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29 juin 2013

¤ Imbroglio en Syrie: Le Hamas tombe dans le piège sectaire…

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 19 : 18

source : http://resistance71.wordpress.com/2013/06/29/imbroglio-en-syrie-le-hamas-tombe-dans-le-piege-sectaire/

Sachant qu’à l’origine le Hamas est une création israélienne (Mossad + Shin Beth) pour diviser la résistance palestinienne et donner une concurrence religieuse à l’OLP et au FPLP, cette information est-elle vraiment surprenante ?

Le plus surprenant est sûrement la confiance accordée par le Hezbollah a une entité politico-religieuse à l’origine fumeuse. Ceci ne veut pas dire que le Hamas dans sa totalité est un « agent d’Israël », non. Mais il y a des éléments toujours sous contrôle, c’est l’évidence même. On se rappelle du reste que la QG du Hamas avait dû bouger de Damas au début des évènements… Y a t’il une relation directe de cause à effet ? Cette situation est une fois de plus provoquée par les sionistes qui cherchent la guerre confessionnelle au Moyen-Oreint, guerre qu’ils contrôleront sans y participer directement. Toutes ces provocations les unes après les autres font parties d’un piège tendu aux musulmans.

– Résistance 71 –

Syrie: Mechaal (Hamas) est tombé dans le piège du sectarisme

Abdel Bari Arwan

 

28 Juin 2013

 

url de l’article original:

http://french.irib.ir/component/k2/item/263317-syrie-mesha’al-est-tombé-dans-le-piège-du-sectarisme,-par-abdel-bari-atwan

Le basculement de Khalid Mesha’al, le dirigeant du Hamas, dans le camp sunnite, non seulement coupe le mouvement de ce qui était ses sources de financement et d’armement depuis 20 ans, mais place aussi le groupe dans une situation des plus inconfortables puisqu’il se retrouve dans le même camp que les États-Unis, écrit Abdel Bari Atwan.

Le Hamas se retrouve de plus en plus divisé sur la question syrienne, ce qui conduit certains de ses dirigeants à s’interroger pour savoir si l’organisation peut continuer, dans son état actuel de division, à remplir la fonction pour laquelle elle a été créée, c’est-à-dire résister à l’occupation israélienne de la Palestine.

Ayant bénéficié de l’appui financier et matériel de la Syrie – comme de l’Iran et du Hezbollah – pendant au moins 20 ans, Khalid Mesha’al a prématurément quitté le navire quand il a retiré de Damas le bureau politique du groupe en janvier 2012 et qu’il a déménagé à Doha. Depuis, le Qatar joue un rôle phare dans le soi-disant « Axe modéré », et il est l’un des principaux financiers de l’opposition syrienne. Le mouvement du Hamas a clairement fait un renversement d’alliance.

Mesha’al, qui a été réélu pour un cinquième mandat à la tête du bureau politique du Hamas en avril dernier, a fait un mauvais calcul en supposant que le président syrien Bachar Al Assad serait renversé aussi rapidement que ses homologues en Tunisie, en Égypte et en Libye. Il s’est aussi aliéné « l’Axe de résistance » avec ses anciens alliés, l’Iran et le Hezbollah.

Les questions sérieuses sont apparues après la bataille de Qusayr plus tôt ce mois-ci, dans laquelle les forces de l’opposition ont été défaites par l’armée syrienne, aidée en cela par les combattants du Hezbollah. Dans les ruines de cette malheureuse ville, les hommes du Hezbollah ont découvert que l’opposition avait été en possession de mines que le Hezbollah avait lui-même fournies au Hamas.

En outre, les rebelles (un mélange de groupes djihadistes et de combattants de l’Armée syrienne libre) avaient creusé de vastes systèmes de tunnels sous Qusayr en utilisant le savoir-faire technique que le Hamas avait auparavant acquis auprès du Hezbollah. Les implications étaient évidentes, et le Hezbollah a accusé le Hamas d’offrir un soutien matériel aux rebelles, devenant de ce fait indirectement responsable de la mort d’un grand nombre de combattants du Hezbollah. (more…)

¤ Attentats du 11 Septembre : Quand Israël revient sur le devant de la scène…

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 19 : 13

source : http://resistance71.wordpress.com/2013/06/29/attentats-du-11-septembre-quand-israel-revient-sur-le-devant-de-la-scene/

Point de vue très intéressant sur les attentats du 11 Septembre. Si « l’anecdote », car cela est toujours resté au stade de « l’anecdote », des « Israéliens dansant », est connue, jamais elle n’a été analysée de cette façon. 

Analyse digne d’intérêt, d’autant plus qu’il est également vrai comme le souligne l’auteur, que même les mouvements pour la vérité sur le 11 Septembre n’abordent jamais une relation possible des évènements avec l’état sioniste.

– Résistance 71 –

11 Septembre: Inside job ou Mossad job ?

Laurent Guyénot 28 Juin 2013 url de l’article original: http://www.voltairenet.org/article179106.html

Le rôle d’Israël dans les événements du 11 Septembre 2001 — qui déterminent le 21ème siècle — fait l’objet d’âpres controverses, ou plutôt d’un véritable tabou au sein même du « Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre » (9/11 Truth Movement) provoquant la mise à l’écart de l’homme par qui le scandale arriva, Thierry Meyssan. La plupart des associations militantes, mobilisées derrière le slogan « 9/11 was an Inside Job » (Le 11-Septembre était une opération intérieure), restent discrètes sur les pièces à conviction mettant en cause les services secrets de l’État hébreux. Laurent Guyénot fait le point sur quelques données aussi incontestables que méconnues, et analyse les mécanismes du déni.

Tandis que le rôle d’Israël dans la déstabilisation du monde post-11-Septembre devient de plus en plus évident, l’idée qu’une factions de likoudniks, aidés par leurs alliés infiltrés dans l’appareil d’Etat US, sont responsables de l’opération sous fausse bannière du 11-Septembre devient plus difficile à refouler, et quelques personnalités ont le courage de l’énoncer publiquement. Francesco Cossiga, président d’Italie entre 1985 et 1992, déclara le 30 novembre 2007 au quotidien Corriere della Sera  : « On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York — alors qu’en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d’accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l’Irak et l’Afghanistan [1]. » Alan Sabrosky, ancien professeur du U.S. Army War College et à la U.S. Military Academy, n’hésite pas à clamer sa conviction que le 11-Septembre est « une opération classiquement orchestrée par le Mossad » réalisée avec des complicités au sein du gouvernement états-unien, et sa voix est relayée avec force par quelques sites de vétérans de l’armée U.S., dégoutés par les guerres ignobles qu’on leur a fait faire au nom du mensonge du 11-Septembre ou de celui des armes de destruction massives de Saddam Hussein [2].

Les arguments en faveur de l’hypothèse du Mossad ne tiennent pas seulement à la réputation du service secret le plus puissant du monde, qu’un rapport de la U.S. Army School for Advanced Military Studies (cité par le Washington Times la veille du 11-Septembre), décrit comme : « Sournois. impitoyabe et rusé. Capable de commettre une attaque sur les forces américaines et de les déguiser en un acte commis par les Palestiniens/Arabes [3]. » L’implication du Mossad, associé à d’autres unités d’élite israéliennes, est rendue évidente par un certain nombre de faits peu connus. (more…)

¤ Ingérence impérialiste au Moyen-Orient : Le roitelet du Qatar passe à la trappe…

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 18 : 34

source : http://resistance71.wordpress.com/2013/06/28/ingerence-imperialiste-au-moyen-orient-le-roitelet-du-qatar-passe-a-la-trappe/

La fin sans gloire du “deus ex machina” de la révolution arabe

René Naba 24 Juin 2013 url de l’article: http://www.renenaba.com/la-fin-sans-gloire-du-deus-ex-machina-de-la-revolution-arabe/

¤ Ingérence impérialiste au Moyen-Orient : Le roitelet du Qatar passe à la trappe… dans Outils/Bon à savoir emir-qatar-cede-pouvoir-fils-300x178Sauf retournement de dernière minute, le dégagement politique de l’Emir du Qatar, par voie de l’évacuation sanitaire, a été programmé, contraignant le souverain à céder son trône, en pleine gloire, en pleine force de l’âge, à son fils cadet, le prince Tamim, une transmission de pouvoir inédite dans les annales des pétromonarchies gérontocratiques du Golfe.

L’Emir, né en 1952, a réuni lundi 24 juin 2013 la famille régnante au lendemain de la «conférence des amis de la Syrie», en compagnie des «sages» de la principauté, pour une mise au point final du dispositif d’abdication.
Présentée par ses nombreux communicants comme répondant au souci du souverain de procéder à un rajeunissement du pouvoir dans les gérontocraties du Golfe, cette transition inhabituelle du pouvoir au Qatar, dans un pays théâtre de deux coups d’états dynastiques au cours de ses 40 ans d’indépendance, devrait, dans la foulée du «printemps arabe», servir d’exemple pour les générations futures en matière de transfert de pouvoir dans les monarchies arabes.

Une destitution comparable à celle décrétée par les Anglais dans la décennie 1950 à l’encontre du Roi Talal de Jordanie, en faveur de son fils Hussein, plus sensible aux intérêts de la couronne britannique; comparable à celle décrétée par les Anglais en 1970 à l’encontre du Sultan Saïd d’Oman oncle du Sultan Qabous.

Une opération d’exfiltration perçue dans de larges couches de l’opinion internationale, quoiqu’on en dise, comme un dommage collatéral majeur du conflit de Syrie. Plus précisément, la sanction de l’échec d’un trublion qui aura plus que quiconque assuré la promotion du djihadisme erratique, exacerbé l’antagonisme religieux inter musulman (sunnite-chiite), accentué la défragmentation du Monde arabe et sa soumission à l’impérium atlantiste, tout en plaçant le monde au bord d‘une conflagration régionale.
Au même titre que l’Arabie saoudite, sauf que la dynastie wahhabite dispose d’un coupe-feu absolu, La Mecque et Médine, à valeur dissuasive absolue qui explique le fait que l’Irak, -et non le royaume saoudien-, a payé le prix de la participation de quinze saoudiens au raid contre l’hyperpuissance américaine, le 11 septembre 2011.

Selon les indiscrétions de la presse arabe, l’éviction de l’Emir constituerait la sanction de ses trop graves dérives tant en ce qui concerne son ferme soutien au djihadisme que sa boulimie affairiste dans ses investissements occidentaux. Le souverain se serait en effet vu notifier son ordre d’évacuation du pouvoir par un haut responsable de la CIA, dépêché spécialement par Barack Obama pour lui signifier l’ordre présidentiel américain après la découverte dans la cache d’Oussama Ben Laden de documents attestant que le financier du chef d’Al Qaida serait un citoyen du Qatar, cousin du ministre de la culture, Hamad Al Kawari (1).
Sous la plume de son directeur Oussama Fawzi, ancien haut fonctionnaire du ministère de l’information du Qatar, Arab Times en date du 24 juin, précise que «la cellule qataritote proche de Ben Laden était composée de Salim Hassan Khalifa Rached al Kawari, qui a déjà été livré aux Américains, ainsi que du koweitien Hasan Ali Ajami, un djihadiste combattant en Syrie, du syrien Ezzdine Abdel Aziz Khalil ainsi que d’Omid Mohamad Abdallah. Les transferts d’argent se faisaient via des institutions financières qatariotes. Les soupçons sur le Qatar pesaient depuis l’invasion de l’Irak au point que le président Georges Bush jr n’a pas hésité à bombarder le siège d’Al Jazira à Bagdad et s’apprêtait à en faire de même sur le siège central de la chaine transfrontière arabe à Doha». (more…)

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