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8 juillet 2013

¤ Ingérence occidentale et « printemps arabe » : Washington est-il au bout du bout du banc ?…

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 15 : 55

Source : http://resistance71.wordpress.com/2013/07/08/ingerence-occidentale-et-printemps-arabe-washington-est-il-au-bout-du-bout-du-banc/

Première tentative de réponse par Michel Chossudovsky de Global Research, géopolitologue canadien de l’université d’Ottawa. Pour lui, le coup d’état contre Morsi en Egypte est l’œuvre du Pentagone. Raisonnement cohérent et très plausible, le peuple égyptien est-il encore le didon de la farce ?…

– Résistance 71 –

Le mouvement de protestation en Egypte: Les dictateurs ne “dictent pas”… Ils obéissent

 Michel Chossudovsky 6 juillet 2013 url de l’article: http://www.globalresearch.ca/the-protest-movement-in-egypt-dictators-do-not-dictate-they-obey-orders/22993

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

L’Egypte est en ce moment à une dangereuse croisée des chemins qui pourrait évoluer vers une guerre civile.

Il est important de compendre le rôle de Washington, qui est mis en œuvre par le Pentagone et le renseignement américain.

Alors que les forces armées égyptiennes ont réprimé la confrérie des frères musulmans, le coup d’état est ultimement fait pour manipuler le mouvement de protestation et prévenir une accession “d’un véritable gouvernement du peuple” au pouvoir.

Le renversement du président Mohamed Morsi par les forces armées égyptiennes n’a pas été perpétré contre les intérêts américains, il fut instauré pour assurer la “continuité” de la politique de Washington en Egypte. Le ministre de la défense, le général Abdul Fatah Al-Sisi, qui est derrière le coup d’état dirigé contre le président Morsi a été en liaison téléphonique permanente avec son homologue américian Chuck Hagel dès le début du mouvement de protestation. Des rapports de presse confirment qu’il a pu le consulter à plusieurs reprises dans les jours qui ont précédés le coup d’état. Il est très peu probable que le général Al-Sisi ait agi sans le “feu vert” du Pentagone.

Le gouvernement des frères musulmans était soutenu par les Etats-Unis depuis le départ. Dans le même temps, des secteurs très importants de la contestation contre le gouvernement des frères musulmans étaient aussi soutenus par les Etats-Unis, au travers de fondations américianes, incluant la NED et la Freedom House (NdT : toutes deux vitrines reconnues de la CIA). Le mouvement Kifaya, qui organisa une des premières manifestations contre le régime de Moubarak à la fin 2004 et qui est actuellement impliqué dans le mouvement contre les frères musulmans, est soutenu par L’International Center for Non-Violent Conflict, basé au Etats-Unis.

Ces actions venant de fondations américaines liées avec le ministère des affaires étrangères assurent que l’opposition dans la société civile, financée par les Etats-Unis, ne va pas s’intéresser à des problèmes plus vastes concernant l’interférence étrangère dans les affaires d’un état souverain.

Les Etats-Unis soutiennent les deux côtés avec pour but de créer une division au sein de la société égyptienne ainsi qu’un chaos politique. (more…)

¤ La société contre l’État : l’expérience anarchiste ukrainienne 1917-1923 ~ 2ème partie ~

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 8 : 15

source : http://resistance71.wordpress.com/2013/07/08/la-societe-contre-letat-lexperience-anarchiste-ukrainienne-1917-1923-2eme-partie/

Second volet de notre découverte de l’expérience anarchiste ukrainienne du début du XXème siècle.

Ici Makhno nous démontre, preuves internes à l’appui, pourquoi le capitalisme d’état marxiste (léniniste, trotskiste, staliniste, ou autre), ne peut pas fonctionner et pire même, pourquoi il est un leurre total au service de l’oligarchie (lire à ce sujet notre traduction de la recherche d’Antony Sutton sur « Wall Street et la révolution bolchévique »). La vision de Makhno était d’autant plus lucide qu’elle reflétait la vision du monde rural révolutionnaire. Monde villipendé et spolié par Marx et ses suiveurs, qui jamais n’ont compris que sans pain… pas de « révolution »… à moins que leurs alliés banquiers ne financent bien sûr… Ce qui fut le cas pour Lénine et sa clique de parasites, nouveaux aristocrates rouges, fondateurs de la nomenklatura soviétique, caste de privilégiés à la botte de la finance internationale.

Nestor Makhno est une figure de la pratique communiste libertaire d’essence rurale qui posa de très bons jalons pour une société égalitaire et libre. Peu connu, voire inconnu pour beaucoup, l’œuvre et les réalisations du mouvement makhnoviste gagnent à être plus connues. Il y a beaucoup à apprendre de l’expérience ukrainienne libertaire.

– Résistance 71 –

Les voies du pouvoir “prolétarien” Nestor Makhno Probouzdénié, n°18, janvier 1932

Cela fait bien longtemps que l’intelligentsia socialiste d’avant-garde a formulé, de manière plus ou moins achevée, les fins de la lutte historique du prolétariat contre la bourgeoisie et que les prolétaires, adoptant sans aucun correctif cette formulation de l’intelligentsia, sont rentré sous sa direction dans cette lutte. Cela a été un triomphe incontestable pour l’intelligentsia qui donné ainsi pour but de mener le prolétariat à l’émancipation complète par le biais par la destruction du pouvoir et de l’Etat bourgeois, devant faire place à un Etat et un pouvoir « prolétarien ».

Bien naturellement, ni l’intelligentsia, ni le prolétariat lui-même n’ont pas épargné leurs efforts et connaissances pour démontrer devant la plus grande audience le mal commis par l’Etat bourgeois. Grâce à cela ils ont pu développer et renforcer parmi les masses laborieuses l’idée d’un pouvoir « prolétarien » qui devrait résoudre tous leurs problèmes. Selon cette conception, le prolétariat utiliserait ainsi, à travers son pouvoir et Etat de classe, le seul moyen existant, pour lui et les autres classes, de se libérer de la bourgeoisie et d’instaurer un principe égalitaire et libre dans les relations entre les hommes. Une telle prédestination du pouvoir « prolétarien » nous a toujours semblé, à nous anarchistes, grossièrement erronée. Nos camarades des temps passés se sont constamment insurgés contre cette conception et ont démontré l’égarement déteste lorsque ceux-ci distinguaient le pouvoir « prolétarien » du pouvoir d’Etat en général, en désignant au premier une mission qui lui était profondément étrangère.

Les socialistes étatiques sont pourtant restés fidèle à leur école autoritaire et c’est avec cette acception qu’ils ont appréhendé la Grande Révolution russe, révolution d’une profondeur et ampleur sociales encore inconnue jusque là. Quant à nous, anarchistes, nous nous sommes arraché à leur prédestination du pouvoir « prolétarien ». Au cours de cette polémique, nous avons démontré aux étatiste de tout Etat, qu’il soit bourgeois ou prolétarien, ne tend par sa nature même qu’à exploiter l’homme, qu’à détruire en chacun comme en tous toutes les qualités naturelles de l’esprit humain qui poussent à la liberté et à la solidarité qui la fonde. Cela nous a valu, de la part des socialistes étatistes, une haine encore plus grande. Or, l’existence et la pratique du pouvoir prolétarien en Russie ont confirmé et confirment sans cesse la justesse de notre analyse. L’Etat « prolétarien » a mis de plus en plus sa nature à nu et prouvé que son caractère prolétarien était simple fiction, ce que les prolétaires ont pu constater dès les premières années de la révolution, d’autant plus qu’ils ont contribué eux-même à l’installer. Le fait que le pouvoir « prolétarien », au cours de sa dégénérescence, ne s’est révélé être qu’un pouvoir d’Etat tout court est devenu indiscutable et l’a amené à ne plus dissimuler savamment son vrai visage. Par sa pratique, il a abondamment prouvé que ses fins et celles de la Grande Révolution russe n’avaient absolument rien de commun. Au cours de toutes ces années d’hypocrisie, il n’a pu soumettre pacifiquement les fins de la révolution russe aux siennes propres et à du affronter tout ceux qui menaçaient de mettre à nu son essence véritable – une plaie immense et purulente sur le corps de la révolution -, dont la lâcheté et la fourberie apportent la mort et la dévastation à tous sans exception, en premier lieu à ceux qui tentent d’être indépendants et d’agir librement.

On peut se demander: comment se fait-il que cela se soit passé ainsi? Selon Marx et Lénine, le pouvoir « prolétarien » ne devait en aucun cas ressembler au pouvoir bourgeois. Une partie de l’avant-garde du prolétariat n’aurait-elle pas sa part de responsabilité dans ce résultat? De nombreux anarchistes sont enclins à penser que le prolétariat n’y est pour rien, ayant été dupé par la caste des intellectuels socialistes, laquelle aspirerait, au cours d’une série d’événement purement socio-historique et en vertu de la logiques des transformations étatiques inévitables, à remplacer le pouvoir de la bourgeoisie par le sien propre. Ce serait pour cette raison que l’intelligentsia socialiste s’efforcerait de diriger en permanence la lutte du prolétariat contre le monde capitaliste et bourgeois. (more…)

¤ Santé et mensonge institutionnalisé : l’escroquerie du traitement orthodoxe du cancer

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 8 : 13

source : http://resistance71.wordpress.com/2013/07/07/sante-et-mensonge-institutionnalise-lescroquerie-du-traitement-orthodoxe-du-cancer/

Cet article est remarquablement complémentaire de notre traduction du livre de G. Edward Griffin sur le Laétrile et comment l’industrie du médicament en général et américaine en particulier, vérouille les traitements alternatifs dont celui de la B17 bien plus efficace que la trilogie institutionnalisée du charcutage en règle, de l’empoisonnement chimique et de l’empoisonnement par irradiation. L’article ci-dessous citent les travaux des Dr. Gernez et Lacaze. Il est grand temps que les verrous sautent et que la vérité enfin arrive dans la lumière afin de faire passer à la trappe l’obscurantisme pseudo-scientifique de la « médecine » voué corps et âme aux dieux du fric et du pouvoir, sans oublier la mission eugéniste de ceux qui paient pour orienter la « recherche » dans un sens unique et mortifère.

Lire notre dossier sur le Laétrile, Vitamine B17

– Résistance 71 – La vérité très indésirable sur la chimiothérapie AlterInfo 6 Juillet 2013

 url de l’article: http://www.alterinfo.net/La-verite-tres-indesirable-sur-la-chimio_a92233.html

 

Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[[1]]url:#_ftn1 . » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). à son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1erseptembre 1987).

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »  (Leçons de cancérologie pratique).

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».

Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans leScientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990,  vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. » (more…)

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