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25 janvier 2014

¤ Résistance à la dictature agro-alimentaire: Produits à boycotter contenant des OGM Monsanto…

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 2 : 34

Source : http://resistance71.wordpress.com/2014/01/24/resistance-a-la-dictature-agro-alimentaire-produits-a-boycotter-contenant-des-ogm-monsanto/

Liste non-exhaustive bien-sûr, mais de produits qui ont envahis le marché français et francophone… La problématique est somme toute assez simple: Nous savons, grâce à de plus en plus d’études indépendantes (cf l‘étude don professeur Séralini sur le maïs OGM Monsanto), que notre alimentation tend à être empoisonnée (à dessein ou pas n’est plus vraiment le problème dans l’urgence…) par les OGM, par les produits chimiques (pesticides, insecticides, engrais), maintenant la radioactivité (Fukushima se révèle jour après jour être une source constante de contamination depuis près de 3 ans maintenant des écosystèmes pacifiques… Mangez-vous du saumon du pacifique ??…). Que faire ? On ne peut pas palier à tout, mais on peut déjà dire NON à ce dont on ne veut pas. Boycotter les produits qui utilisent les OGM est une première étape. En quoi les produits listés ci-après sont-ils potentiellement toxiques ? La très vaste majorité utilise ne serait-ce que du « syrop de maïs », ingredient « corn syrup » sur les étiquettes originales américaines… Sauf étiquetté NON GMO, tous les syrops de maïs utilisés proviennent de maïs génétiquement modifié dont Monsanto a le quasi monopole au pays du goulag levant. Ceci n’est qu’un cas parmi d’autres…

Nous boycottons ces marques depuis bien longtemps dans nos vies personnelles… C’est une affaire de choix, pourvu qu’il soit informé !

– Résistance 71 –

Monsanto les produits à Boycotter

Manon Laplace 20 janvier 2014 url de l’article original en français:

http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/10502/monsanto-produits-boycotter

Les produits du géant de la biochimie Monsanto sont présents dans de très nombreux articles de consommation courante. Bio à la Une fait la liste de quelques unes des marques qu’il vaut mieux éviter afin de ne pas mettre n’importe quoi dans son assiette.

Monsanto, titan de la biotechnologie, est tristement célèbre pour les scandales sanitaires à répétition dans lesquels la firme est impliquée. Ce que l’on sait moins enr revanche, c’est que les marques qui contiennent des produits Monsanto envahissent nos rayons.
Pour mieux savoir ce que l’on met dans son assiette et dans celle de ses enfants, il est bon de connaître les multinationales, propriétaires de nombreuses marques, qui ont recours à des composants Monsanto pour certaines de leurs productions.
Parmi celles-ci, les sociétés Kraft Philipp Moris, Unilever, General Mills, Coca-Cola, Pepsico ou encore Procter & Gamble.

Boissons

Les boissons de la marque Coca-Cola: Coca-Cola, Fanta, Dr Pepper, Minute Maid…
Les jus de fruits Capri-Sun et Topricana.
Le boissons Ocean Spray, les sodas Pepsi-Cola, Seven Up, Schweppes ou les boissons énergisantes Gatorade.
Les thés Lipton et les cafés Maxwell.
Le lait Gloria de la firme Nestlé

Produits sucrés

Les chocolats Poulain, Lindt, Côte d’Or, Dam, Milka, Suchard et Toblerone.
Les biscuits Lu, Oreo, Cadbury et les cookies Pepperidge Farm.
Les produits Brossard ou Savane.
Les bonbons Carambar, Krema et La Vogienne.
Les chewing-gums Hollywood ou Malabar.
Les barres de chocolat Bounty.
Les glaces Häagen Dazs, Miko et Ben & Jerry’s.
Les céréales Kellogg’s, parmi lesquelles Special K, Trésor, Miel Pop’s, Froties ou encore All Bran.
Les céréales Quaker.
Les yaourts Yoplait.

Produits salés

Les chips Lay’s, Pringles et Doritos.
Les biscuits apéritif Benenuts et Bahlsen.
Les spécialités fromagères Philadelphia.
Les plats préparés Marie, Findus, Tipiak.
Les pains Jacquet.
Les soupes et bouillons Liebig, Knorr, Royaco, Alvale.
Les préparations mexicaines Old El Paso.
Les sauces Heinz, Amora, Benedicta.
Les produits Uncle Ben’s. (more…)

¤ Crise économique: Voir la dette sous un autre angle… pour mieux cesser de la payer !

Classé dans : Outils/Bon à savoir,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 2 : 32

Source : http://resistance71.wordpress.com/2014/01/23/crise-economique-voir-la-dette-sous-un-autre-angle-pour-mieux-cesser-de-la-payer/

Angle de vue très intéressant sur la dette et de rentrer en désobéissance. Il faut sortir de la culpabilité induite au sujet de dettes des nations le plus souvent « odieuses » dans le sens où la responsabilité en incombe essentiellement au système de réserve fractionnel adopté par les escrocs de la finance internationale.

L’auteur a également écrit « Fragments of an Anarchist Anthropology » où figure en bonne place Marcel Mauss, Pierre Clastres, Robert Jaulin et Marshall Sahlins. Histoire de se sentir un peu « à la maison »…

– Résistance 71 –

La façon la plus simple de désobéir à la finance est de refuser de payer les dettes

David Graeber

16 janvier 2014

url de l’article original:

http://www.bastamag.net/David-Graeber-La-forme-la-plus

 

La dette ? Une construction sociale, fondatrice d’un pouvoir arbitraire, estime David Graeber, anthropologue et économiste états-unien, considéré par le New York Times comme l’un des intellectuels les plus influents actuellement. Les pays pauvres et les personnes endettées sont aujourd’hui enchainés aux systèmes de crédit. Piégés dans des relations basées sur la violence, les inégalités et justifiées par la morale, décrit l’auteur, dans un ouvrage qui retrace 5000 ans d’histoire de la dette. « Rembourser ses dettes » est devenu un dogme, impossible à contester. Et si, malgré tout, on décidait d’effacer l’ardoise ? Avec le mouvement Occupy Wall Street, David Graeber lance des actions de désobéissance civile pour démontrer l’absurdité du système capitaliste actuel. Entretien.

Basta ! : A quel moment dans l’histoire le crédit est-il apparu ? Qu’est-ce qu’une dette ?

David Graeber [1] : La dette est une promesse, qui a été pervertie par les mathématiques et la violence. On nous a raconté une histoire : « Il était une fois des gens qui utilisaient le troc. Voyant que cela ne marchait pas très bien, ils ont créé la monnaie. Et l’argent nous a amené le crédit. » Du troc au crédit, une sorte de ligne droite nous amènerait donc à la situation actuelle. Si on regarde plus attentivement l’histoire, cela s’est passé bien différemment ! Le crédit a d’abord été créé. La monnaie physique est apparue quelques milliers d’années plus tard. Cela permet de poser les questions différemment : comment sommes-nous passés d’un système où les gens disaient « je vous dois une vache », à un système où l’on peut mesurer la valeur exacte d’une dette ? Ou l’on peut assurer, formule mathématique à l’appui, que « 340 poulets sont équivalents à cinq vaches » ? Comment une promesse, une obligation de remboursement, est devenue une « dette » ? Comment l’idée que nous devons une faveur a-t-elle été quantifiée ?

En quoi quantifier une dette est-elle un problème ?

Quantifiable, la dette devient froide, impersonnelle et surtout transférable : l’identité du créancier n’a pas vraiment d’importance. Si je promets de vous rencontrer à cinq heures demain, vous ne pouvez pas donner cette promesse à quelqu’un d’autre. Parce que la dette est impersonnelle, parce qu’elle peut être exigible par des mécanismes impersonnels, elle peut être transférée à une autre personne. Sans ces mécanismes, la dette est quelque chose de très différent. C’est une promesse qui repose sur la confiance. Et une promesse, ce n’est pas la négation de la liberté, au contraire, c’est l’essence de la liberté ! Être libre, c’est justement avoir la capacité de faire des promesses. Les esclaves ne peuvent pas en faire, ils ne peuvent pas prendre d’engagements auprès d’autres personnes, car ils ne sont pas sûrs de pouvoir les tenir. Être libre, c’est pouvoir s’engager auprès d’autrui.

Au contraire, le « remboursement de la dette » est devenu un dogme moral…

La dette a été transformée en une question d’arithmétique impersonnelle, en l’essence même de l’obligation morale. C’est ce processus que nous devons défaire. Il est fascinant aussi de voir le lien entre la notion de dette et le vocabulaire religieux, de constater comment les premières religions débutent avec le langage de la dette : votre vie est une dette que vous devez à Dieu. La Bible par exemple commence avec le rachat des péchés… Devenue dogme moral, la dette justifie les dominations les plus terribles. On ne peut comprendre ce qu’elle représente aujourd’hui sans un détour par cette longue histoire de la dette comme justification morale de relations de pouvoir inégales. Le langage de la dette permet de justifier une relation de pouvoir arbitraire. Et il est très difficile d’argumenter face à un pouvoir arbitraire sans adopter le même langage. (more…)

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