7 septembre 2013

¤ Syrie : la Chine entre dans la danse avec sa marine en Méditerranée !

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 9 : 09

Source : http://avicennesy.wordpress.com/2013/09/06/la-marine-chinoise-entre-dans-la-danse-en-mediterranee/

6 septembre 2013 · par  · dans GuerresMoyen-Orient. ·

F201211021551322185284261Selon le site Telegrafist.org , l’armée populaire chinoise vient d’envoyer un navire de guerre au large de la Syrie et ce navire ne sera pas le dernier.

 » le navire de guerre chinois est en phase de traverser le canal de Suez via  la mer Rouge et il va très bientôt se déployer vers la Méditerranée pour appareiller longeant les côtes israéliennes et libanaises vers la Syrie, signale le site.

Une source chinoise a tenu à assurer que l’envoi de ce bâtiment ne suit aucun objectif de guerre, et ne vise pas à intervenir dans des actions militaires. « Il s’agit uniquement d’une mission de supervision des déplacement des navires américains et russes dans cette zone extrêmement explosive », a dit cette source. Assurant que d’autres navires de guerre seront aussi expédiés en Méditerranée.

Jeudi, trois bâtiments de guerre russes dotés de missiles de croisière se sont dirigés vers l’est de la Méditerranée. Alors que 5 navires de guerre US et un porte avion américains y sont déjà déployés.

Almanar

¤ Syrie : la Chine entre dans la danse avec sa marine en Méditerranée ! dans Politique/Societe 3152823_5_f816_un-marin-chinois-a-bord-de-la-fregate_e5944bd21a5844b252ada1515e49b0e0

17 responses on “La Marine Chinoise entre dans la danse en Méditerranée”

  1. Bonsoir à tous.
    Intéressant. La chine arrive et apporte ses règles…Le jeu de go peut commencer.
    Je serai curieux de savoir le nombre de sous-marins en poste dans le coin. Ça doit être la bousculade.

  2. Bonsoir et bravo pour vos articles sur ce blog. Sur un plan purement tactique j’avoue avoir du mal à saisir les positionnements de chacun ( je parle des navires). A ce que j’ai compris, la flotte US/fr se trouve entre la cote syrienne et des bâtiments russes laissées en retraits pour mieux « observer »… mais la chine ? que veut-elle « observer » ? Qui veut elle vraiment « observer » ? un damier se dessine et dommage qu’il n’existe pas de logiciel permettant une vue satellitaire sans filtre… de cette zone, car tactiquement ce serait intéressant de voir les diverses manœuvres, vous ne trouvez pas?

    • Bonjour
      En fait c’est l’inverse. Les bâtiments russes s’interposent depuis des mois entre les navres US et la Syrie.Voir les détails à ce lien :http://avicennesy.wordpress.com/2013/05/29/la-vraie-bataille-pour-la-syrie-celle-dont-les-medias-ne-vous-parleront-jamais/

      Quant aux chinois, ils sont bel et bien venus pour s’impliquer. Comment ? On ne peut encore le savoir, mais d’autres bateaux suivront. Ils l’ont annoncé d’ailleurs. Je crois bien que nous commençons quelque chose d’immense.

      • « Comment ? »
        Juste en amenant des navires sur place. Pour beaucoup de pays, la Chine ne protège pas vraiment Assad, mais ses approvisionements – un peu comme Poutine – et cette protection n’était visible qu’au conseil de sécurité de l’ONU. Le fait de déployer une flotte en Méditerranée prouve qu’il peuvent aussi montrer les dents.
        Au plus simple, les navires ne sont que des « coques vides », une dissuasion passive.
        Il peuvent aussi être équipé de brouilleurs.
        Ou bien, servir de relais de communication, ou de radars d’apoint.
        J’aimerai bien connaitre leur futur port d’attache.
        Car ce n’est pas rien de voir des navires de guerre chinois en Méditerranée. Ils sont quand même aux antipodes de chez eux.
        Je ne pense pas que beaucoup de stratèges aient imaginé, un jour, voir des frégates chinoises franchir Suez pour aller défendre une nation arabe…

        • Je sais que je radote. Alors, je vous le demande à l’avance. N’en rajoutez pas.

          Je vais procéder par questions.

          Et si une lutte aussi vive que sourde était en train de se dérouler entre Obama et des forces occultes pesant sur les USA de l’intérieur comme de l’extérieur?

          Et si Obama était réduit, pour les neutraliser, à faire la démonstration et de l’isolement des USA, et des risques énormes d’une opération militaire, et des réticences de l’opinion publique aussi bien US qu’Occidentale?

          Et s’il fallait ne pas négliger que la «real politic» chère à Henry Kissinger est aujourd’hui remplacée par la gesticulation virtuelle et la «communication»?

          Et si Obama était en train de gagner son pari précisément au moment où tout semble perdu pour lui?

          N’en croyez rien. Je vous l’ai dit. Je radote.

  3. Il me semble que si les chinois sont là, ce n’est pas pour défendre la Syrie mais le pays qui doit être le prochain sur la liste: l’Iran qui est un fournisseur de la chine.

  4. Tout ceci est un jeu de go avec en fond, la maitrise des énergies fossiles.
    http://commons.wikimedia.org/wiki/File:US_military_bases_in_the_world.svg

    Pour mémoire …

    La marine chinoise débarque à Toulon

    24/04/2013

    Dossier(s) : Marine chinoise

    Des centaines de ressortissants chinois, banderoles et drapeaux à la main, la musique des équipages de la flotte, trois imposants bâtiments faisant leur entrée dans la rade… Ce fut un accueil mémorable réservé hier à la 13ème flottille d’escorte de la marine chinoise pour son arrivée à Toulon. Composé de deux frégates et d’un pétrolier-ravitailleur, ce groupe est en escale dans le port varois jusqu’au 27 avril. Après avoir passé quatre mois en océan Indien dans le cadre des  actions de lutte contre la piraterie, la Task Force 570 a rejoint la Méditerranée, où elle a déjà fait escale à Malte, Alger, Casablanca et Lisbonne.  A l’issue de leurs quatre jours passés en France, les bâtiments remettront le cap à l’Est afin de rentrer en Chine. Exceptionnellement, 300 Chinois vivant en France avaient reçu l’autorisation d’entrer dans la base navale afin d’accueillir dans une ambiance bon enfant mais évidemment très disciplinée la flottille et ses 786 marins. Un évènement puisqu’aucun groupe naval chinois n’était venu à Toulon depuis 2006.

    (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Huangshan (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Huangshan (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le pétrolier-ravitailleur Qinghai Hu (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le pétrolier-ravitailleur Qinghai Hu (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Commandée par le contre-amiral Li Xiaoyan, la TF 570 est constituée de deux frégates du type Jiankai II, les Hengyang et Huangshan. Mises en service en 2008, ces unités de 134 mètres de long présentent un déplacement de 3900 tonnes en charge. Armées par un équipage de plus de 200 marins et capables d’atteindre la vitesse de 27 nœuds, elles mettent en œuvre un système surface-air HQ-16 (32 cellules de lancement vertical), 8 missiles antinavire C803, une tourelle de 76mm, deux systèmes multitubes, 6 tubes lance-torpilles, deux lance-roquettes anti-sous-marins et un hélicoptère Haitun Z-9, version chinoise du Dauphin d’Eurocopter.

    Ces deux frégates sont accompagnées par le pétrolier-ravitailleur Qinghai Hu. Du type Komandarm Fedko russe, ce bâtiment est opérationnel depuis 1996. Long de 179 mètres pour un déplacement de 37.000 tonnes en charge, il peut atteindre la vitesse de 16 nœuds. Conçu pour le soutien logistique d’une flotte à la mer (ravitaillement en combustible, vivres et munitions), le Qinghai Hu dispose, pour son autodéfense, de deux canons de 30mm.

    Le pétrolier-ravitailleur Qinghai Hu (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le pétrolier-ravitailleur Qinghai Hu (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Huangshan (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Huangshan (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Hengyang (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    La frégate Hengyang (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

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    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le contre-amiral Li Xiaoyan (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

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    (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Hélicoptère Haitun Z-9 (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Hélicoptère Haitun Z-9 (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Hélicoptère Haitun Z-9 (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Hélicoptère Haitun Z-9 (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    A bord des frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Les frégates chinoises (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le pétrolier-ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le pétrolier-ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le BPC Dixmude et le ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le BPC Dixmude et le ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

    Le BPC Dixmude et le ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

    Le BPC Dixmude et le ravitailleur chinois (© : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE)

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