¤ Oui, la NSA écoute et voit tout, voilà, maintenant on le sait, maintenant on s’est indigné, ok, c’est bon, maintenant UE et USA vont pouvoir fusionner :) !
Nouvel Ordre Mondial: la NSA écoute et enregistre 125 milliards de communications téléphoniques dans le monde en un mois !…
La NSA a écouté 125 milliards de coups de téléphones en un mois
Press TV
24 Octobre 2013
url de l’article original:
http://www.presstv.ir/detail/2013/10/24/331029/us-report-nsa-spied-phone-calls/
~ Traduit de langlais par Résistance 71 ~
L’Agence Nationale de la Sécurité américaine (NSA) a écouté 125 milliards de communications téléphoniques dans le monde en juste un mois, ce incluant 3 milliards de coups de téléphone provenant des Etats-Unis seuls, d’après un document diffusé par le lanceur d’alerte Edward Snowden.
L’extension de la collecte de données de la NSA a été compilée de multiples sources et organisée Mercredi par des membres de l’équipe du site Cryptome (NdT: Créé par John Young un des Cypherpunks et ancien associé/fondateur de Wikileaks), qui publie régulièrement des documents gouvernementaux et autres informations.
La majorité des communications espionnées par la NSA émanaient d’Afghanistan et du Pakistan, où 13,76 et 21,98 milliards de communications respectivement furent écoutées en Janvier 2013, d’après l‘informateur “heat map” révélé par le quotitien britanniqueThe Guardian.
Des milliards de communications téléphoniques furent aussi enregistrées provenant de pays du Moyen-Orient incluant l’Irak, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l’Iran et la Jordanie. De plus, quelques 6,28 milliards de coups de fil d’inde furent collectés. Une estimation de 3 milliards de conversations téléphoniques américaines ont été enregistrées par la NSA.
Peut-être l’élément le plus controversif de ce programme d’espionnage de la NSA est l’effort intense de collecter des communications provenant des nations occidentales qui ont des relations amicales avec les Etats-Unis.
L’Allemagne, la France et plusieurs autres pays ont exprimé leur préoccupation au sujet de l’espionnage américain après que Snowden, un ancien employé de la NSA, eut révélé des informations classées secrètes au sujet des programmes de surveillance américains.
Le chef d’état-major des armées américain, le général Martin Dempsey a admit en Juillet que l’exposé de Snowsen avait endommagé les liens des Etats-Unis avec d’autres nations. “Il y a eu des dégâts, c’est sûr. Je ne pense pas que nous soyons capables en ce moment d’évaluer la profondeur et l’étendue de ces dégâts.”
Espionnage: la NSA a mis sur écoute 35 dirigeants de la planète selon The Guardian
Le HuffPost avec AFP | Publication: 24/10/2013 21h51 CEST | Mis à jour: 24/10/2013 21h53 CEST
INTERNATIONAL – Au lendemain des révélations de la presse allemande selon lesquelles le téléphone portable de la chancelière Angela Merkel avait été placé sous écoute par la NSA, le journal britannique The Guardian affirme que 35 dirigeants de la planète était ainsi surveillés par les responsables du renseignement américain.
Selon le journal, un responsable de l’administration américaine a transmis les numéros de téléphone de 35 dirigeants de la planète à l’Agence américaine de sécurité nationale (NSA) qui les a placés sur écoute. Des révélations faites grâce à des documents transférés par l’ancien analyste de l’Agence, Edward Snowden, actuellement réfugié en Russie.
Dans ce document interne daté du 27 octobre 2006, la NSA « encourage les hauts responsables des branches de l’exécutif qu’elle compte parmi ses ‘clients’ comme la Maison Blanche, le département d’Etat et le Pentagone, a partager leurs carnets d’adresse avec l’agence ».
A lui seul, un haut responsable, dont ni l’identité ni la fonction ne sont révélées, a transmis « 200 numéros, dont 35 de dirigeants de la planète », sans que l’on sache desquels il s’agit, se félicitent les responsables de la NSA dans le document. Ils expliquent toutefois que la surveillance de ces numéros de téléphone n’a donné que peu de résultats.
The Guardian dit avoir interpellé l’administration Obama sur ce nouveau document, mais elle n’a pas souhaité s’exprimer.
Cette nouvelle révélation intervient au moment où l’Allemagne se montre scandalisée par les révélations sur une possible surveillance du portable de la chancelière Angela Merkel par les Etats-Unis. En réaction à l’indignation de Berlin, Jay Carney, le porte-parole de la Maison Blanche, a refusé de dire si Washington avait effectivement espionné dans le passé les communications de Mme Merkel.
Lors de son point de presse quotidien, organisé avant l’article du Guardian, Jay Carney a dit qu’il ne commenterait pas des « accusations spécifiques qui ont été portées » dans l’affaire de la possible surveillance du téléphone d’Angela Merkel. « Nous passons en revue la façon dont nous rassemblons des données du renseignement afin de faire en sorte de parvenir à un équilibre entre les préoccupations de sécurité de nos ressortissants et alliés, et les inquiétudes de tout le monde sur la protection de la vie privée », a-t-il par ailleurs expliqué.
In Europe, A Sense Of Shock And Betrayal Over American Spying
Publication: 24/10/2013 23h25 CEST
The furor provoked by revelations that the American government has for years monitored the private communications of its allies showed no signs of abating this week as European leaders issued harsh condemnations while demanding a full explanation.
“Spying is not acceptable,” German Chancellor Angela Merkel told reporters on Thursday as she arrived in Brussels for a European Union summit. “Allies are supposed to trust one another. It’s not a problem just for me, but for all citizens.”
Beyond the immediate substance of the reports — the notion that American power has been applied to peer into the activities of its closest allies — reactions suggest an almost visceral sense of violation: European leaders have expressed profound feelings of betrayal, a sentiment that suggests the potential for lasting damage in their dealings with the Obama administration.
This breach has opened at a time in which the United States and its European allies are facing particularly nettlesome problems that would seem to require fruitful collaboration, from the international effort to eliminate Syria’s chemical weapons capability to negotiations with Iran aimed at preventing that country from developing nuclear weapons.
French Prime Minister Jean-Marc Ayrault pronounced himself “shocked” byrevelations published earlier this week in Le Monde detailing an American spying program that reportedly went by the code name Genie. The National Security Agency implanted surveillance devices on French computers overseas, including at its embassies.
“It is unbelievable that an ally country such as the United-States is capable to go as far as to spy on private conversations that have no strategic rationale and no impact on the national defense,” the prime minister told reporters in Copenhagen on Monday.
Ayrault demanded that the United States “give clear answers, to justify the reasons that led to such practices, and to put in place a system of transparency,” adding, “It’s the basis for a trustworthy relationship between our countries.”
In an interview with a French radio station, Europe 1, Interior Minister Manuel Valls expressed shock, amazement and disappointment over the Le Monde report.
“It is totally unacceptable for an ally country to spy on France or on other European countries,” he said.
Italian Premier Enrico Letta on Thursday demanded that the United States detail the extent of its spying into the workings of his government.
“We want the truth,” Letta told reporters in Brussels as he responded to questions about the latest bit of inflammatory information — new reports from the journalist Glenn Greenwald, published in the Italian magazine l’Espresso, that the NSA’s spying operations have included the government in Rome, another stalwart American ally.
“We won’t permit any grey or shadowy areas,” Letta said. “Obviously, these statements need to be verified, but we want the truth. These kinds of activities are neither conceivable, nor acceptable.”
With reporting from Sara Taleb in Paris and Giulia Belardelli in Rome.