¤ Armes planétaires et modification militaire du climat : chemtrails, géo-ingénierie atmosphérique et guerre contre l’environnement
Dans l’article ci-dessous : Remarque sur les contrails persistants (ou traînées de condensation persistantes)
Ce que certains appellent chemtrails, le GIEC et d’autres les considèrent comme des traînées de condensation persistantes, effet normal des gaz d’échappement des avions aujourd’hui.
Dans son livre de 2006, « La guerre météorologique », Jerry Smith explique que les traînées persistantes ne sont pas nécessairement des chemtrails (traînées chimiques). A partir des années 1990, explique-t-il, tous les réacteurs ont été modifiés avec un « double flux de dérivation », qui augmente la consommation de carburant et, qui a comme effet secondaire de laisser des traînées persistantes qui se transforment en cirrus après plusieurs heures. C’est à cette période que les observations de chemtrails ont commencé.
La raison pour laquelle les avions de nos jours laissent des traînées persistantes, explique Marshall Smith, un ancien ingénieur en aéronautique de la NASA, est que les particules de suie dans les gaz d’échappement des anciens avions fournissaient un noyau autour duquel des cristaux de glace se formaient, donnant une traînée. Mais du fait de leur couleur foncée, les particules de suie absorbaient l’énergie solaire qui faisait fondre les cristaux de glace, et dissiper la traînée. Aujourd’hui, les gaz d’échappement d’un avion, plus propres et donc plus clairs, laissent l’énergie solaire les traverser, ainsi les traînées de condensation persistent et se transforment en cirrus élevés et persistants de 24 à 36 heures.
Smith admet que ce processus n’exclut pas des dispersants métalliques ou biologiques dans les rejets chimiques d’avions, et il précise également que ces dispersants peuvent être pulvérisés sans laisser de traînées, en fonction de la matière particulaire, de l’humidité et de la température atmosphérique. Mais, plus tard, en 2009, il a publié ce qui suit:
Donc la « théorie» des chemtrails est que les traînées de condensation des avions sont « normales » si elles disparaissent en quelques minutes, alors que les « chemtrails », ou traînées chimiques persistent pendant des heures, et donc ne seraient pas « normales » et devraient contenir des éléments inconnus qui les rendraient persistantes … Les traînées d’avions persistantes peuvent être entièrement expliquées par la science sans avoir à recourir à un scénario de « théorie du complot ». Elles semblent dues à l’introduction d’un réacteur à double flux dérivés, à l’amélioration des carburéacteurs (JP- 8) et au « réchauffement climatique ». [13]
Par Rady Ananda – Global Research – Le 3 Novembre 2013 – Traduction Ciel voilé
Développé en 1988 par le Programme pour l’Environnement des Nations Unies et l’Organisation Météorologique Mondiale des Nations Unies, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) vient de publier son cinquième rapport d’évaluation [1] et maintient son silence sur les applications militaires de modification du climat qui continuent de fausser les données.
« Les phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes » sont liés au changement climatique, alors qu’aucune mention n’est faite sur les programmes gouvernementaux visant délibérément à modifier les conditions météorologiques et à provoquer les tremblements de terre, la sécheresse, la pluie et les tsunamis.
Le programme actuel de modification artificielle du temps, au moins aux États-Unis, date de plus de 70 ans. Des messages d’intérêt public imprimés dans les journaux des années 1960 mettent en garde contre l’intention du gouvernement de modifier la météo.
Life Magazine, dans les années 50 et 60, donnait continuellement des informations sur les programmes de modification du temps aux États-Unis, y compris sur le projet Stormfury qui a détourné la trajectoire des ouragans et réduit leur intensité de 1962 à 1983. Le silence permanent et absolu du GIEC sur ces programmes est assourdissant.
Avec des connaissances d’initié, un chapitre du livre paru en 1968 « A moins que la Paix n’arrive : une prévision scientifique des armes à venir », prédit le développement de technologies qui utiliseront la planète elle-même comme une arme. Le chapitre « Comment détruire l’environnement» [2] a été écrit par le géophysicien et membre du Comité consultatif scientifique du Président Johnson, le Dr Gordon JF Mac Donald. Il y déclare:
« La clé de la guerre géophysique est l’identification des instabilités environnementales auxquelles l’ajout d’une petite quantité d’énergie permettrait de dégager de largement plus grandes quantités d’énergie. »
Ce chapitre envisage quatre armes planétaires dont Mac Donald prédit qu’elles seront entièrement développées au XXIème siècle, à partir de l’état de la recherche à son époque :
• modification du climat;
• génération de tremblement de terre;
• génération de tsunami et de leur direction, et
• Contrôle du comportement de masse via la manipulation électromagnétique de l’ionosphère.
L’idée est reprise dans plusieurs projets de géo-ingénierie détaillés dans le livre d’Eli Kintisch « Détruire la planète », au chapitre intitulé « La poursuite des leviers ». Il explique que « de petits changements dans le système terrestre peuvent avoir des effets globaux profonds ». [3] (more…)