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27 septembre 2013

¤ Technologie et Nouvel Ordre Mondial: La nouvelle puce 3G du processeur Intel vPro permet l’espionnage global des données personnelles…

Classé dans : Complots prouvés,Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 9 : 32

Source : http://resistance71.wordpress.com/2013/09/27/technologie-et-nouvel-ordre-mondial-la-nouvelle-puce-3g-du-processeur-intel-vpro-permet-lespionnage-global-des-donnees-personnelles/

Il est effarant de constater que toute avancée technologique depuis quelques décennies n’a été faite que pour deux raisons majeures:

  • Le profit
  • Le contrôle des populations

Souvent sous couvert de « rendre la vie meilleure et plus facile »… La science et la technologie ont été kidnappées par l’oligarchie il y a bien longtemps et il est grand temps que nous nous en apercevions et que nous fassions enfin quelque chose à ce sujet avant que la grille de contrôle du N.O.M ne se soit refermée complètement…

– Résistance 71 –

La puce secrète 3G Intel donne un accès backdoor furtif aux ordinateurs PC

Les processeurs Intel vPro permettent un accès furtif aux ordinateurs même lorsque ceux-ci sont éteints et hors réseau…

 

Paul J. Watson

 

27 Septembre 2013

 

url de l’article original:

http://www.infowars.com/91497/print/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Les processeurs Intel Core vPro contiennent une puce 3G “secrète” qui permet l’incapacitation à distance et un accès backdoor à tout ordinateur, même si celui-ci est éteint.

Bien que cette technologie ne soit pas nouvelle, les préoccupations sur l‘atteinte au domaine privé viennent juste de se faire jour. La puce “secrète” 3G qu’Intel a ajouté à ses processeurs en 2011 n’a pas causé beaucoup de consternation jusqu’à l’affaire de l’espionage de la NSA suite aux révélations du lanceur d’alerte Edward Snowden.

Dans une vidéo promotionnelle pour la technologie, Intel se vante que ces puces donnent en fait plus de sécurité car elles ne demandent pas aux ordinateurs d’être allumés et permettent aux problèmes d’être règlés à distance. La promotion met également en valeur la capacité pour un administrateur d’éteindre à distance des ordinateurs PC et ce “même si l’ordinateur n’est pas connecté au réseau”, ainsi que la capacité à contourner le système de cryptage/chiffrage du disque dur.

“Intel a inclus la puce 3G afin de permettre sa technologie anti-vol Anti Theft 3.0. Et comme cette technologie se trouve sur tous les Core/i3/i5/i7 CPU après Sandy Bridge, cela veut dire que beaucoup de CPU, pas seulement les nouveaux vPro, peuvent avoir la connexion secrète 3G que tout le monde ignorait jusqu’à maintenant”, rapporte Softpedia.

Jeff Mark, directeur de l’ingénierie clientèle chez Intel, a reconnu que le microprocesseur ‘Sandy Bridge’ de la compagnie, qui a été diffusé en 2011, avait la capacité “de terminer et de restaurer un ordinateur perdu ou volé à distance par la puce 3G”.

“Les processeurs Core vPro contiennent un second processeur physique intégré au sein du processeur principal, qui a son propre système opératoire intégré dans la puce elle-même,” écrit Jim Jones. “Tant qu’il est sur secteur et en état de fonctionnement, il peut être réveillé par le processeur Core vPro, qui fonctionne sur le système phantom et qui est capable d’allumer les composants du hardware de manière discrète et à distance et donner accès à ceux-ci.”

Bien que cette technologie soit promue comme étant une facilité pour les experts en informatique afin de résoudre les problèmes d’ordinateurs à distance, cela permet également aux hackers ou aux taupes de la NSA de visionner le contenu total du disque dur de quiconque et ce même lorsque l’ordinateur est éteint et non connecté sur le réseau wi-fi.

Cela permet également à des tierces parties de mettre en panne l’ordinateur à distance par le biais de la puce “secrète” 3G construite au sein des processeurs Intel Sandy Bridge. Les webcams et micros peuvent également être activés à distance.

“Cette combinaison de hardware d’Intel permet à vPro d’avoir accès à des portes d’accès qui opèrent indépendemment des manipulations normales d’utilisation”, rapporte TG Daily. “Ceci inclut les communications out-of-band (les communications qui existent en dehors du cadre de tout ce que la machine peut faire au travers de son système opératoire, OS ou hypervisor), l’observation et la modification du trafic de réseau entrant et sortant. En bref, cela fonctionne secrètement, à l’insu de l’utilisateur et espionne, manipule potentiellement les données.”

Non seulement cela représente t’il un cauchemard en ce qui concerne la vie privée, mais cela augmente aussi dramatiquement le risque de l’espionage industriel. La capacité pour des tierces parties d’avoir accès aux ordinateurs par la puce 3G permettrait également à des informations non voulues d’être implantées sur des disques durs, rendant ainsi possible pour les agences de renseignement et les forces de l’ordre corrompues de piéger les gens (NdT: En injectant à distance par exemple des fichiers de pornographie pédophile sur l’ordinateur d’un dissident…) et mieux les contrôler.

“La finalité de tout cela ? Le processeur Intel Core vPro signe la fin de toute prétention de garder des données privées sur un ordinateur”, écrit Stone. “Si vous pensez que le cryptage/chiffrage, Norton, ou quoi que ce soit d’autre vont être capables de protéger votre vie privée et vos infos personnelles, incluant de ne jamais plus vous connecter sur le web, pensez-y à deux fois. Il y a maintenant bien plus qu’un fantôme dans votre machine.”

Protégé : ¤ Filaments français – Rapport partiel fuité du 23/09/2013 : discussion sur un forum au sujet des composés organiques

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¤ Cobayes humains (du nucléaire militaire sociétique et étatsunien) : ne jamais oublier la réalité

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Perso/Archives,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 0 : 52

Source : http://herboyves.blogspot.fr/2013_07_21_archive.html

vendredi 26 juillet 2013

champignon-atomique2.jpg
Cet assez vieil article de Science et Vie par Alexandre Dorozynski et Petra Cambell, (Science & Vie n° 917, février 1994) est précieux pour la mémoire de l’humanité : nous sommes au 21ième siècle et les mensonges, censures et soi-disants « Secrets d’Etats pour le bien du peuple » de la plupart des grandes nations se réclamant « de la démocratie » se révèlent de plus en plus. Les plus intelligents se renseignent et s’aperçoivent qu’il n’y a jamais eu vraiment de démocratie dans ce monde  : c’est une utopie que même les anciens grecs n’ont pu mettre en oeuvre. Pourquoi ? Parce qu’une démocratie consiste à ce que les citoyens exercent réellement le pouvoir, en travaillant tous réellement pour leur nation (tous les citoyens sont fonctionnaires en quelque sorte et effectuent un travail pour le compte de la communauté, à TOUS les niveaux, plusieurs jours par mois) et surtout, il n’y a surtout pas de système électoral, mais un tirage au sort entre tous les citoyens en âge d’être président. Les citoyens apprennent a contrôler et faire tourner les rouages de la société et les postes sont échangés régulièrement pour éviter toute corruption ou prise de pouvoir par un ou plusieurs individus. Voilà ce qu’on nomme une vrai démocratie, telle que définie politiquement (avant le détournement de l’appellation par des… politiques) depuis les anciens grecs. Ce qui existe dans le monde depuis les révolutions républicaines européennes n’a jamais été des démocraties, mais des olligarchies, qui consistent à laisser une élite (aristocratique bien souvent et noble ou ayant ses propres régles (fonctionnaires actuels par exemple ou parti politique, ou secte)) se disputer le pouvoir et élire l’une de ces élites (qui n’a souvent pas conscience de la réalité des vies des « vrais » citoyens). Les révolutions ont été trahies dès le début et les citoyens n’ont jamais récupéré le pouvoir en réalité : il serait temps que le monde s’en rende compte…
Ces essais nucléaires sur leurs propres troupes par des sociétés dites « démocraties » ou « communistes » sont une preuve en soi de la réalité des mensonges perpétuels de la part de la classe dirigeante, car il s’agit bien d’une classe qui tient à son pouvoir (et qui a joué d’ailleurs elle-même avec les médias pour affirmer que « la lutte des classes est révolue et dépassée, il n’y a plus de classes… »), mais la réalité est bien là et elle éclate de plus en plus au visage de ces peuples nommés « mouton » par un grand défendeur de l’élitisme inégalitaire (et pour cause, un militaire !), le général De Gaulle… cet homme qui a trahi la confiance d’une partie de ses citoyens (les français habitant depuis les années 1880 en Algérie) contre des négociations secrètes pour le gaz algérien et des essais nucléaires dans le désert algérien (j’ai découvert dans l’archivage de vieilles affaires à l’époque que mon ancienne entreprise Sodeteg/Thales avait bien participé a ces essais dans les années 70 en Algérie), qui a accompagné (sans succès) la tentative de colonisation du Viet-Nam et qui a aussi tenté (aussi en vain) de lutter contre la main-mise des banquiers illuminatis sur le pouvoir économique mondial…
Le scandale des cobayes humains
Entre 1946 et 1991, les grandes puissances ont sciemment exposé des centaines de milliers d’humains aux retombées radioactives de plusieurs de leurs 2 000 essais nucléaires. Le voile vient seulement d’être levé sur ce chapitre atroce de la guerre froide.
En septembre 1954, l’armée soviétique exposa sciemment des civils et des militaires aux retombées d’une bombe atomique de 20 kilotonnes, explosée à 350 m au-dessus de la ville de Totskoye, dans l’Oural. Nous l’avons rapporté dans notre précédent numéro (p. 16). Depuis, de nouveaux chiffres ont été révélés: outre les 45 000 soldats qui furent exposés – quand les généraux décidèrent de leur imposer des exercices militaires sur les terrains encore brûlants de radioactivité -, il y avait aussi des civils: un million de personnes environ, réparties dans un rayon de 160 km autour du site de l’expérience. En effet, Kouibichtchev (aujourd’hui Samara), alors peuplée de 800 000 habitants, se trouve à 130 km à l’ouest du site et Orenbourg, 265 000 habitants, à 160 km à l’est.
Un film, tourné par les services de l’Armée rouge, témoigne de la véracité des faits. Tandis que les cameramen commencent à filmer, un commentateur explique que l’objectif de l’exercice est de savoir si les troupes seront capables de combattre dans une zone sous bombardement atomique. Les soldats, pour la plupart de jeunes recrues, des milliers de véhicules, des centaines de canons et de tanks, sont à proximité du point zéro. A une quinzaine de kilomètres de là, prudents, des généraux soviétiques, des membres du ministère de la Défense et quelques invités des pays de l’Est sont bien à l’abri dans un poste de commandement. Parmi eux, lemaréchal Georgi Joukov, héros de la Seconde Guerre mondiale, qui dirige l’exercice.
Le champignon atomique se forma quasiment à la verticale des troupes. Après la dispersion des ondes de choc, les soldats sortirent de leurs abris ou tranchées et s’élancèrent dans la fournaise radioactive à l’assaut d’une cible imaginaire. Dans le film, on les voit courir entre les maisons en flammes, parmi des animaux brûlés par la chaleur et les radiations et le matériel militaire calciné. (more…)

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