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21 décembre 2013

¤ Se dirige-t-on tout droit vers une future nouvelle Guerre d’Espagne ?…

Classé dans : Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 5 : 36

Source : http://resistance71.wordpress.com/2013/12/17/fascisme-supranational-en-marche-lespagne-retourne-au-franquisme/

fascisme supranational en marche: L’Espagne retourne au franquisme !

Quand on parle de fascisme, toujours se référer à notre sens à la définition qu’en donnait Mussolini, difficile de mieux le définir: « Le fascisme devrait plutôt s’appeler corporatisme, car il représente la fusion de l’État et de la grosse entreprise ».

La doctrine capitaliste en phase finale de métamorphose est juste cela: un gigantesque monopole, permettant l’instauration d’un fascisme planétaire grâce à une grille de contrôle étatico-entrepreneuriale. C’est çà le Nouvel Ordre Mondial dont l’ »élite » auto-proclamée parle tant et appelle de ses vœux pieux. Ce paradigme est au-delà de l’illusion de la « division politique gauche-droite », qui n’a été et n’est qu’un leurre ; du reste le N.O.M est prôné à la fois par des « libéraux/socialistes » (Attali en France et la clique PS et gauche du PS) et des conservateurs de « droite » (Sarkozy et la clique UMP en France), quant aux partis politiques des « extrêmes » (PG, FG, FN en France), parties intégrantes du système ils surnagent pour la préservation du système dont ils dépendent, en ayant des velléités purement réthoriques de le « réformer » de l’intérieur. Pathétique niaiserie au service des mêmes oligarques manipulateurs.

Il n’y a pas de solutions au sein du système il faut en sortir pour refonder la société sur le droit naturel et l’autodétermination décentralisée des peuples.

– Résistance 71 –

 

Alerte ! Coup d’état institutionnel en Espagne

 

Anne Wolff

 

16 Décembre 2013

 

url de l’article original:

http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-alerte-coup-d-etat-institutionnel-en-espagne-121634076.html

 

En Espagne, un coup d’état fasciste institutionnel se produit en ce moment. Je ne peux traduire tous les textes qui concernent les éléments de ce coup d’état, je ne prétends pas reprendre ici tous les éléments qui le constituent mais ceux qui sont nécessaires et suffisants pour mettre en lumière ce coup d’état « doux ».

Pour comprendre ce dont il est question, un préalable : le PP, Parti Populaire au pouvoir actuellement, se démasque toujours d’avantage comme Parti ouvertement d’extrême-droite. Des militants faisant le salut hitlérien, des maires qui changent les noms de rues ou de place portant des noms de héros de la gauche, comme la Passionaria, Aznar qui se retrouve dans toutes les réunions de l’extrême-droite internationale en Amérique Latine en compagnie de son ami Uribe alors qu’il est question par exemple de la manière dont sera renversé (en avril dernier) le gouvernement légitime du Venezuela,… une série d’éléments mettent ce fait incontestable en lumière, le PP retire le masque de la démocratie qu’il portait lors de sa précédente gouvernance.

Et ce qui s’ensuit devrait mettre la puce à l’oreille et ouvrir les yeux de ceux qui s’imaginent qu’un parti comme le FN est un parti populaire. Populiste oui, populaire non. La différence ? Elle est de taille. Ce qu’on appelle aujourd’hui populiste s’appelait autrefois démagogie et est très bien décrit pas Lafontaine dans « Le corbeau et le renard » et sa morale « Tout flatteur vit aux dépends de celui qui l’écoute ». Populaire par contre parle de l’implantation d’un parti dans une base forte qui prend part aux décisions politiques qui la concerne, et s’en retrouve donc satisfaite.

. Pour comprendre les enjeux européens de ce coup d’état il nous faut remonter aux années 30 et plus particulièrement de juillet 36 à mars 39, période de la guerre civile espagnole. D’une part nous avons un gouvernement élu du Front Populaire, d’autre part un groupe de rebelles putschistes menés par le général Franco. Je ne vais pas entrer dans les détails internes de cette guerre, mais bien plutôt dans le rôle joué par d’autres pays dans son déroulement. Alors que le gouvernement espagnol en appelle de plus en plus désespérément à l’aide des gouvernements Français, Belges et Anglais, il reçoit des refus systématiques motivés par le devoir de « non ingérence ». Hitler et Mussolini n’ont pas de tels scrupules, et ils envoient leurs armées à la rescousse de Franco, ce qui est aussi un bon exercice de terrain pour la Seconde Guerre mondiale à venir. Malgré le Traité qui la lie à l’Espagne, la France ira même jusqu’à refuser au gouvernement espagnol de lui vendre (pas lui donner, lui vendre)des armes, pour résister à l’invasion. L’armée d’invasion italienne est forte de 150 000 hommes et si le nombre des soldats allemands n’est pas connu, ce sont 25 000 officiers, sous-officiers et soldats allemands qui furent décorés pour leur participation à la guerre d’Espagne. Ces armées d’invasion sont lourdement armée, les tanks, les avions ont besoin d’essence, qu’à cela ne tienne ce sont des pétrolières étasuniennes qui la fourniront à volonté. Les mêmes que l’ont retrouvera quand le moment sera venu pour Hitler d’envahir les dits Pays Alliés.(Memoires de la Passionaria)

Pourquoi je reviens sur ces événements ? Parce que simplement il est clair que le fascisme a gagné la guerre en 39 en Espagne, qui deviendra par la suite un des refuges privilégiés des nazis en fuite (beaucoup avec l’aide de leurs amis étasuniens). Et pourquoi dis-je contre toute apparence que le fascisme a gagné la guerre en Espagne à la fin des années 30, parce que ce fascisme qui a gagné alors était étasunien bien avant d’être allemand. L’histoire nous apprendra par la suite que pour ce fascisme-là, peu importait qui emporterait la seconde guerre mondiale, dune manière comme d’une autre, il serait triomphant. Ce qui importait était que l’Europe soit détruite et ouverte à la colonisation. La victoire d’Hitler aurait sans doute permis des raccourcis, mais le personnage serait sans doute aussi vite devenu gênant dans sa démesure frisant la folie. Nous connaissons la suite.L’Europe-Marché pour la colonisation Yankee, un processus qui trouve son aboutissement dans les traité transatlantique récents, qui marque l’aboutissement de la dictature du Marché Unique Monopolistique sans Concurrence..

Si la mort de Franco marque un changement de régime, jamais l’Espagne ne s’est libérée du franquisme, et les nazis ont essaimés dans le monde entier, leurs savants étant autant appréciés par les USA que par la France ou la Russie et les plus sadiques de leurs militaires jouant un rôle non négligeable dans les cruelles dictatures d’Amérique Latine. Aujourd’hui le fascisme et sa variante nazie sont présents absolument partout dans le monde, dans certains pays d’Asie comme la Thailande, la Corée du Sud ou le Japon il existe même une tendance de mode, le nazi-chic et des Hitler fast- food. (A voir ici  Le Nazi-Chic, la nouvelle mode asiatique qui contamine la Thaïlande – Le Tribunal Du Net  ). Sans doute beaucoup de ceux qui adoptent cette mode ne savent pas ce que représente réellement le nazisme, mais c’est justement cela qui est grave, il n’y a pas eu de leçon de l’histoire ! Et beaucoup de jeunes qui se font recruter par des milices nazies dans le monde ne le savent pas toujours mieux, du moins au départ. Et des milices nazies, on en retrouve aussi partout dans le monde. .Juives ou Arabes, Russes ou Etasuniennes, Latino ou Européennes… l’internationale fasciste et sa branche néo-nazie se portent bien.

Pendant quelques décennies nous, Européens, avons pu nous illusionner et croire que le « Plus jamais ça » était une réalité, Que personne de sensé ne voudrait jamais plus que puisse se produire de telles horreurs. Si je vous renvoie à ces images de mode, hallucinantes pour nous, c’est parce qu’il est important de comprendre que la banalisation du nazisme fait partie de l’histoire contemporaine et que les conditions de son émergence massives sont presque rassemblée, que l’Espagne aujourd’hui en ouvre le chemin pour l’Europe. Elle nous offre aussi l’occasion de prouver que nous avons, nous, tiré les leçons de cette histoire, mais je doute que ce soit le cas.

 

Loi de Sécurité Citoyenne, Loi de Sécurité Privée, modification du Code Pénal Civil et du Code Pénal Militaire sont des éléments clés de ce coup d’état fasciste institutionnel qui se produit en ce moment en Espagne. Des transformations  qui selon les Juges pour la Démocratie réunis en fin de semaine passée avec des professeurs de droits, des syndicalistes et des commissions ouvrières mettent fin aux Droits Fondamentaux en Espagne en créant un nouveau délinquant ; Le dissident politique. En pratique, elle liquide les droits de réunions et de manifestation. (« El Código Penal crea un nuevo delincuente: el disidente político »)

Vous trouverez (ici le projet de « loi de sécurité espagnole » ou « le franquisme est de retour ».) en détails les éléments de ce projet de loi de Sécurité Citoyenne. La Loi de Sécurité Privée a, elle, été adoptée vendredi passé. Je n’en ai pas les détails mais quelques éléments. Et les modifications du Code Pénal Civil et du Code Pénal Militaires doivent suivre.(Rebelion. Denunciamos la Ley de Seguridad Privada, como la instauración de “cuerpos parapoliciales” al servicio de la oligarquía y de su <i>Régimen</i> antidemocrático et Rebelion. Contra el nuevo “golpe de estado encubierto” )Je vous résume les grandes lignes :

En ce qui concerne le code militaire les détails se discutent dans le secret des hautes sphères de l’armée, mais les lignes générales sont connues ainsi que nous le fait savoir le Collectif de militaires Anemoi qui s’inquiète de voir que les réformes pénales civiles permettront la condamnation à perpétuité de « terroristes » qui est un terme que d’autres modifications permettent d’appliquer à tous dissident politique (du régime fasciste qui se met en place).

Quand aux modifications du Code Pénal Militaire, elles instaurent un état d’exception permanent, en clair la possibilité de condamner tout petit Br&dley Manning potentiel qui voudrait dénoncer des crimes de lèse-humanité commis par l’armée dans ou hors du pays. La « rébellion » pouvant également qualifier des civils qui dénonceraient des fait de torture ou des meurtres ciblés de journalistes par l’armée, par exmple, comme cela c’est déjà produit auparavant seront à présent frappés de peines très lourdes.

Ces modifications institutionnelles impliquent également que le gouvernement pourra activer l’état de siège et la loi martiale que prévoit la Constitution de 1978 avec suspension de tous les droits politiques et des garanties constitutionnelles non seulement en cas de guerre déclarée avec l’approbation du parlement  mais également en cas supposé de « l’existence d’un conflit armé ».

Quand à la loi de sécurité privée, elle constitue, nous dit Anemoi, la base pour instaurer une armée privée au service de l’oligarchie. De telles forces seront utilisées en complément des forces et corps de sécurité de l’état et donc pas uniquement dans le privé.

Et immédiatement le gardiennage dans les prisons est déjà attribué à ces sociétés privées. Or l’application de la Tolérance zéro qui doit être inscrite dans le code pénal va faire monter en flèche la population carcérale, il s’agit donc d’un juteux marché. La prison, risque de se transformer comme c’est le cas aux E.U. origine du système; en « mode de vie « pour un nombre gigantesque de personnes.

La loi autorisera l’action des forces privées dans des lieux publics ou privés sous « supervision » de l’armée et dans des conditions identiques. En jouissant donc des mêmes conditions d’impunité qui viennent d’être accordées à l’armée de l’état. Toute résistance qui leur sera opposée pouvant donc être frappée des lourdes peines prévues.

Quand à ce qui concerne l’usage des armes rien de plus précis que le fait qu’il doit être « congruent et proportionné ». Le nombre de morts du à l’usage d’armes « non létales » comme le taser, les balles de caoutchoux, les gaz paralysants,… posent des questions légitimes quand à la nécessité d’une stricte réglementation,  alors que l’impunité pour les utilisateurs est garantie par la loi, cela éveille les sinistres échos de toutes les dictatures militaires et de leurs abus. Et Anemoi redoute l’introduction d’armes plus sophistiquées. (more…)

¤ Quelle révolution syrienne ?… !!!

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 5 : 16

Source : http://resistance71.wordpress.com/2013/12/17/ingerence-occidentale-en-syrie-il-ny-a-jamais-eu-de-revolution-en-syrie/

Ingérence occidentale en Syrie: Il n’y a jamais eu de « révolution » en Syrie…

Et tout cela bien sûr avec la totale complicité et collaboration des merdias atlantistes occidentaux qui se vautrent dans l’ignominie depuis près de trois ans… Rien d’étonnant… (Résistance 71 )

« Les médias ? Dans un pays démocratique, bien informé, les médias sont la mouche du coche, ils jouent le rôle de représentant du public ; comme ils sont professionnels, c’est leur boulot d’être profesionnels au sujet de la collecte de l’information. Puis nous devons dépendre d’eux pour nous donner cette info ainsi que les analyses, le fond des affaires et la critique qui nous permettra à nous le public de défier ce qui se passe. Cela devrait se passer de cette façon en démocratie, dans un pays où nous aurions des médias démocratiques. Mais ce n’est pas le cas. Nous avons des médias qui sont contrôlés par un tout petit nombre de corporations très puissantes et on se rend compte que la même histoire est diffusée sur tous les médias le soir même…  » (Howard Zinn, 2006)

Où sont donc passés les “révolutionnaires” syriens ?

Thierry Meyssan, 16 décembre 2013, url de l’article original: http://www.voltairenet.org/article181497.html

A la veille de la conférence de Genève 2, les organisateurs états-uniens n’ont plus aucune marionnette pour jouer le rôle des révolutionnaires syriens. La disparition soudaine de l’Armée syrienne libre montre à ceux qui y croyaient qu’elle n’était qu’une fiction. Il n’y a jamais eu de révolution populaire en Syrie, juste une agression étrangère à coup de mercenaires et de milliards de dollars.

Les organisateurs de la conférence de paix de Genève recherchent d’urgence un représentant pour l’opposition syrienne armée. En effet, selon les Occidentaux, le conflit oppose une abominable dictature à son propre peuple. Cependant, les groupes armés qui détruisent la Syrie —du Front islamique à Al-Qaïda— font officiellement appel à des combattants étrangers, même si le premier prétend être composé principalement de Syriens. Les inviter serait admettre qu’il n’y a jamais eu de révolution en Syrie, mais une agression étrangère.

En effet, l’Armée syrienne libre, dont on nous disait il y a quelques semaines qu’elle comprenait 40 000 hommes, a disparu. Après que son quartier général a été attaqué par d’autres mercenaires et que ses arsenaux ont été pillés, son chef historique, le général Selim Idriss, s’est enfui par la Turquie et a trouvé refuge au Qatar, tandis que le colonel Riad el-Assad a trouvé asile aux Pays-Bas.

Lors de sa formation, le 29 juillet 2011, l’ASL s’était fixé un unique objectif : le renversement du président Bachar el-Assad. Jamais l’ASL n’a précisé si elle se battait pour un régime laïque ou un régime islamique. Jamais, elle n’a pris de position politique en matière de Justice, d’Education, de Culture, d’Economie, de Travail, d’Environnement, etc. Jamais elle n’a formulé la moindre ébauche de programme politique.

Elle était, nous disait-on, formée de soldats de l’Armée arabe syrienne ayant fait défection. Il y eu effectivement des défections durant le second semestre 2011, mais leur nombre total n’a jamais excédé les 4 %, ce qui est négligeable à l’échelle d’un pays.

Non : l’ASL n’avait pas besoin de programme politique car elle avait un drapeau, celui de la colonisation française. En vigueur durant le mandat de la France sur la Syrie et maintenu durant les premières années de prétendue indépendance, il symbolisait l’Accord Sykes-Picot : la Syrie était largement amputée et divisée en États ethnico-confessionnels. Ses trois étoiles symbolisent un État druze, un État alaouite et un État chrétien. Tous les Syriens connaissent ce funeste drapeau, ne serait-ce que par sa présence dans le bureau du collaborateur syrien de l’occupant français dans un célèbre feuilleton télévisé.

Son premier leader, le colonel Riad el-Assad, a disparu aux oubliettes de l’histoire. Il avait été sélectionné pour son nom, qui s’écrit différemment en arabe mais se prononce identiquement dans les langues européennes avec celui du président Bachar el-Assad. La seule différence entre les deux hommes, d’un point de vue des monarchies du Golfe, était que le premier était sunnite et le second alaouite.

En réalité, l’Armée syrienne libre est une création franco-britannique comme l’étaient les « révolutionnaires de Benghazi » en Libye (lesquels avaient « choisi » comme drapeau celui du roi Idriss Ier, collaborateur des occupants anglais).

Bras armé de l’Otan, destiné à prendre le palais présidentiel lorsque l’Alliance atlantique aurait bombardé le pays, l’ASL a été ballottée par les plans successifs et les échecs successifs des Occidentaux et du Conseil de coopération du Golfe. Présentée dans un second temps comme le bras armé d’un Conseil politique en exil, elle ne lui reconnaissait aucune autorité et n’obéissait qu’à ses employeurs, les Franco-Britanniques. Elle était en fait le bras armé de leurs services secrets dont la Coalition nationale syrienne était le bras politique. En définitive, l’ASL n’a pu accumuler de succès qu’avec l’aide directe de l’Otan, en l’occurrence de l’Armée turque qui l’hébergeait dans ses propres bases.

Créée dans le cadre d’une guerre de 4ème génération, l’ASL n’a pas réussi à s’adapter à la seconde guerre de Syrie, celle de type nicaraguayen. La première guerre (de la réunion Otan au Caire en février 2011 à la conférence de Genève en juin 2012) était une mise en scène médiatique visant à délégitimer le pouvoir afin qu’il tombe comme un fruit mur dans les mains de l’Otan. Les actions militaires étaient perpétrées par des groupuscules distincts, recevant leurs ordres directement de l’Alliance. Il s’agissait avant tout de créditer les mensonges médiatiques et donner l’illusion d’une révolte généralisée. Conformément aux théories de William Lind et de Martin Van Creveld, l’ASL n’était qu’un label pour désigner tous ces groupes, mais ne disposait pas de structure hiérarchique propre. Au contraire, la seconde guerre (de la réunion des « Amis de la Syrie » à Paris en juillet 2012 à la Conférence de Genève 2 en janvier 2014) est une guerre d’usure visant à « saigner » le pays jusqu’à sa reddition. Pour jouer son rôle, l’ASL aurait dû se transformer en une véritable armée, avec une hiérarchie et une discipline, ce qu’elle n’a jamais été capable de faire.

Sentant sa fin proche, depuis le rapprochement turco-iranien, l’ASL avait annoncé sa possible participation à Genève 2 en posant d’irréalistes conditions. Mais il était déjà trop tard. Les mercenaires payés par l’Arabie saoudite ont eu raison de cette fiction de l’Otan. Chacun peut désormais voir la vérité toute nue : il n’y a jamais eu de révolution en Syrie.

Le projet de Grand Marché Transtlantique décrypté par Raoul Marc Jennar

Classé dans : Complots prouvés,Outils/Bon à savoir,Perso/Archives,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 4 : 49

fichier pdf PTCI Diaporama Jennar

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