

 

Witnesses have described hearing around 30 seconds of gunfire at the isolated beauty spot next to woods on the outskirts of the village of Chevaline, near Annecy.

The Al-Hilli’s seven-year-old daughter, Zainab, suffered a fractured skull and a bullet in the shoulder.

Her four-year-old sister, Zeena, was the only member of the family to escape unscathed after hiding underneath her mother’s legs.

It was to be a full eight hours before police eventually found her following the murders, which took place just before 4pm on Wednesday, suggesting that the gunmen also had no idea that she was there.

Zainab and Zeena’s testaments are likely to be crucial as French examining magistrates and police try to establish exactly what happened.

They will be assisted by the results of autopsies which will be carried out on all four bodies later today (Friday September 7).

Julian Stedman, Mr Al-Hilli’s accountant, said: « They were shot through the head so that sounds like a professional killing, which is really very worrying. A casual killer would not do that. The reason for that – I haven’t a clue. »

Intelligence officers from the British Embassy in Paris are said to have been at the scene of the murder hours after it happened.

They were tipped off by contacts in the French Interior Ministry as soon as the identity of the car’s owner was confirmed. According to the French TV station Demain, locals described embassy staff as being ‘military types’ and numbering around 20.

A British cyclist who had been in the RAF but otherwise remains unidentified stumbled upon the scene after originally being overtaken by Mr Mollier a few minutes earlier.

The first thing the cyclist saw was the bloodied figure of Zainab stumbling about in the road next to the BMW, which still had the engine running.

He has provided police with vital evidence of vehicles leaving the scene, and is ‘continuing to speak to detectives,’ said another police source.

Lt Col Benoit Vinnemann of the Chambery gendarmes, said the Englishman had seen « various cars leaving the scene including a 4×4″.

Peter Ricketts, the British Ambassador to France, said: « He appears to have been extremely professional. If he needs any support we are here to help. »

The murdered French cyclist, Mr Mollier, was on paternity leave from his job at a company producing stainless steel products.

His wife alerted police when he failed to return home from his bike ride. Prosecutor Maillaud said: « It would appear he was in the wrong place at the wrong time. »

7 septembre 2012 – Source : LeParisien.fr

Ce n’est qu’un témoignage d’un habitant mais il pourrait ouvrir de nouvelles pistes. L’homme britannique assassiné lors de la tuerie de quatre personnes près du lac d’Annecy (Haute-Savoie), était connu des services de renseignement britanniques, affirme jeudi le site du quotidien britannique The Daily Mail  en citant un voisin anonyme. 

Les services de renseignement avaient placé la victime sous surveillance en 2003 lors de l’intervention américaine en Irak, a déclaré ce voisin au Daily Mail en affirmant l’avoir hébergé à cette époque. Les services de renseignement se sont refusé à tout commentaire, en avançant que la victime n’avait pas été pour le moment formellement identifiée.

Saad al-Hilli a été scolarisé à Pimlico dans le centre de Londres. Il avait créé il y a quelques années Shtech, une entreprise de conseil informatique spécialisée dans l’aéronautique, dont Iqbal, son épouse décédée avec lui, était la secrétaire, selon le registre du commerce. Selon le comptable de l’entreprise, Julian Stedmanson, il avait dernièrement travaillé pour SSTL, une société de satellites appartenant au groupe EADS , mais à sa connaissance «il n’était impliqué dans aucun contrat de défense».

Les enquêteurs français n’avaient guère de piste jeudi soir sur la tuerie de quatre personnes près du lac d’Annecy dans l’attente de l’autopsie des corps vendredi et d’éventuelles déclarations des deux fillettes ayant survécu au massacre. Zeena, la plus jeune retrouvée après huit heures dans la voiture criblée de balles, pourrait être entendue aujourd’hui.


source : 
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/tuerie-de-chevaline-lhypoth%C3%A8se-du-tueur-unique-s%C3%A9loigne-1

Mise à jour : vendredi 7 septembre 2012 22:05 | Par AFP

Tuerie de Chevaline: l’hypothèse du tueur unique s’éloigne

ChevalineL’hypothèse d’un tireur unique semblait de moins en moins envisageable dans la tuerie de Chevaline en Haute-Savoie , tandis que la fillette de 4 ans rescapée, seule témoin directe du drame, a « entendu » mais n’a « rien vu » selon les enquêteurs.
Le père de famille travaillait pour une petite société britannique de satellites, filiale d’Astrium, Surrey Satellite Technology Limited (SSTL), qui compte l’Agence spatiale européenne ESA et la Nasa parmi ses clients

La petite fille a été le seul témoin direct du drame à avoir été entendue: « Elle a entendu mais elle n’a rien vu », a déclaré le procureur de la République d’Annecy, Eric Maillaud, vendredi lors d’une conférence de presse.

C’est « une petite fille qu’il importe de protéger », a-t-il ajouté, assurant qu’ »elle devrait gagner la Grande-Bretagne dans un délai bref », afin « qu’elle essaie d’oublier ce cauchemar ».

Sa soeur de sept ans, grièvement blessée, restait plongée dans un coma artificiel au CHU de Grenoble mais ses jours ne sont plus en danger.

Avec près de 25 douilles retrouvées sur la scène de la tuerie, l’hypothèse d’un tireur unique semblait de moins en moins envisageable, même si les enquêteurs n’excluent aucunes pistes .

Ce massacre « à la sauvagerie inouïe », durant lequel 4 personnes –Saad al-Hilli, 50 ans, sa femme Iqbal, originaire comme lui de Bagdad, une femme plus âgée de nationalité suédoise et un cyclise français- ont été tuées, donne lieu à une enquête « particulièrement complexe », selon le procureur.

Quelques zones commencent à s’éclaircir, même si les enquêteurs sont soucieux de préserver toutes leurs avancées. L’une d’elles a trait au nombre de tireurs.

M. Maillaud avait fait état jeudi de quinze douilles retrouvées autour de la voiture: « On est aujourd’hui à peu près à 25″ et « il y avait des douilles dans le véhicule ».

Apparemment, étant donné le nombre de balles tirées et le nombre de douilles retrouvées, le ou les tueurs « ont très certainement utilisé une arme semi-automatique », selon un spécialiste des armes. Or, les chargeurs standards de ces armes ne peuvent contenir « que 15 balles maximum », selon cette source.

Trois hypothèses émergent: il y avait soit deux tireurs, soit un tireur ayant utilisé deux armes chargées de façon consécutive, soit un tireur ayant rechargé pendant la fusillade.

Les enquêteurs continuent de creuser la piste d’un 4×4 vert et d’une moto qui auraient été vus par plusieurs témoins après les assassinats.

L’identification formelle des victimes à partir de leur ADN n’interviendra que samedi ou dimanche.

Le magistrat a ouvert deux informations judiciaires, l’une pour « assassinats » et l’autre pour « tentatives d’assassinats ».

Un gendarme de la section de recherches de Chambéry, en charge du dossier, est arrivé à Londres dans l’après-midi dans le cadre d’une commission rogatoire internationale.

Deux autres gendarmes français sont arrivés dans la soirée à Londres et un quatrième est attendu samedi.

Ils devront notamment étudier « l’environnement de la famille » al-Hilli et perquisitionner sa maison.

La voiture de Saad al-Hilli, ingénieur en informatique, avait été découverte mercredi après-midi sur une route forestière près du village de Chevaline, près du lac d’Annecy où il passait ses vacances en camping avec sa famille.

A l’intérieur se trouvaient son cadavre, celui de sa femme et de la mère de cette dernière, selon les premiers éléments de l’enquête.

A côté gisait un cycliste français, victime collatérale de ce qui ressemble à une tentative d’exécution de toute une famille.

En réchappent, miraculeusement, la plus jeune des enfants, quatre ans, restée huit heures cachée dans la voiture avant que les enquêteurs ne la découvrent, et l’aînée de sept ans, grièvement blessée au crâne.

Les enquêteurs devaient notamment se pencher sur la piste d’un litige financier entre Saad al-Hilli et son frère. Ce dernier s’est présenté « spontanément » jeudi à la police britannique pour « demander des nouvelles de son frère » et nier toute implication.

Diverses théories

Les théories les plus diverses, du carjacking ayant mal tourné à la piste terroriste d’al-Qaïda, ont été avancées par la presse britannique, dont aucune n’est confirmée par les enquêteurs français. Le procureur d’Annecy s’est dit « halluciné » par cette profusion.

Il s’est montré très prudent quant à la théorie d’un tueur à gages. « Je n’aime pas le mot d’exécution. Exécution=professionnel », a-t-il dit se refusant à donner toute précision sur l’enquête balistique, le type d’arme et le calibre des munitions.

Il a également souligné que M. al-Hilli était « totalement inconnu » des services de renseignement.

Né à Bagdad et vivant depuis de longues années en Grande-Bretagne, Saad al-Hilli, 50 ans, était domicilié avec sa femme et ses deux petites filles dans la grande banlieue sud de Londres, dans le comté du Surrey.

Le père de famille travaillait pour une petite société britannique de satellites, filiale d’Astrium, Surrey Satellite Technology Limited (SSTL), qui compte l’Agence spatiale européenne ESA et la Nasa parmi ses clients a confirmé vendredi la société en lui rendant un hommage appuyé.

La société, Surrey Satellite Technology Limited (SSTL), qui compte l’Agence spatiale européenne ESA et la Nasa parmi ses clients, a précisé que M. Saad al-Hilli avait travaillé pour elle comme ingénieur contractuel depuis près de deux ans.

« Je suis profondément choqué et attristé de confirmer que l’un des contractuels de SSTL de longue date, Saad al-Hilli, a été formellement identifié comme étant l’une des victimes de la tuerie qui s’est produite dans les Alpes françaises », a indiqué le président de la société, Matt Perkins, dans un communiqué.

———————————————————————-

Le HuffPost/AFP 

source : http://www.huffingtonpost.fr/2012/09/08/tuerie-haute-savoie-derniers-elements-enquete_n_1866618.html?icid=maing-grid7%7Cfrance%7Cdl2%7Csec1_lnk3%26pLid%3D126222

 

Publication: 08/09/2012 08:56 Mis à jour: 09/09/2012 08:28

TUERIE DE HAUTE-SAVOIE - Des vacanciers britanniques ont été visés par une fusillade d’une « immense sauvagerie », ayant fait quatre morts et une blessée grave le 5 septembre 2012. Une fillette de quatre ans a été retrouvée indemne. Voici les derniers éléments de l’enquête en cours.

  • Deux balles dans la tête de chaque victime, selon l’autopsie

Le procureur de la République d’Annecy, Eric Maillaud, a tenu une conférence de presse au parquet d’Annecy à 15 heures samedi 8 septembre. Il a évoqué les résultats de l’autopsie des quatre victimes. « Les quatre personnes sont mortes de plusieurs balles et les quatre ont été victimes de deux tirs de feu en pleine tête », a déclaré le procureur de la République Eric Maillaud.

Le procureur s’est en revanche refusé à toute précision quant aux résultats des expertises balistiques. « Je ne répondrai à aucune question sur ce point », a-t-il dit, annonçant avoir décidé de cesser de donner des conférences de presse quotidiennes, sauf avancée significative à annoncer. La prochaine conférence de presse pourrait avoir lieu vers le « milieu de la semaine prochaine ».

  • Le frère du père sera entendu

Le frère du Britannique tué en Haute-Savoie sera entendu en Grande-Bretagne, au même titre que l’ensemble de l’entourage des victimes. L’homme, qui s’était présenté de lui-même dès jeudi à la police britannique pour prendre des nouvelles de son frère, avec lequel il avait un différend financier, sera entendu, comme « tous ceux qui connaissent les victimes seront entendus », a déclaré le procureur d’Annecy sur I>Télé samedi.

  • Enquêteurs français et perquisition en Grande-Bretagne

De l’autre côté de la Manche, quatre enquêteurs français, conduits par le colonel Marc de Tarlé, chef du bureau des affaires criminelles de la gendarmerie, sont arrivés en Grande-Bretagne. Ils doivent se coordonner avec leurs homologues britanniques afin de perquisitionner le domicile des victimes à Claygate, dans la grande banlieue cossue du sud de Londres. La perquisition sera « très longue », a indiqué une source proche de l’enquête, ajoutant qu’elle dépasserait la journée.

Par ailleurs, une réunion entre policiers britanniques et gendarmes français s’est tenue samedi matin pour « mettre au point une stratégie » et déterminer le nombre de policiers à mobiliser sur l’affaire côté anglais.


Tuerie en Haute-Savoie : des gendarmes français… par BFMTV

Les polices suisse et italienne mobilisées

Les polices des deux pays voisins de la France ont été sollicitées dans le cadre du dispositif mis en place pour tenter d’interpeller le ou les auteurs de la tuerie. « Tous les pays frontaliers ont été mobilisés. L’Italie est à une heure trente, la Suisse à une heure. Les enquêteurs ont sollicité l’assistance des pays voisins », a annoncé Eric Maillaud.

  • Des membres de la famille des fillettes en France

Des membres de la famille des fillettes britanniques ayant échappé à la tuerie sont arrivés en France et pourraient rencontrer prochainement la cadette en présence d’un enquêteur, a indiqué samedi le parquet d’Annecy. Il s’agit d’ »un homme et d’une femme, accompagnés d’un enquêteur social britannique », a déclaré le procureur.

  • L’identité de la famille al-Hilli confirmée

Le parquet d’Annecy a annoncé vendredi l’identification de la famille al-Hilli dans la tuerie de Chevaline, en Haute-Savoie. « Il est humainement certain » qu’il s’agit de la famille al-Hilli, a déclaré vendredi le procureur de la République d’Annecy, Eric Maillaud. Les enquêteurs se basent notamment sur le témoignage de la petite fille de quatre ans retrouvée indemne, qui a confirmé qu’elle était bien en voiture avec son « papa » et sa « maman ». Celle-ci devrait retourner prochainement en Grande-Bretagne.

  • La petite fille « a entendu mais n’a rien vu »

Quant à la petite fille de quatre ans, seul témoin direct du drame à avoir pu être entendue, sa soeur de sept ans, grièvement blessée, restant en coma artificiel, « elle a entendu mais elle n’a rien vu », a déclaré le procureur. C’est « une petite fille qu’il importe de protéger », a-t-il ajouté, assurant qu’ »elle devrait gagner la Grande-Bretagne dans un délai bref » afin « qu’elle essaie d’oublier ce cauchemar ».

Sa soeur aînée, grièvement blessée à la tête, a quant à elle été plongée dans un coma artificiel et doit être réopérée, mais son pronostic vital n’est plus engagé.

Elle pourrait devenir un témoin clé pour l’enquête:

  • Un mystérieux « problème » préoccupait Saad al-Hilli

Selon un habitant de Claygate, le village où vivait la famille al-Hilli, Saad aurait fait état ces derniers mois de craintes pour sa sécurité et celle de sa famille installée en Irak. Évoquant un problème dont la victime refusait de dévoiler la nature, ce voisininterrogé par The Daily Mirror aurait été chargé de garder un œil sur la maison familiale durant les vacances des al-Hilli en France.

Selon une autre personne, Zaid Alabdi, 48 ans, se présentant comme le meilleur ami de Saad, un mystérieux « sujet de préoccupation » perturbait ces derniers temps la vie de la victime.

  • Le frère de Saad al-Hilli entendu comme témoin

Cette mystérieuse préoccupation pourrait être le conflit qui opposait Saad al-Hilli à son frère. Les enquêteurs vont d’ailleurs se pencher sur la piste d’un litige financier entre les deux hommes. Le frère de la victime s’est présenté jeudi 6 septembre à la police britannique. « Il faudra que le frère soit entendu très longuement. Chaque piste sera creusée méticuleusement », avait indiqué le procureur d’Annecy, Eric Maillaud.

Lors de sa conférence de presse vendredi, il a confirmé que le frère s’était présenté spontanément à la police britannique pour nier toute culpabilité en dépit du litige financier. « Il sera entendu comme témoin », a déclaré le procureur. « Il n’est inquiété pour rien du tout. C’est un homme libre », a-t-il encore dit.

Des proches de la famille ont rapporté que Saad et son frère Zaid s’opposaient à propos de l’héritage de leur père disparu l’an dernier. Le conflit aurait porté sur un peu plus d’un million d’euros et concerné une propriété en Espagne ainsi que la maison de Claygate, ainsi que d’autres biens en Suisse et en Irak. Les deux frères ne se parlaient plus que par avocats interposés selon la presse britannique. Des informations démenties par le frère de la victime, Zaid.

L’enquête se déporte en Angleterre:

  • La femme âgée est bien suédoise »

La femme la plus âgée retrouvée morte est bien suédoise, mais le lien de parenté avec la famille al-Hilli n’est pas établi, a indiqué le procureur. La fillette a expliqué qu’elle ne connaissait pas très bien cette femme.

  • Deux informations judiciaires ouvertes

Deux informations judiciaires, l’une pour « assassinats » et l’autre pour « tentatives d’assassinats », ont été ouvertes, a annoncé vendredi le procureur de la République d’Annecy, Eric Maillaud. « Nous avons également ouvert une information judiciaire pour ‘tentatives d’assassinats’ sur les deux fillettes, car il y avait une volonté de tuer toutes les personnes vivantes », a déclaré le procureur. Selon le magistrat, « cela permet un cadre juridique plus facile pour collaborer avec les enquêteurs britanniques ». « Les juges d’instruction français sont en train d’envoyer une commission rogatoire internationale aux autorités judiciaires britanniques », a-t-il ajouté.

  • Le site rouvert

Le site de la tuerie a été rouvert au public vendredi à la mi-journée. Les journalistes, contraints jusqu’alors par les gendarmes de rester en retrait à 3 kilomètres de là, ont pu se rendre sur place, parcourant à pied, sur une petite route forestière goudronnée, les 800 derniers mètres les séparant de la scène de crime. Une quarantaine de reporters, photographes et cameramen, parmi lesquels de nombreux Britanniques, filmaient les lieux, à l’affût du moindre signe de la tragédie. Mais seuls du verre brisé, des traces de pneu ou encore une trace de sang sur un caillou témoignaient de la tuerie. Dès mercredi soir, les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie et les balisticiens ont minutieusement ratissé les lieux du drame, sur le parking de cette forêt domaniale des Bauges, très prisée des randonneurs.

Sur le site du drame de Chevaline

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¤ Tuerie de Chevaline 5/09/2012 (Haute-Savoie) : 30 secondes de tirs, plusieurs tueurs expérimentés, plusieurs véhicules, M. Saad Al Hilli travaillait pour une filiale d'Astrium et avait été surveillé par les renseignements britanniques en 2003 dans Etrange
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