¤ Un neurologue met en garde : l’aluminium des chemtrails pourrait entraîner une « explosion des maladies neurodégénératives »
Un neurologue met en garde : l’aluminium des chemtrails pourrait entraîner une « explosion des maladies neurodégénératives »
12 avril 2013 Russell L. Blaylock, neurologue
Les nanoparticules d’aluminium sont infiniment plus réactives et peuvent facilement passer la barrière hémato-encéphalique. Internet déborde d’histoires de « chemtrails » et de géo-ingénierie pour lutter contre le « réchauffement climatique » et, jusqu’à tout récemment, je ne les prenais pas au sérieux. L’une des principales raisons de mon scepticisme, était que j’avais rarement vu dans le ciel, ce qui était décrit. Mais au cours des dernières années, j’ai remarqué un grand nombre de ces traînées et je dois reconnaître qu’elles ne ressemblent pas à celles que j’observais dans le ciel quand j’étais enfant. Elles sont nombreuses, assez larges, leur tracé est précis, et lentement elles se transforment en nuages artificiels. C’est particulièrement inquiétant d’en voir maintenant un si grand nombre – des dizaines tous les jours- salir le ciel.
Ce qui me préoccupe avant tout c’est qu’il existe des preuves que des tonnes de composés d’aluminium de taille nanométrique sont pulvérisées. Des articles scientifiques et médicaux ont démontré que les particules de taille nanométrique sont infiniment plus réactives et provoquent une inflammation intense dans un certain nombre de tissus. L’effet de ces nanoparticules sur le cerveau et la moelle épinière est particulièrement inquiétant, comme en atteste le nombre croissant de maladies neurodégénératives. Les maladies d’Alzheimer, de Parkinson et de Charcot (Sclérose Latérale Amyotrophique) sont fortement liées à l’exposition à l’aluminium de l’environnement.
Les nanoparticules d’aluminium non seulement provoquent plus d’inflammation, mais elles pénètrent facilement dans le cerveau par un certain nombre de voies, y compris le sang et les nerfs olfactifs. Des études ont montré que ces particules traversent les voies nerveuses olfactives reliées directement à la zone du cerveau qui est non seulement la première mais aussi la plus touchée dans la maladie d’Alzheimer. C’est aussi dans cette maladie que l’on retrouve le taux le plus haut élevé d’aluminium dans le cerveau.
La voie intra-nasale de l’exposition rend la pulvérisation de quantités massives de nanoparticules d’aluminium dans le ciel particulièrement dangereuse, car des personnes de tous âges, y compris les bébés et les jeunes enfants les inhaleront pendant de nombreuses heures. Nous savons que les personnes âgées sont les plus sensibles à cet aluminium dans l’air. En raison de leur dimension nanométrique, ces particules d’aluminium utilisées traversent les filtres des systèmes d’aération et ainsi l’exposition se prolonge même à l’intérieur des habitations.
Outre l’inhalation, la pulvérisation de ces nanoparticules va saturer le sol, l’eau et la végétation d’aluminium à des niveaux élevés. Normalement, l’aluminium est mal absorbé par le tractus gastro-intestinal, mais les nanoparticules sont absorbées en bien plus grandes quantités. On a montré que cet aluminium absorbé se répand dans à un certain nombre d’organes et de tissus, notamment le cerveau et la moelle épinière. L’inhalation de ces nanoparticules d’aluminium en suspension dans l’air produira aussi une énorme réaction inflammatoire à l’intérieur des poumons, ce qui présentera un risque majeur pour les enfants et les adultes souffrant d’asthme et de maladies pulmonaires. (more…)