23 octobre 2012

¤ DOUBS : « RENDEZ-NOUS STAN MAILLAUD ! »

Classé dans : Etrange,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 2 : 30

Dimanche 21.10.12 à 05h00

Une cinquantaine de personnes entouraient la compagne du « Zorro blanc », hier à Amancey, pour exiger son retour. Mais où est-il ?

Janett Seeman, la compagne de Stan Maillaud, et Jérémy, l’auteur des révélations. Photo F.J.Janett Seeman, la compagne de Stan Maillaud, et Jérémy, l’auteur des révélations. Photo F.J.

Ils étaient une cinquantaine, hier, dans la salle de la mairie d’Amancey (Doubs) pour écouter le message délivré par Janett Seeman, la compagne de Stan Maillaud, cet activiste en lutte contre les réseaux pédocriminels, disparu depuis un mois maintenant, dans un champ de maïs à Bolandoz. Parfois venus de fort loin en France, ou de Belgique même.

Un amalgame assez hétéroclite de personnes sincèrement émues par les « révélations » sur les réseaux pédocriminels faites sur le site Internet du Ralliement des résistants pour la révolution tenu par Stan Maillaud ou d’autres, des activistes convaincus de l’implication dans ces réseaux de notables couverts par la justice, des illuminés persuadés qu’un troisième avion a frappé une troisième tour un fameux 11 septembre et qu’un complot maçonnique tente de le dissimuler aux yeux du monde, des représentants du groupe de nazillons comtois Werwolf Séquania… Sans oublier des membres du collectif « Nous ne sommes pas mortes de faim », soucieux de démontrer que l’énorme instruction de l’affaire Dutroux, qui a profondément traumatisé la Belgique, a été trafiquée pour ne pas aller au fond des choses et prêt à en dévoiler pour preuve des photos de l’autopsie de Julie et Mélissa… Difficile dans ces conditions de porter un regard critique sur les événements qui ont conduit à la disparition de Stan Maillaud le 22 septembre, sans passer aussitôt pour complice du système qu’ils dénoncent aux yeux de ces sympathisants qui se méfient de tout et tous et, en premier lieu, de la justice.

LARMES NON FEINTES

C’est en larmes non feintes que Jannett Seeman achève sa harangue. Elle y remet en cause la condamnation à un an d’emprisonnement de son compagnon, prononcée par défaut par le tribunal de Perpignan, le 2 avril 2009, et demande sa réhabilitation. Mais, surtout, elle exige qu’on le lui rende, persuadée qu’il est tenu au secret, voire pire, après son interpellation par la gendarmerie.

Ce qui « choque et blesse » les gendarmes du Doubs, qui estiment avoir fait leur possible pour le retrouver et ne pas le détenir : « En tant que militaires, qui sont en première ligne, et en tant qu’homme et femme, pères et mères de familles, nous partageons le même dégoût envers les pédophiles » dira le lieutenant-colonel Julien Burlet, commandant la compagnie de Besançon. Il en appelle « à toute information nous permettant de retrouver Stan Maillaud sain et sauf » et, surtout, de démanteler le supposé réseau pédocriminel qui sévirait dans le secteur de « Bolandoz, Amancey, Ornans et Reugney » évoqué.

« L’ENQUÊTE N’EST PAS CLOSE »

Car l’information attendue par tous était bel et bien celle donnée par Jérémy, un jeune Parisien qui dit avoir reçu les révélations d’une jeune femme du secteur, âgée de 20 ans, traînée « à l’âge de 6 ans par son beau-père dans des soirées où des enfants étaient attachés, humiliés, frappés et violés par des notables masqués ! »

Depuis le 22 septembre, et les notes de Jérémy trouvées dans la camionnette qui véhiculait Stan Maillaud, les gendarmes sont entrés en contact à deux reprises avec cette jeune femme, qui ne leur a pas confirmé ces accusations. « L’enquête n’est pas close » pour la gendarmerie, « en attente d’éléments » lui permettant de la poursuivre.

« Nous avons des preuves » clame pourtant Jérémy. « La justice veut toujours savoir les noms, mais c’est pour mieux faire le ménage derrière » lâche une voix dans la salle.

Toute l’ambiguïté des amis de Stan Maillaud est là, entre le désir de dénoncer et la crainte des autorités.

En attendant le retour de son compagnon, Janett Seeman a annoncé son intention de camper à Amancey avec ses soutiens et déclaré ouvert le premier colloque européen de lutte contre les réseaux pédocriminels dans la petite localité. « Ça durera ce que ça durera ! » a-t-elle affirmé.

Fred JIMENEZ

Pour toute information, la gendarmerie indique son numéro vert : 0.800.00.48.43.

source : http://smrrr.wordpress.com/

Rassemblement européen le 20 octobre 2012 à Amancey

•octobre 22, 2012 • 10 commentaires

Les récits de Janett Seemann et Jérémy Léhut

Je remercie de tout mon cœur tous les activistes qui ont suivi mon appel dans un très bref délai et qui sont venu de tous les coins de la France, de la Belgique et de la Suisse pour nous soutenir samedi dernier à Amancey.  La présence physique de chacun de vous a eu et a toujours beaucoup de valeurs pour moi, car cela garantissait un déroulement  positif de la journée pour moi personnellement (ma protection),  Stan et toute la cause qu’on défend tous ensemble.

Un grand merci encore à tous ceux qui se sont déplacés!

Nous avons eu un entretien avec le Lieutenant-Colonel Burlet avant la conférence de presse au cours de laquelle il nous expliquait que Stan n’était pas arrêté par ses hommes et qu’ils étaient toujours à sa recherche.  Je l’ai demandé expressément que je souhaitais qu’il soit présent à la conférence pour pouvoir lui permettre de répondre à mes accusations, mais malheureusement il n’a pas voulu.

Pendant la conférence de presse j’ai parlée de mes craintes et des sérieuses questions que je me pose concernant  la disparition de Stan, qui n’ont pas été relayé par la presse.

 

 1.  Pourquoi les gendarmes mentent-ils sur l’affaire de la poursuite et de la disparition de Stan ?

2.       Pourquoi la presse n’a rien voulu dire concernant la chasse à l’homme du 22 septembre dernier, malgré l’importance des moyens déployés ?

3.       Pourquoi les gendarmes ont-ils cru devoir traquer mon compagnon comme une bête sauvage, ce samedi 22 septembre ? Où, pourquoi Stan a-t-il un mandat d’arrêt ?

4.       Pourquoi Stan est-il emprisonné au secret ? Si c’est vraiment le cas…

D’après moi, il y a une réponse évidente :

Les autorités concernées veulent cacher tout ce qui est en rapport avec Stan dans cette région ce jour-là. Il y a ici un réseau criminel qui est protégé par certaines autorités, et ces autorités ne voulaient pas de publicité sur cette affaire. C’est raté !

Mais, il y a autre chose en plus : la « justice » ne veut pas que Stan passe dans une audience publique, suite à son arrestation! Il n’est pas question pour la « justice », que nous pouvons aussi bien appeler « imposture » que Stan puisse user de ses droits, c’est à dire de faire opposition au jugement qu’il a pris en 2009 pour « soustraction de mineur »!

J’ai parlée de l’affaire Vincent, bien sûr, et de cette condamnation à un an de prison ferme. Stan a été condamné en son absence, par défaut, cela veut dire qu’il ferait opposition et qu’on ne peut pas lui refuser! En théorie!

Aussi qu’il exigerait un procès public, sans avocat, puisque il leur fait plus confiance!

Parce que si Stan devait passer en « justice », dans un procès publique, avec le soutien énorme qu’il a aujourd’hui avec vous tous, ça ferait un bordel qui traumatiserait les imposteurs!

Il balancerait tout ce qui a été étouffé le jour où il a été condamné!

Car en plus, il y a de nouveaux éléments concernant le dossier qui vont obliger la «  justice » que l’on recommence tout à zéro!

Pour la question  :  pourquoi Stan a un mandat d’arrêt ? Elle doit être vue avec les trois autres, donc.

Pour cette confrontation de l’imposture judiciaire qui couvre le réseau de la région, j’ai fait deux chapitres :

Le premier  sur l’affaire Vincent, et le deuxième  sera de vous dire ce que nous avons sur le réseau de cette région!

Et quand j’aurais fini, les responsables politiques devront répondre à mes accusations, et expliquer ce qui s’est passé avec Stan, et qu’est-ce qu’ils comptent faire maintenant pour lui!!!

Et aussi pour que la justice soit rétablie sur ces deux histoires de réseau, pour commencer!

Parce que, aujourd’hui, j’ouvre en réalité le premier rassemblement, un colloque européen de lutte contre la criminalité en réseau sur enfant, et quand j’aurais fini, je laisserai la parole à tous les activistes et de tous les mouvements qui se sont déplacés ici aujourd’hui !

Nous allons tous, tout déballer en public, devant les journalistes, et nous exigerons des comptes de ceux qui prétendent aujourd’hui diriger ce pays !

Maintenant, je reviens sur la première question que je veux traiter ici :

Pourquoi mon compagnon a-t-il un mandat d’arrêt, comme un criminel, alors qu’il ne fait que son devoir d’humain pour aider un enfant en 2006 ?

Je vais donc vous faire un récapitulatif de cette histoire :

Stan a été arrêté, avec son protégé, qui s’appelle Vincent et la grand-mère.

Il a été enfermé en prison trois semaines, en toute illégalité ! Car il a été dit et écrit que son incarcération s’imposait pour mettre fin à une infraction grave, pour en éviter son aggravation et sa persistance !!

Ce sont des mensonges lancés sans que Stan soit en mesure de se défendre !

Premièrement, il n’y avait pas d’infraction du côté de Stan ; il n’a jamais fait de soustraction de mineur – dans cette affaire – : il a fait son devoir de citoyen, en essayant de protéger un mineur victime de réseau pédophile satanique, et en cherchant de l’aide dans la justice…

Sans résultat!

Vincent avait témoigné! Son témoignage tourne toujours sur internet, grâce à Stan. Et avec toutes les accusations de cet enfant, les gendarmes avaient toujours refusé de l’entendre, et le procureur avait au contraire décidé de le rendre à son bourreau, et d’enfermer sa mère en prison deux mois pour la punir!

Alors, où est l’infraction ?!

Il a été dit qu’il fallait mette fin à la persistance et à l’aggravation de l’infraction fantôme : mais, malheureusement, à cause d’un président d’association, Vincent avait été récupéré en même temps que Stan, par les gendarmes !

Comment il pouvait y avoir une persistance et une aggravation de leur invention d’infraction de soustraction de mineur ?

Comment est-il possible que l’on jette des gens qui font leur devoir en prison, en inventant des infractions et en se servant de mensonges ?!

Alors, quand Stan est sorti de prison, trois semaines plus tard, avec quinze kilos en moins parce qu’il avait fait la grève de la faim, il a décidé que c’était une mauvaise idée de continuer de se soumettre à des menteurs et des tricheurs, qui protègent les criminels et enferment les bons citoyens.

Il a pris ses responsabilités, et a mis le témoignage de Vincent en ligne, parce que c’était tout ce qu’il pouvait faire pour lui! Et il a accepté de payer le prix de la cavale pour ça!

Il a surtout accepté le risque de disparaître, comme le 22 septembre dernier, si un jour il était repris!!

Car il m’a toujours dit que si ça arrivait, ce qui s’était produit, tout serait fait pour qu’il soit interné et détruit, au minimum, et qu’il ne puisse jamais avoir un procès équitable et public! Il avait raison!

En 2009, Stan a été condamné bien sûr. On lui a tout mis sur le dos. Les magistrats, c’est-à-dire les imposteurs, ont dit que c’était lui le principal coupable de la « soustraction de mineur » ; et il n’y a eu personne pour faire remarquer que c’était impossible !

Que Vincent avait toujours été en compagnie de sa mère ou de sa grand-mère pendant tout le temps où Stan s’occupait d’eux!! Que si il y avait eu cette infraction, il ne pouvait qu’être complice, et non pas l’auteur principal! Comme s’il avait pris en otage la mère et la grand-mère de Vincent! Elles sont quand-même majeures, non!?

Et cette femme magistrat, qui a aidé Stan et à garder l’enfant un mois et demi chez elle ? Cette femme qui a été balancée par le président d’association, parce que lui, il était accusé d’être le complice de Stan.

Comment ça se fait qu’elle n’a même pas été mise en examen? C’est super pour elle, parce qu’elle est un exemple de courage pour tout le monde. Mais à part ça, vous voyez de la justice dans tout ça ?

Mais revenons plutôt à ces deux dames, la mère et la grand-mère de Vincent, pour qui Stan avait tout fait : elles l’ont roulé dans la merde et lui ont tout mis sur le dos !

Bien sûr, madame Myriam Roig, la mère de Vincent, avait passé un contrat avec l’imposture judiciaire; elle pouvait récupérer l’enfant si elle obtenait son silence et si elle enfonçait celui qui avait tout fait pour les aider! Elle a obtenu une promotion dans son travail, à la mairie, appuyée par un sénateur maire. Qu’est-ce que vous pensez de ça ?

Normalement, cette femme aurait dû être encore plus sévèrement condamnée que la première fois, non?

Mais curieusement, du coup, elle n’a eu  que du sursis. Pendant que Stan prenait un an au moins de prison ferme!!!

On sait aujourd’hui que c’est loin d’être tout, et qu’elle a même accepté que Vincent subisse le pire plus tard. Nous sommes certains qu’elle a livré son fils au réseau par la suite, alors qu’elle en avait récupéré la garde officielle.

Si nous allons rouvrir ce dossier et ça va faire très très mal !

Pour revenir à l’infraction que Stan aurait commise en 2006 : qui il y avait-il, ce jour du jugement à Perpignan,  pour faire remarquer qu’il n’y avait aucun élément moral pour constituer l’infraction ?

Pour dire que sans cet élément moral, il n’y avait qu’une illusion d’infraction, sur la base d’une véritable bonne action pour aider un enfant victime ?!

Pourtant, il y avait bien du monde ce jour-là avec des diplômes de droit et des belles robes noires, non ?

Alors, puisqu’on est tous là pour régler les comptes avec l’imposture judiciaire et l’imposture politique, acceptez-vous que Stan subisse encore plus longtemps cette condamnation criminelle, et qu’il soit traité comme un danger public qu’il faut lobotomiser ??

Je vous demande alors, pour commencer, de vous joindre à moi pour faire les pressions qui s’imposent, et exiger à ceux qui prétendent diriger ce gouvernement et cette justice, afin que cette condamnation soit déclarée nulle et non avenue, que tout l’affaire soit révisée et surtout que Stan soit immédiatement libéré !!!

Mais si la justice  pense aujourd’hui bien faire en coupant la tête de Stan pour écraser toute résistance, vous vous êtes trompé. C’est le contraire qui se passe. Ils ont provoqué l’effet inverse.

Si vous ne me rendez pas Stan, s’il ne sort pas rapidement au grand jour, en état et en plein santé physique et psychique avec les honneurs et réhabilitation de sa situation citoyenne, nous n’allons pas en rester là.

Vous êtes allés trop loin, déjà trop longtemps. Il arrive un moment ou tout explosera et je pense que nous n’en sommes pas très loin.

Alors, si vous ne nous rendez pas Stan je ne sais pas quelle conséquence cela aura pour la paix sociale et si elle va survivre l’hiver 2012.

Nous avons compris aussi que la paix sociale était quelque chose de sacré dans ce pays, ici comme ailleurs.

Et pour la paix sociale la « justice »,  c’est-à-dire l’imposture judiciaire ment et triche et ne laissera pas sortir la Vérité sur la réalité de ces réseaux criminels de notables en France qui violent, torturent et met à mort des enfants. Parce que si les braves gens qui travaillent tous les jours pour une misère, étaient au courant de la réalité de ce qu’il se passe sous leurs yeux, partout dans ce pays avec des enfants, c’est sûr que la paix sociale serai en grand danger!

Parce que c’est insupportable ce qui se passe!

Le « problème » que nous avons, moi comme tant d’autre, c’est que nous faisons plus confiance en cette « justice », car nous avons des preuves dans des multiples dossiers de ce genre.

Et si vous vous intéressiez  à ces dossiers et que vous alliez jusqu’au bout pour la Vérité, vous allez comprendre!

Nous sommes tous là pour finir le travail de Stan. Un seul homme, ou une seule femme, ou même un seul homme avec une seule femme, ne peuvent pas porter une guerre comme celle-là, tout seul, sur leur dos. Il fallait que je le dise, et il fallait que ce qui est arrivé à Stan dernièrement donne enfin vie à cette résistance pour laquelle il a tant donné !

 

Après on est passé au deuxième chapitre :

L’autre  bataille pour laquelle on est là maintenant:

Comme je disais, il y a un réseau criminel ici qui est protégé par certaines autorités.

Je vais laisser parler Jérémy sur cette affaire, car c’est lui qui est en contact avec le témoin-victime depuis plusieurs mois.

 

Le récit de Jérémy :

 

X, 20 ans est venu à moi il y a 8 mois. Nous avons été présentés par une amie en commun.

Les faits :

X est abusée dès son plus jeune âge par son grand-père maternel, qui dit vouloir l’éduquer sexuellement avec son grand frère, Y. Le grand-père s’enferme avec eux dans une chambre et les forces à des pratiques sexuelles, ceci, avec l’accord de la mère, qui deviendra elle aussi bourreaux en forçant également X et son grand frère à avoir des relations sexuelles.

La mère de X vit aujourd’hui avec un homme (le père de X est décédé d’un accident de voiture lorsque cette dernière avait 2 ans) qui a 3 enfants.

A partir de ses 6 ans, X commence à aller dans des « soirées », pour reprendre ses mots. Des soirées pendant lesquelles des enfants sont attachés, torturés et violés par des hommes et des femmes aux visages masqués. La victime me rapporte ces quelques mots pendant une discussion :

« Une fois, ils ont tellement frappé un enfant qu’il ne s’est pas réveillé ».

C’est le beau-père qui emmène la famille dans ces soirées. La victime me décrit sa mère comme étant quelqu’un qui ne croit plus en Dieu et qui possède une figurine à l’éffigie de satan ainsi qu’un médaillon le représentant. Le beau-père de X vend de l’héroine et en donne régulièrement à cette dernière.

X me rapporte également qu’elle ne veut absolument pas voir les gendarmes car :

« Ils me traitent de folle ».

A ceci j’ai répondu :

« Les gendarmes font-ils partis de ce réseau ? Sais-tu si l’un d’eux, un haut gradé ou autre, participe à ces soirées ? »

Sa réponse en dit long : « Pas le droit de parler… ».

X explique qu’il y a deux maisons dans lesquelles se déroulent ces soirées.

Plus nous parlons, plus je découvre l’horreur que subissent plusieurs enfants dans cette région. Les enfants sont donc frappés, violés, humiliés (attouchements sexuels avec de la nourriture, qui aura par la suite pour effet de dégoûter X de tout aliment) et forcés de boire de l’urine et de manger des excréments, le tout étant parfois filmé.

La région de franche-comté, à part Besançon, ne connait pas de grandes villes, les villages sont séparés par des champs, des forêts, ou des kilomètres de petites routes de campagnes. L’atmosphère est étrange et malgré la nature qui domine, l’endroit qui regroupe ces quelques villes : Bolandoz, Amancey, Ornans et Reugney, est lugubre.

X est régulièrement attaquée par son grand frère, Y, qui la frappe et la viole dès qu’il en a l’occasion, avec ses copains, ou seul.

La jeune fille est forcément troublée, terrorisée et ce qu’elle dit à propos d’elle est affreux : « ce n’est plus mon corps, je veux juste mourir, il n’y a que les scarifications qui me calment ».

Profondément marquée par ce qui lui arrive, la seule solution pour X de s’en sortir est de faire connaitre cette histoire et de la diffuser partout où nous le pouvons, car le bruit que produira cette histoire permettra sa protection.

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Point de rassemblement Amancey 20 octobre 2012 à14h30

•octobre 19, 2012 • 30 commentaires

Le rassemblement aura lieux à 14h30 au stade d’Amancey, rue de la Lavière.

Vous allez à l’église d’Amancey, puis vous continuez la route de l’Église vers la caserne des Sapeurs Pompiers.

Vous êtes arrivés au stade.

 

Je vous attends avec impatience et je précise que je n’ai pas une armée de gardes du corps autour de moi.

J’ai vraiment besoin de chacun de vous pour ma protection, ainsi que Stan et les enfants en danger.

 

Nous avons une logistique pas très loin, pour pouvoir tenir sur place tous ensemble le temps qu’il faut!

 

Merci et à demain,

Janett Seemann

 

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Précision Rassemblement européen à Amancey

•octobre 18, 2012 • 4 commentaires

Pour ne pas semer la confusion concernant le rassemblement à Amancey le 20 octobre 2012, je vous confirme qu’une conférence de presse est egalement bien organisée. Preparez les T-shirt, dénoncez de ce que vous voulez dénoncer à votre façon! Soyez creatif! C’est le moment de tout dire!

Le lieu du point de rassemblement ainsi que l’heure vous sera communiqué demain.

A samedi,

Janett Seemann

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Compte rendu sur l’affaire de la disparition de Stan le samedi 22 septembre vers 15 heures, par Janett Seemann

•octobre 12, 2012 • 7 commentaires

Ce jour là, j’étais avec Jerry dans un véhicule, et Stan avec Toff dans son fourgon.

On se rendait tous à Bolandoz pour travailler sur le réseau satanique pédophile de la région.

Il y a un témoin, victime de ce réseau, qui était en contact avec Jerry depuis plusieurs mois, et qui lui avait fait des déclarations terrible par e-mails.

C’est une affaire de soirées dans des villas avec des notables, et des enfants qui sont violés et torturés. Le témoin-victime a fini par déclarer avoir aussi vu un enfant mourir pendant les tortures.

 

Il y avait suffisamment d’éléments et de noms de personnes impliqués pour faire une enquête plus profonde sur le terrain. Il était question de rencontrer le témoin pour avoir encore plus d’éléments, et surtout de l’aider à en sortir, car il est en danger de mort actuellement!

D’après des déclarations de ce témoin-victime le réseau est protégé par des gendarmes.

Jerry était arrivé à convaincre le témoin-victime de cette rencontre, dans le but de l’aider.

Nous sommes donc parti en équipe avec deux véhicules. Chaque équipe avait un walkie-talkie.

La première équipe, Jerry et moi, avec notre véhicule, devait aller à la rencontre du témoin-victime, sur le rendez-vous pris à Bolandoz.

La deuxième équipe c’était Stan et Toff, dans le fourgon de Toff. Ils devaient assurer notre protection, en cas de piège. Dans les histoires de réseaux avec un témoin plus ou moins découvert, on ne sait jamais sur quoi on peut tomber.

 

Quand nous sommes entré dans le village mon véhicule a été suivi par une voiture de gendarmes, ce qui commençait à m’inquiéter. La deuxième équipe qui était passé devant s’était arrêté au niveau d’un carrefour pour nous attendre, et chercher où se trouvait le point de rendez-vous à Bolandoz.

Au moment où nous sommes passés devant l’endroit où était arrêté la deuxième équipe, les gendarmes qui nous suivaient ont repérer alors le fourgon de Toff.

A ce moment, les gendarmes ont fait demi tour derrière moi pour suivre le fourgon de Toff qui repartait.

Quand j’ai moi-même fait demi-tour j’ai vu que le fourgon de Toff était suivi par deux véhicules de gendarme. Un  deuxième véhicule était arrivé subitement.

Celui qui était juste derrière le fourgon avait son gyrophare et sa sirène.

Jerry et moi avons compris qu’il avait danger, surtout pour Stan, et que le fourgon risquait de se faire contrôler.

Le dernier sms que j’ai reçu de Stan disait : « on coupe radio ». Puis, plus rien.

Nous ne nous sommes pas arrêté pour observer, par peur de nous faire contrôlé et fouillé avec tout le matériel et les dossier sensibles a bord.

J’espérais aussi que seulement Toff, le conducteur du fourgon, serait contrôlé.

A ce moment, sans savoir comment se qui se passait avec les gendarmes, nous avons reçu un sms du témoin-victime qui nous attendait. Il fallait continuer ce qu’on était venu faire venu malgré tout. On verrait plus tard pour le reste.

 

Jerry et moi avons donc rencontré le témoin-victime au point de rendez-vous.

Nous l’avons fait rentrer dans notre véhicule pour discuter tranquillement.

Toutes les informations sensibles sont depuis en sécurité auprès de plusieurs activistes.

Pendant ce temps on remarquait beaucoup de véhicules de gendarmerie qui circulait. Ça nous inquiétait beaucoup Jerry et moi. Peut-être que tout ça pour Stan, et que donc il avait été identifié et arrêté? Mais il fallait que je garde mon calme et que je continue l’entretient avec le témoin.

Après avoir quitté le témoin, vers 17 heures, nous avons chercher la deuxième équipe. Nous n’avons plus eu de contact ni avec Stan, ni avec Toff.

Nous avons trouvé la gendarmerie la plus proche qui est à Amancey. Nous sommes passé devant et avons vu le fourgon de Toff sur le parking. A ce moment là, nous avons compris que le contrôle de gendarmerie c’était mal passé. Malgré tout, j’espérai que Stan avait pu s’échapper, mais ça paraissait quand même peu probable. Il y avait eu deux patrouilles derrière eux, ça fait beaucoup de monde. Selon moi, si il était en fuite, il aurait emporté au moins son portable avec lui pour me prévenir. Cette absence de communication me confirmait qu’il avait bien été arrêté aussi.

Vers 20 heures 20, après tout ce temps à reflechir quoi faire nous avons reçu un appel de Toff. Il quittait la gendarmerie, était relâché. Il a alors demandé si nous avions des nouvelles! Pour nous, c’était lui qui devait en avoir! On lui a demandé alors de se rendre à un endroit précis de la ville d’Ornans où on a fait le point avant de partir et qu’on connaissait tous.

On voulait faire le point avec lui. Mais cela ne l’enchantait pas, et il était pas content de devoir faire demi tour; il était déjà sur la route de Besançon, pas du tout préoccupé de nous informer! Il nous a semblé affolé et disait qu’il avait « des flics partout » et qu’il devait partir au plus vite.

Au moment de reprendre alors la route en quittant Bolandoz pour aller retrouver Toff, je me suis arretée à un stop et j’ai vu arriver sur ma droite un véhicule de gendarmerie. Il faisait déjà nuit mais il avait les gyrophares, sans sirène. Il est passé juste dans mes phares, et il m’a semblé, en une fraction de seconde, reconnaître Stan à l’arrière du véhicule de gendarmerie!

Sur le coup, j’en était sûre. Plus tard, en y réfléchissant, j’avais un doute. Peut-être que je m’était monté la tête par l’émotion? En plus, Jerry a seulement vu la voiture passé, rien de plus.

Mais le soir en question, j’étais bouleversée. Persuadée que c’était Stan, j’ai décidé de ne plus aller à la rencontre de Toff. Il m’énervait par son comportement, et surtout je me demandais pourquoi il avait été relâché si vite. J’ai eu peur que se soit un piège tendu par les gendarmes pour attraper toute l’équipe. Car je savais qu’ils avaient dû trouver le walkie-talkie de Stan dans le fourgon de Toff et comprendre qu’il y avait donc une deuxième équipe. Aussi avec nous les éléments de notre enquête sur le réseau qu’ils protègent.

J’étais certaine que les gendarmes qui nous avaient suivis au début avaient bien repéré notre immatriculation en nous suivant avant de changer de direction. En plus, je me rappèle que Toff avait envoyé un sms quelque jours avant sur le portable de Stan pour savoir si on avait ce véhicule là pour le voyage.

Donc, je savais que si on était tous arrêtés, ça n’aurait pas aidé Stan, mais empiré la situation.

Jerry et moi nous avons roulé pour sortir de la zone dangereuse. On est allé à Besançon pour trouver un coin où essayer de dormir tranquilles. Je n’ai bien sûr pas pu fermer l’œil de la nuit, et j’avais déjà alerter des activistes de l’arrestation de Stan.

J’ai essayé d’appeler un ami fiable qui habite Grenoble pour qu’il nous rejoigne et nous aide à réfléchir à ce qu’il fallait faire, mais il était sur messagerie.

Le lendemain, un autre copain me rejoint à Besançon. Il accepte d’aller à Ornans pour attendre Stan le temps qu’il faut au cas ou. Jerry avait déjà dû partir de son côté et moi, je suis parti pour la Suisse pour trouver de l’aide pour la suite.

Une amie activiste qui était en contact avec Toff m’expliqua qu’il avait vu Stan s’enfuire en courrant au moment du contrôle de gendarmerie, et qu’en suite il avait assisté au déploiement de forces de la gendarmerie ; équipe avec chiens et hélicoptère!(L’hélicoptère avait été annulé en raison du brouillard.)

Avec de tels moyens, je voyais mal comment mon compagnon avait pu s’en sortir, sans argent sur lui, sans moyen de communication, dans une région qu’il ne connaît pas et où il n’a aucun contact. Mais d’après notre amie, Toff croyait malgré tout que Stan avait pu s’en sortir. Il disait qu’avant d’être relâché par les gendarmes, il avait vu les équipes « rentrer bredouille ». J’espérais alors que j’avais mal vu en croyant reconnaître Stan dans la voiture de gendarmerie.

En Suisse, j’espérais trouver de l’aide pour revenir très vite dans la région de Bolandoz –Amancey-Ornans, et prendre la place du copain venu attendre Stan à Ornans.

Il fallait revenir sans mon véhicule qui était « grillé ». Donc, j’ai perdu quelques jours en attendant des rendez-vous qui n’ont rien donné. Les amis et activistes de la région se dégonflaient ou était injoignable, comme trop souvent quand on a besoin d’aide. Entre temps, le copain qui attendait à Ornans avait dû repartir chez lui. Il avait tenu près de trois jours, sans résultat. J’étais de plus en plus inquiète.

Sans solution, j’ai réessayé de contacter l’autre ami qui habite à Grenoble. Il n’était plus sur messagerie et je lui ai expliqué la situation. Il m’a rejoint en Suisse et m’a accompagné à la suite en Italie et ailleurs. J’ai  contacté aussi des proches de Stan pour les informer et trouver de l’aide. J’ai eu du mal à m’organiser et le temps passait. Je savais qu’il fallait retourner dans la région d’Amancey à tout prix et j’imaginais qu’il était peut-être toujours dans la nature pourchassé par les gendarmes. J’ai décidé de faire croire que lui et moi, nous sommes déjà loin.

Ce que m’a redonner espoir c’est que j’ai appris par Jerry que les gendarmes sont allés voir le témoin entre temps, comme si ils cherchait Stan ! Ils lui ont même dit que Stan est un assassin en cavale! J’étais sure à ce moment là, qu’il n’était pas pris par les gendarmes. Sinon il n y avait pas d’explications. Ou alors, les gendarmes avait bien attrapé Stan et voulaient faire croire que c’était pas le cas!?

Effectivement ce qui était bizarre aussi, qu’il n’avait rien dans la presse local.

Mais j’espérais que l’explication c’est qu’ils n’avaient pas attrapé Stan. Il fallait alors essayer de faire croire qu’il était déjà loin et de les mettre sur une mauvaise piste. Ca me permettait de revenir le chercher avec de l’aide et un autre véhicule à l’endroit ou il y avait un espoir qu’il se cache en attendant le secours.

Comme j’étais chez des proches de Stan, j’ai demandé à eux de faire la désinformation si des policiers venaient questionner. Aussi de téléphoner avec des amis à eux en France pour parler de Stan et donner des fausses informations. Car je suis sûre que ces proches sont sur écoute, et qu’il est très facile aux autorités de les trouver.

Les proches de Stan ont accepté de faire croire qu’ils nous avaient vu ensemble, lui et moi, passer dans le coin pour aller vers la Croatie.

Je suis alors reparti avec le copain de Grenoble, qui m’avait accompagné jusqu’à là pour retourner dans la région dangereuse, même si j’avais très peur pour moi aussi de me faire attraper et de « disparaître » aussi.

Quelques jours plus tard, j’ai décidé de faire une communication sur Internet. Jusque là, j’avais le problème qui si je parlais de la disparition de Stan avec l’épisode des gendarmes qui l’avaient arrêté, le témoin-victime serait démasqué, et alors en danger de mort. Mais là, je savais que de toute façon le réseau avait compris que si Stan était venu dans le coin s’était pour faire une enquête et le rencontrer lui. Le seul moyen de protéger le témoin aussi était alors comme pour Stan, de faire beaucoup de bruit, mais sans encore parler du témoin avec trop de détails.

Là c’était impossible pour moi de communiquer avec les activistes sans de donner ma position. Ils ont pensé pendant quelque jours que j’avais aussi disparue. Malheureusement nos recherches pour retrouver Stan n’ont rien donné.

Mais quelque jours plus tard le groupe d’activistes de Morkhoven a annoncé une dure nouvelle :Stan avait bien été arrêté, et était tenu au secret. Un avocat avait été engagé par le groupe pour assister Stan.

Le ciel m’est tombé sur la tête. Mais au moins, Stan est en vie!!! J’avais également redouté le pire pendant tout ce temps, car je sais à quoi nous avons a faire.

Je dois dire que j’ai aussi peur pour moi. Je dois sortir au grand jour pour faire une action avec tous les activistes, et avant, pour ma sécurité je communique ce message, même si ça prend encore un peu de temps.

A partir de maintenant, si vous n’avez plus de nouvelles de moi non plus deux jours après la publication de mon message, c’est qu’il c’est passé quelque chose et que j’ai besoin de secours aussi!

 

Aujourd’hui, je prépare une confrontation publique avec les autorités.

Il y a des gendarmes d’Amancey qui mentent depuis le début et qui cachent beaucoup de choses!

Il y a aussi des gendarmes qui sont obligés de se taire, mais ils doivent maintenant dénoncer les vrais criminels!

Je vais faire une conférence en publique, devant la gendarmerie d’Amancey, avec le soutient et la protection de tous les activistes!

Je compte sur tout le monde pour venir avec moi, pour faire sortir la Vérité! Je suis en route maintenant et je vous donne rendez-vous très bientôt.

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SOS – Stan Maillaud, mon compagnon, disparu après un probleme avec les gendarmes

•octobre 4, 2012 • 64 commentaires

Les faits

Samedi, 22.09.2012 :

Pendant que Stan, moi et notre équipe faisait une enquête sur les réseaux pédophiles et sataniques dans la région de Besançon, le fourgon de son équipier dans lequel Stan se trouvait se faisait suivre par deux voitures de gendarmes vers 15 heures. J’ai vue les feux bleus et j’ai entendu leur sirène.

Ce que j’ai appris plus tard, c’est que Stan a pu s’échapper, comment, je ne le sais pas exactement.  Son équipier était bloqué avec les gendarmes jusqu’à 20 heures.

Il a vue que des équipes avec chien étaient envoyées derrière Stan. Un hélicoptère était commandé, puis annulé à cause du brouillard.

Notre équipe a essayé de retrouver les deux, puisque tout contact était interrompu. Vers 19 heures on a retrouvé le fourgon de son équipier à la gendarmerie d’Amancey. (Environ 20 km au sud de Besançon).

Vers 20h20 l’équipier nous appelle pour dire qu’il est sorti. Il nous demande si nous avons des nouvelles. Nous sommes surpris, c’était à lui de nous en donner. Jusqu’à la on était persuader qu’il était pris par les gendarmes tous les deux.

Vers 20h30, le même jour, sur la route pour rejoindre notre équipier, je suis relativement sur d’avoir vue Stan dans une voiture de gendarmes. J’étais à un stop, il faisait nuit, une voiture de gendarmes passait devant mes phares et je pense que c’était Stan à l’arrière de la voiture.

Dans le doute, si ce n’était pas lui avec les gendarmes ou qu’il arrive à s’échapper ou d’être libérer, quelqu’un l’attendait dans la région à un endroit précis pendant 3 jours. Moi je ne pouvais pas rester parce que je suis relativement sur que mon véhicule et moi était remarqué.

Depuis on a perdu toute trace de lui.

J’ai appris que Stan n’a pas pu s’enfuir avec son téléphone et que c’est les gendarmes qu’ils l’ont pris. Je sais aussi qu’il n’avait pas d’argent sur lui.

Il n’a pas de moyen de se déplacer, de me contacter ou quelqu’un d’autre, puisque j’ai son carnet d’adresse.

Je n’ai pas de doute qu’il est arrêté.

J’ai appris également que les gendarmes ont appelé le dimanche matin l’équipier de Stan, qui était rentré chez lui. Les gendarmes ont demandé des choses incroyable par exemple, si Stan ne l’a pas contacté, s’il n’a pas prévue de lui rendre ses affaires etc…

Je pense que s’il n’avait pas attrapé Stan ils surveilleraient son équipier tout simplement. Pourquoi cet appel ? Ca ressemble que Stan aurait pu s’échapper au début, qu’ensuite il aurait été attrapé. Ca me semble logique, avec tous ces moyens. On est quand même pas dans un film de fiction! Mais qu’ils veulent nous faire croire que non. Ca, c’est très inquiétant, parce que là, ils peuvent même le tuer sans l’amener à la gendarmerie, puisque on sait qu’il y a aussi les gendarmes qui protègent les réseaux et qui en font partie.

Ils ont mis en œuvre des moyens pour l’attraper, comme pour quelqu’un de « dangereux », mais pas un mot dans la presse.

Qu’est-ce qu’ils essayent de cacher ?

Je suis morte d’inquiétude.

Je fais un appel, un appel ici à tout le monde de s’activer, se mobiliser pour retrouver Stan. A tous les journalistes de faire une enquête, à tous les gendarmes qui ne sont pas pourris, à tout les activistes de diffuser l’information et d’aller voir en bloc qu’est-ce qu’il se passe à la gendarmerie d’Amancey, faire des manifestations là-bas pour les obliger de dire la vérité !!! A toutes les mères que Stan a déjà aidé et tous les gens qui ne supportent pas que les enfants soient violés, torturés et sacrifiés.

Je vous prie de faire vite et en bloc !!!

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Message 3/2012 de l’O.C.C.U.L.T.E aux membres des forces dites publiques (Attention ! A la suite du texte en version imprimable, message spécial 4/2012 !)

•juillet 16, 2012 • 2 commentaires

Gendarmes, policiers

Vous avez enfin été débarrassés du caractériel à talonnettes.

Mais ne vous réjouissez pas trop vite, car vous n’avez pas vraiment gagné au change, avec votre nouveau donneur d’ordres…

(Je salue bien bas au passage le retour du criminel impunis Laurent Fabius auquel je ne souhaite que de se prendre une piqûre de seringue contaminée dans une apparition publique ou un meeting quelconque…)

Décrit par ses proches collaborateurs comme un partouzard notoire –ils doivent savoir de quoi ils parlent – il est certain que François Hollande porte « bien haut » les valeurs tant plébiscitées par notre imposture politique : Sexe, débauche, abus de pouvoir et trahison.

Ne prévoit-il pas de permettre l’adoption par des couples homosexuels ?

Je n’ai rien contre ces derniers, mais n’étant ni binaire ni extrémiste, je n’apprécie ni les effusions pornographiques publiques des gays parades, ni l’idée que leurs auteurs puissent si facilement mettre la main sur un enfant, sous couvert de l’adoption…

Sérieusement, qu’est-ce qui peut bien pousser un couple de lesbiennes à vouloir adopter une petite fille, ou un couple de sodomites mâles à prendre en main un petit garçon orphelin ?

Accepteriez-vous, quant à vous, le principe que les homos puissent adopter votre enfant, s’il vous arrivait malheur avec votre conjoint, et/ou si un juge aux affaires familiales le décidait ?

Nous savons parfaitement qu’une telle mesure permettra également le placement d’enfants dans des familles « d’accueil » homosexuelles, et dans des cercles de partouzards pédophiles.

Car, les personnes un  tant soi peu averties – dont vous ferez forcément partie dorénavant  – savent que la France applique une politique massive de placement abusifs. Nous parlons d’un sur deux, sur base des 150 000 enfants placés par an, des propres sources officielles.

Deux raisons à cette infamie :

Premièrement : L’Etat claque 6,7 milliard d’euros par an pour les placements d’enfants ; ce qui contribue à l’entreprise formelle de mise en faillite de la Nation (conformément aux dictats des banquiers privés internationaux)!

En outre, comme il en est des scandales des ronds-points et des HLM, ces mouvements de fonds permettent que des enveloppes bien garnies volent en formations serrées.

Deuxièmement : Toujours pour suivre les dictats des criminels de la haute finance internationale ; le noyau familial explose, à travers de véritables actions terroristes, dont, vous mesdames et messieurs, assurez la sérénité de leur mise en œuvre.

Le contexte dans lequel les enfants sont arrachés à une mère, un père, ou même un couple de parents, sans aucune raison valable, est souvent celui où l’enfant en question a eu le malheur de vouloir témoigner dans un cadre d’agressions sexuelles par ascendant, parent ou instituteur franc-maçon ou rosicrucien, par exemple.

Là encore, dans ce genre de contexte, gendarmes et policiers agissent, en général et sur ordre, non pas pour qu’il y ait une enquête avec manifestation de la vérité, mais bien pour que la terreur la plus absolue s’applique, au bénéfice de réseaux de notables pédophiles.

Si un enquêteur fait correctement son travail, le procureur classera sans suite…

Si l’enquêteur insiste, malgré tout, c’est lui qui sera « classé sans suite» …

Le niez-vous ? Quelle est votre position personnelle sur le sujet ?

Votre nouveau donneur d’ordres ne va pas prendre la défense de ces innombrables enfants, ni intervenir en faveur de la justice, que vous espériez quant à vous servir en vous engageant.

Nous vivons la parfaite application des protocoles des Sages de Sion ; ces plans maudits, écrits par Rothschild and Co, qui prévoient d’avilir les masses dès le plus jeune âge.

Avec l’ONU qui décrète que la sexualité de l’enfant entre en ligne de compte dès dix ans, la mode de la pédophilie a décidément, et formellement, le vent en poupe !

Et si vous n’êtes toujours pas convaincus, je vous invite à faire un tour à la FNAC : Vous y trouverez les dernières aventures de « Titeuf », où l’on apprend à un gosse de huit ans comment faire une fellation, ou encore le très remarquable ouvrage de la vilaine petite Lulu.

J’espère également que les cirques télévisuels des mini-miss ne vous convainquent  pas plus que moi de leur pertinence, pas plus le fait que les marques de fringues fassent des strings pour fillette de huit ans…

Mais, mes chers camarades, avez-vous bien conscientisé l’infamie qui se répand à travers l’outil de manipulation mentale que constituent d’une part le « jeu de la mode » et d’autre part notre sacro-sainte télé ?

Notre société doit plonger dans les tréfonds de la décadence la plus crasse, car, comme l’avaient compris entre autres les premiers criminels de la haute finance internationale, c’est le meilleur moyen de faire de notre triste espèce un bétail bien facile à « traiter ».

Et notre prétendue élite politique agit dans ce sens, depuis belle lurette, favorisant l’ascension sociale à travers la franc-maçonnerie – par exemple- aux dépravés adeptes des « crimes sexuels sur mineurs »…  … « en réunion », de préférence…

Regardez donc un peu en direction des énarques, des préfets, sous-préfets, procureurs et hauts cadres de vos corporations respectives, quelle est la réelle tendance. Ça ne sera pas bien difficile ; les détraqués accrocs des réunions orgiaques où ils amènent jusqu’à leurs propres enfants ne se cachent même plus. Ne leur garantissez-vous pas l’impunité, en courbant l’échine et en vous barricadant derrière les illusions et la notion d’ordre reçu ?

Ou, êtes-vous réellement persuadés que tout cela n’est que « théorie de complot » ?

Etes-vous si certains que vos enfants, vos descendances, n’ont quant à eux, rien à redouter de l’imposture sociétale maudite dans laquelle vous les condamner à errer ?

Pardonnez mon ton si acide. Je ne vous vois toujours pas réagir, juste donner raison à tous ces misérables qui ricanent de mes efforts. Ceux-ci affirment que je ne suis qu’un pauvre idiot en jugeant bon de  m’adresser à vous…  …parce que vous ne seriez tous que des lâches, des corrompus et des traîtres sans conscience !

Mais, j’ai été gendarme… Assez pour savoir mieux que quiconque ce que l’on ressent quand on réalise que son idéal est détourné, et que l’on perçoit l’écrasement de la chaîne de commandement, associé aux chaînes des crédits en cours et d’une carrière à préserver.

Je connais le goût amer de la honte et du déshonneur, que seule la rébellion, la Résistance, sous une forme ou une autre, peut laver !

Car, on a toujours le choix de ses actes ou non-actes, même avec le canon d’une arme sur la tempe. On a toujours le choix des risques à prendre, pour rester fidèle à son serment, quoi qu’il en coûte !

L’O.C.C.U.L.T.E (Organisation Clandestine Civique Universelle de Lutte contre le Terrorisme d’Etat) est le camp de notre – de votre ! – Résistance face à l’imposture qui vend votre âme au diable.

Un camp qui n’attend plus que vous !

A très bientôt, mes amis !

Stan Maillaud. « Gendarme un jour…   …gendarme toujours ! »

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