Comme toujours, les États-Unis (et ses complices) nous mentent… Ils ont secrètement travaillé sur une invention hors du commun, ayant les capacités de contrer les attaques de missiles, de brouiller ou couper les télécommunications, d’influer sur le climat ou même sur l’esprit humain!
Et quoi encore ! Il est plutôt difficile d’obtenir de l’information sur les projets concernant H.A.A.R.P (High Frequency Active Auroral Research Program).
Le projet HAARP est l’un des dossiers favoris des adeptes de la théorie du complot. Une rapide recherche sur le web permet de constater, sur les sites dédiés à mettre à jour diverses « conspirations », que d’autres intentions sont prêtées à ce projet. Sa capacité d’influencer l’ionosphère serait beaucoup plus importante qu’officiellement admise. Ces 180 antennes (selon le site officiel qui parle de 48 en 2003 et de 180 dans le futur) permettraient un jour de faire des recherches pour pouvoir modifier la météorologie, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l’ionosphère.
Les principaux arguments à cet effet sont l’implication du ministère de la défense des États-Unis dans le projet, le manque d’explications précises sur l’utilité d’une telle installation et les doutes émis par plusieurs scientifiques internationaux.
JESS VENTURA ENQUÊTE…
Bon… on vous l’accorde… les documentaires réalisés par Jess Ventura ont une allure de TV show qui s’intéresse surtout à donner un spectacle sensationnaliste… Mais encore, on peut du moins le féliciter pour avoir aborder la plupart des sujets chauds, et avoir tenter de répondre aux question que le public se posait sur la plupart des sujets que les médias évitent d’aborder…
HAARP : LA NOUVELLE ARME ABSOLUE
Haarp, c’est quoi ?
Les militaires américains sont passés maîtres dans l’art de camoufler leurs opérations secrètes sous le couvert de recherches pacifiques. Ainsi, HAARP signifie « High Atmosphere Auroral Rechearch Program » (« programme de recherche sur les aurores boréales en haute atmosphère »), un nom calculé pour ne faire peur à personne, avec un budget apparemment pas trop élevé (30 millions de dollars par an officiellement).
En réalité, depuis plus de quinze ans, se déroule sous ce couvert un projet gigantesque de construction d’une nouvelle arme terrifiante. La première réalisation est une station située à Gakona en en Alaska, station dont la puissance double régulièrement au fur et à mesure que de nouvelles installations voient le jour (960 kW en 2003, 3,6 mégawatts en 2006, 20 mégawatts en 2008). D’autres stations sont en construction. Mais cela ne constitue que la partie émergée de l’iceberg. L’île américaine de Diego Garcia, au sud ouest de l’inde, serait un autre maillon de HAARP. Il y en aurait un autre à Pine Gap, en Australie.
L’objectif réel de HAARP est simple : pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la terre et de l’espace proche avec un faisceau d’énergie directif ultra-puissant… sans utiliser de satellite ! Mais en fait Haarp marche si bien qu’un grand nombre de nouveaux objectifs sont apparut possibles et sont en cours de développement / tests :
- Détruire en vol les missiles, fusées, avions et satellites,
- Mettre HS des installation electriques civiles et militaires
- Communiquer avec les sous-marin même à grande profondeur
- Provoquer des incendies dans des installations industrielles
- Interdire les communications radio sur une zone donnée, à volonté
- Scanner le sol et les océans à grande profondeur
- Manipuler à distance l’esprit des gens et le comportement des foules (si, si !)
- Réaliser un bouclier antimissile pour les USA
- Attaquer des cibles au sol
- Et même… contrôler le climat et créer une arme climatique
Ces objectifs ne sont pas bien sûr avoués par les américains, car ils sont contraire à la convention ENMOD de 1977 qui interdit les modifications de la biosphère à des fins hostiles. Notons cependant que les nations-unis ont récemment, sur l’instigation des américains, exclu de leur ordre du jour les changements climatiques résultant des programmes militaires. Cependant, les USA n’ont pu empêcher quelques informations de filtrer, et cela a commencé à alarmer les autorités de certains pays.
En février 1998, le Comité des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen a tenu une audience publique à Bruxelles au sujet de HAARP. Ce comité à présenté au parlement européen en 1999 une motion stipulant que « HAARP… en vertu de son impact étendu sur l’environnement , constitue une préoccupation mondiale… [le comité] demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évalués par un organisme international indépendant… [le comité] regrette le refus réitéré des États-Unis d’apporter des preuves à l’audience publique concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP ». Cette requête fut rejetée sous le prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans les liens entre l’environnement et la défense. La vérité, c’est que Bruxelles ne souhaitait pas entrer en conflit ouvert avec Washington… Retenons une chose : HAARP, c’est du sérieux.
La Douma, le parlement Russe, s’est également inquiétée de HAARP : en 2002 ses membres ont exprimé leur vive inquiétude en évoquant « un saut qualitatif considérable en matière d’armement ». Le rapporteur a indiqué trois sites prévus pour HAARP : Alaska, Groënland et Norvège. Un appel contresigné par 90 députés de la Douma a été transmis à l’ONU ainsi qu’au parlement et leaders des pays adhérents à l’ONU.
Comment ça marche ?
HAARP utilise les propriétés de l’ionosphère, une couche atmosphérique située à 270 Km d’altitude environ, qui possède la propriété de réfléchir les ondes radio. Les radio-amateurs connaissent bien l’ionosphère, c’est elle qui leur permet d’établir par exemple des liaisons radio transatlantiques, sans satellite. L’ionosphère est ainsi une sorte de miroir radio naturel, qui renvoie vers le sol les ondes radio (de certaines fréquences précises) émises depuis la terre. L’ionosphère est ainsi appelée parce que ce sont des ions (des atomes électrisés) qui réfléchissent les ondes.
Seulement l’ionosphère est capricieuse. Les conditions radio et les fréquences changent d’heure en heure, voire de minute en minute, et sont sujettes aux variations de l’activité solaire. C’est d’ailleurs dans l’ionosphère que se produisent les aurores boréales, ou aurores polaires.
D’où l’idée : et si on pouvait, avec un émetteur HF de forte puissance, contrôler l’ionosphère, au moins sur une petite portion (quelques centaines de kilomètres carrés), et la transformer en un miroir parfait, et même en un miroir parabolique parfait, est-ce qu’on ne pourrait pas en profiter pour envoyer un second faisceau d’ondes, bien plus puissant, qui se réfléchirait sur ce miroir pour frapper toute cible désignée avec une précision de quelques mètres ?
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