¤ Au cœur du « clan » alaouite…
16 juillet 2012
16 juillet 2012
Les arrêtés tant attendus sont enfin arrivés.
Beaucoup ont déjà pris de l’avance dans l’exploitation de leurs machines car il est vrai que le risque encouru était très faible et la probabilité de contrôles quasi inexistante.
API qui travaille depuis plus de 30 ans dans le milieu du travail aérien et de la photographie aérienne ne pouvait pas prendre ce risque, pour la structure, ses salariés, et bien évidement ses clients.
Comme nous le faisons avec notre avion, nous allons pouvoir exploiter notre drone avec les autorisations préfectorales et DGAC (direction de l’aviation civile) obligatoires.
Au vu de la complexité de la procédure (formation de pilote, DNC, certifications machines, assurances, déclarations et autorisations diverses…) il est peu probable que la majorité des prestataires qui se sont lancés pérennisent leur activité au vu des risques encourus, c’est dommage pour nombre de collègues qui possèdent toutes les capacités et les compétences nécessaires, et qui n’auront pas les moyens de se mettre en conformité, mais il était normal que cette activité se professionnalise enfin, pour assurer la protection du public au sol et des usagers de l’espace aérien (parfois bien encombré).
Le clip de présentation de cette nouvelle activité vous sera présenté très prochainement, et comme nous le faisons déjà pour notre activité photo et vidéo aérienne « grandeur », nous produirons pour chaque travail réalisé, les autorisations de vol nous ayant été délivrées.
On notera que ce texte s’applique également au ballons captifs et cerfs-volants, voila qui devrait permettre de clarifier aussi une situation anormale, qui conduit souvent les exploitants des ces machines à travailler de manière illégale et potentiellement dangereuse.
Nos clients ne pourront plus l’ignorer.