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9 avril 2014

¤ La Résistance à la NSA s’organise… et les USA menacent l’Europe de sanctions à l’OMC !!!

Classé dans : Complots prouvés,Outils/Bon à savoir,Perso/Archives,Politique/Societe — uriniglirimirnaglu @ 8 : 40

Sources : http://www.01net.com/editorial/614870/un-cable-anti-nsa-entre-le-bresil-et-leurope/

http://rt.com/news/us-europe-nsa-snowden-549/

http://www.europarl.europa.eu/news/fr/news-room/content/20140307IPR38203/html/NSA-mettre-fin-%C3%A0-la-surveillance-massive-ou-faire-face-aux-cons%C3%A9quences

http://www.chaos-controle.com/archives/2014/02/19/29256694.html

Un câble anti-NSA entre le Brésil et l’Europe

La présidente Dilma Rousseff vient de signer un accord de coopération avec l’Union Européenne. Il comprend notamment la mise en place d’un câble sous-marin direct de communications contournant les écoutes américaines.

01net.
le 25/02/14 à 19h55
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© GEORGES GOBET / AFP
Le président de la Commission Européenne José Manuel Barroso, la président du Brésil Dilma Rousseff et le président du conseil Herman Van Rompuy.
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Enfin une mesure concrète à la suite du scandale Prism pour déjouer les programmes d’écoutes de la NSA. Un câble sous-marin en fibre optique devrait relier directement le Brésil à l’Europe dès l’année prochaine. C’est l’un des points majeurs du nouvel accord de coopération signé à l’issue du 7ème sommet Union Européenne-Brésil qui s’est tenu à Bruxelles ce 24 février. Il a été signé par le président de la Commission Européenne José Manuel Barroso, la présidente du Brésil Dilma Rousseff et le président du conseil Herman Van Rompuy.

De Lisbonne à la ville de Fortaleza

Le câble partirait de la ville de Fortaleza dans le Nordeste au Brésil pour déboucher dans la capitale portugaise de Lisbonne. Il devrait coûter la coquette somme de 185 millions de dollars, soit 135 millions d’euros environ. Une joint venture entre l’opérateur brésilien Telebras et le fabriquant de câbles en fibre optique IslaLink, l’équivalent portugais d’Alcatel.
Selon l’agence Reuters, les communications Brésil-Europe passent encore par les Etats-Unis pour la transmission de données. Le seul câble direct serait obsolète et ne servirait qu’à la transmission de voix pour les conversations téléphoniques.
Ne souhaitant pas stigmatiser publiquement les Américains, la déclaration commune mentionne sobrement qu’il s’agit notamment de « renforcer la protection des communications ». Mais le but reste bien de contourner le système d’espionnage de la NSA. Dilma Rousseff a d’ailleurs fait une allusion très claire dans ce sens lors de la conférence de presse : « Nous devons respecter la vie privée, les droits de l’homme et la souveraineté des nations. Nous ne voulons pas que nos entreprises soient espionnées ».
Pour sa part, l’Union Européenne a souligné qu’un tel câble permettrait également, à terme, d’améliorer les communications entre les deux continents, de stimuler les investissements en matière de technologies de l’information, et de faire des économies sur les coûts d’interconnexion pour les entreprises et les chercheurs.
A lire aussi :

US blasts Europe’s plan for anti-snooping network as ‘unfair advantage’

Published time: April 05, 2014 10:18
Edited time: April 06, 2014 16:38

Reuters/Kai PfaffenbachReuters/Kai Pfaffenbach

US officials on Friday slammed plans to construct an EU-centric communication system, designed to prevent emails and phone calls from being swept up by the NSA, warning that such a move is a violation of trade laws.

Calling Europe’s proposal to build its own integrated communication system “draconian,” the office of the US Trade Representative (USTR) said American tech companies, which are worth an estimated $8 trillion per year, would take a financial hit if Brussels gives the initiative the green light.

« Recent proposals from countries within the European Union to create a Europe-only electronic network (dubbed a ‘Schengen cloud’ by advocates) or to create national-only electronic networks could potentially lead to effective exclusion or discrimination against foreign service suppliers that are directly offering network services, or dependent on them, » the USTR said in its annual report

In the aftermath of Edward Snowden’s whistleblowing activities at the National Security Agency, which proved that much of the world’s telecommunication meta-data is being stored away in the United States, European countries – notably Germany and France – are desperate to get a handle on their own networks without relying on a meddlesome middleman.

Germany’s outrage over the revelations hit full stride last month when Der Spiegel, the popular daily newspaper, asked if it is “time for the country to open a formal espionage investigation” following yet more disclosures that Britain’s GCHQ infiltrated German internet companies and the NSA collected information about (German Chancellor Angela) “Merkel in a special database.”

Now, US trade officials are up in arms over proposals by Germany’s Deutsche Telekom (in which the German government owns less than 30 percent), to avoid passing communications to the United States, saying the move would give European companies an unfair advantage over their US colleagues.

« Any mandatory intra-EU routing may raise questions with respect to compliance with the EU’s trade obligations with respect to internet-enabled services, » the USTR said. « Accordingly, USTR will be carefully monitoring the development of any such proposals. »

If the European-centric plan gets the go ahead, it would require the dismantlement of the Safe Harbor agreement that allows US companies access to European data. It should be noted that despite the work of the NSA, Europe has some of the strictest privacy laws in the world.

US telecommunication and internet firms are now lobbying Washington to calm fears over privacy concerns in an effort to halt Europe’s move toward protectionism.

Similar criticisms were directed by the USTR at another American ally, Canada. The representative complained about privacy rules enforced in Canadian provinces of British Columbia and Nova Scotia, which do not normally allow public bodies to store and access private data of Canadians outside the country.

The USTR also criticized the Canadian federal government’s move to build a unified email system, which required data to be stored in Canada and thus prevented US companies from bidding. Bell Canada eventually won the $400-million contract.

“In today’s information-based economy, particularly where a broad range of services are moving to “cloud” based delivery where US firms are market leaders, this law hinders US exports of a wide array of products and services,” the report said.

Much like the EU, Canada has concerns over its dependence on US for routing telecommunications, with some 90 percent of all Canadian internet traffic going through the US. The Canadian Internet Registration Authority proposed in October 2013 building up domestic infrastructure, which would change this and protect the data from potential NSA snooping.

NSA: mettre fin à la surveillance massive ou faire face aux conséquences

SESSION PLÉNIÈRE Communiqué de presse - Droits fondamentaux − 12-03-2014 – 13:11

L’approbation du Parlement à l’accord commercial UE-États-Unis pourrait être menacée si la NSA n’arrête pas ses activités de surveillance de masse, ont affirmé les députés dans une résolution résumant leur enquête de 6 mois. Le texte appelle l’UE à suspendre son accord sur les données bancaires avec les États-Unis et l’accord « sphère de sécurité » sur la protection des données. La lutte contre le terrorisme ne peut justifier une surveillance de masse secrète et illégale, selon le texte.

Dans la résolution portant sur les systèmes américains de surveillance massive, adoptée ce mercredi par 544 voix pour, 78 voix contre et 60 abstentions, les députés présentent leurs résultats et leurs recommandations afin de renforcer la vie privée des citoyens européens.

« Les révélations d’Edward Snowden nous ont donné une chance de réagir. J’espère que nous transformerons ces réactions en quelque chose de positif et de durable lors de la prochaine législature de ce Parlement, en une législation sur la protection des données dont nous pourrions tous être fiers », a déclaré le rapporteur Claude Moraes (S&D, UK). « Il s’agit de la seule enquête internationale sur la surveillance de masse (…) Même le Congrès américain n’a pas mené d’enquête », a-t-il ajouté.

Le Parlement ne devrait pas donner son aval à l’accord final de partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) avec les États-Unis à moins qu’il ne respecte pleinement les droits fondamentaux de l’UE, souligne la résolution. Le texte ajoute que la protection des données devrait être exclue des négociations commerciales. L’approbation du Parlement « pourrait être menacée tant que les activités de surveillance de masse et l’interception des communications au sein des institutions et des représentations diplomatiques de l’Union européenne n’auront pas été complètement abandonnées », précise le texte.

Par ailleurs, les députés demandent la « suspension immédiate » des principes de la « sphère de sécurité » (normes volontaires sur la protection des données pour les entreprises non-européennes qui transfèrent des données à caractère personnel de citoyens de l’UE aux États-Unis). Ces principes « ne permettent pas d’assurer une protection suffisante pour les citoyens de l’Union », affirment les députés. Ils invitent instamment les États-Unis à proposer de nouvelles dispositions sur les transferts d’informations personnelles, qui répondent aux exigences européennes de protection des données.

Selon les députés, l’accord sur le programme de surveillance du financement du terrorisme (TFTP) devrait également être suspendu tant que les allégations selon lesquelles les autorités américaines ont accès aux banques de données de citoyens européens en dehors de l’accord, n’ont pas été clarifiées.

Protection des lanceurs d’alerte et nuage informatique européen

Le texte appelle à un « programme européen de protection des lanceurs d’alerte », qui accorde une attention particulière à la « complexité du lancement d’alertes dans le domaine du renseignement ». De plus, les États membres sont invités à examiner la possibilité d’octroyer aux lanceurs d’alerte une protection internationale contre les poursuites.

L’Europe devrait également développer ses propres nuages et solutions informatiques, notamment en matière de cybersécurité et de technologies de cryptage, afin de garantir un niveau élevé de protection des données, selon le texte.

Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Pologne devraient clarifier les allégations de surveillance massive - notamment les éventuels accords entre les services de renseignement et les entreprises de télécommunications sur l’accès et l’échange de données personnelles ainsi que l’accès aux câbles transatlantiques - et leur compatibilité avec la législation européenne, affirme le texte.

D’autres pays de l’UE, en particulier ceux participant aux programmes « 9-eyes » (Royaume-Uni, Danemark, France et Pays-Bas) et « 14-eyes » (ces mêmes pays plus l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, l’Espagne et la Suède) sont également instamment invités à revoir leur législation nationale afin de garantir que leurs services de renseignement soient soumis à un contrôle parlementaire et judiciaire ainsi qu’à une surveillance publique, et qu’ils respectent les obligations en matière de droits fondamentaux.

Contexte

L’enquête de la commission des libertés civiles concernant la surveillance massive des citoyens de l’UE a débuté en septembre 2013. Au total, 16 auditions ont été organisées (pour plus de détails, voir la note d’information à ce sujet).

Procédure: résolution non législative

REF. : 20140307IPR38203
Contact
  • Nora CHAAL
  • Unité Presse
  • Telephone number(+32) 2 28 32269 (BXL)
  • Telephone number(+33) 3 881 78290 (STR)
  • Mobile number(+32) 498 98 34 02
mercredi 19 février 2014

Six innovations technologiques anti-NSA qui pourraient bien changer le monde

Plutôt que de ramper et de supplier le gouvernement US de respecter notre vie privée, ces innovateurs ont pris le problème à bras le corps, et leur travail pourrait bien complètement changer la donne. 
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Les gens avaient l’habitude de penser que le gouvernement des États-Unis était retenu par la Constitution, qui interdit des recherches et des saisies déraisonnables et qui requiert le respect des procédures lors des enquêtes criminelles, mais de telles illusions se sont évaporées ces dernières années. Il s’avère que la NSA se considère au-dessus des lois à tous les égards et se sent en droit d’espionner n’importe qui, n’importe où sur la planète sans mandat, et sans réelle supervision.

Évidemment, ces révélations ont choqué le citoyen moyen qui a été conditionné à prendre les paroles du gouvernement pour argent comptant, et les répercussions ont été considérables. La récente campagne « The Day We Fight Back » en protestation des pratiques de surveillance de la NSA démontre que le cœur du public est à la bonne place. Que ces genres de pétitions et de manifestations aient un réel impact sur la manière dont opère le gouvernement US est une toute autre question; toutefois quelques personnes très intelligentes ont décidé de ne pas attendre les bras croisés, pour voir ce qui peut se passer. Ils se concentrent plutôt à rendre impossible le travail de la NSA. Dans le même temps, ils pourraient bien fondamentalement changer la façon dont fonctionne Internet.

1 – Médias sociaux décentralisés – vole.cc

Quiconque aura un tant soit peu prêté attention ces dernières années sait que beaucoup des plus grands sites de médias sociaux, tels que Facebook et Google ont coopéré avec le programme de surveillance de la NSA nommé PRISM, livrant les informations personnelles qu’ils ont conservées au fil des ans. Beaucoup d’entre nous en sommes venus à mépriser ces entreprises mais continuons à utiliser leurs services, du fait qu’aucun concurrent sérieux se soit encore présenté. Oui, il existe quelques sites qui sont orientés vers la niche anti-gouvernementale, mais rien qui n’a le potentiel d’ouverture et la portée de diffusion qui est possible sur Facebook et Google+.

Le problème sous-jacent est que la technologie des serveurs nécessaire à la gestion d’un site même de la taille d’une fraction de ce qu’est Facebook est extrêmement onéreuse, et construire une base de code qui puisse gérer des millions d’utilisateurs nécessite une équipe de programmeurs hautement qualifiés, à plein temps. Ceci implique que celui qui veut lancer un vrai concurrent à ces sites a besoin d’avoir été très bien financé et d’avoir un modèle économique qui tienne face à la réalité. Mais… Et si quelqu’un trouvait un système qui enlève le besoin de recourir à des serveurs massivement centralisés?

C’est précisément ce que vole.cc œuvre à réussir. Vole.cc est un système de média social décentralisé en cours de développement basé surBittorrent et Ember.js qui enlève complètement le serveur de l’équation et permet aux utilisateurs de construire des réseaux de médias sociaux sans exposer leurs informations personnelles aux « autorités » ou aux entreprises de revente de données personnelles.

2 – Getsync, le partage de fichiers décentralisé et crypté: une alternative à Dropbox

À la suite des révélations que les données dans l’iCloud d’Apple étaient disponibles pour la NSA dans le cadre de PRISM, il est devenu clair que tout service de partage de fichiers centralisé est vulnérable, et toutes les informations que vous uploadez vers des services comme Dropbox peuvent se retrouver à être examinés par des agents du gouvernement. Les gars à Bittorrent n’ont pas aimé cette idée, et ils ont donc décidé de construire une alternative viable, une alternative qui ne dépend pas du tout d’un serveur centralisé et qui crypte vos données pour rendre leur ouverture aussi difficile que possible, voire impossible sans votre permission. Le service affirme avoir déjà rassemblé plus de 2 millions d’utilisateurs. Fait notable, le projet de média social vole.cc utilise Getsync pour gérer les données des médias sociaux sur votre ordinateur.

3 – Des communications décentralisées et cryptées – le « chat » Bittorrent

Vous n’aimez pas le fait que la NSA ait fouillé dans vos conversations Skype, vos emails et autres services de messagerie instantanée? Eh bien si vous étiez un peu doués au niveau technique, vous auriez peut-être choisi de monter votre propre serveur Mumble ou chaîne IRC, mais cette option ne sera sans doute jamais à portée du citoyen moyen et la dépendance en un serveur centralisé apporte des vulnérabilités de sécurité. Cependant, des travaux sont actuellement en cours sur un protocole qui retirera entièrement le besoin en un serveur centralisé et exclura complètement la NSA de la boucle.

4 – Des sites web décentralisés

Cette année isohunt.com a été fermé, et The PirateBay a dû changer de domaine plusieurs fois de suite pour éviter les saisies de noms de domaines et les blocages d’adresses IP dans plusieurs pays. Ceux d’entre vous qui ont fait attention savent qu’il y a beaucoup plus en jeu ici que la survie des sites de partage de fichiers.

Des gouvernements autour du monde en sont venus à voir Internet comme une menace à leur domination du fait qu’il permet aux citoyens de communiquer hors des canaux officiels et d’organiser la résistance. Des tentatives répétées de passer des lois comme SOPA, PIPA, et le TPP (et aussi TAFTA, ndt) illustrent très clairement que les officiels au gouvernement ont tout Internet dans leur ligne de mire.

The PirateBay, toutefois, a trouvé une solution pour leur site qui pourrait finir par changer toute la manière dont nous naviguons l’Internet. The PirateBay développe un logiciel qui distribue son site web parmi ses utilisateurs, rendant tout effort visant à fermer leur site inutile. Alors que ce logiciel ne vise qu’à protéger The PirateBay, le concept pourrait (et devrait) être appliqué au reste du web. Le faire rendrait non seulement la fermeture de sites par le gouvernement impossible, mais cela rendrait la possibilité de vous espionner à travers les sites web que vous visitez beaucoup plus compliquée.

5 – Des téléphones anti-NSA – le Blackphone

La NSA a enregistré et écouté les conversations téléphoniques des gens tout autour du monde sans mandat. Même le téléphone de la puissante Angela Merkel a été mis sur écoute. Cela n’aide pas que les deux plus puissants fabricants de téléphone, Apple et Google, couchent ensemble avec la NSA. Une entreprise suisse a décidé de faire quelque chose à ce sujet, et ils ont mis au point un téléphone conçu pour bloquer la NSA et protéger votre vie privée. Ils l’ont appelé le Blackphone.

6 – Des emails entièrement cryptés

Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais à chaque fois que vous envoyez un email vous envoyez tout un tas d’informations au destinataire (et à toute tierce partie interceptant vos communications). Parmi ces informations figure votre adresse IP, qui dans beaucoup de pays peut être utilisée pour localiser votre position sur une carte avec une précision étonnante. Ceci est dû au fait que même si vous cryptez votre message en lui-même ses intitulés, eux, ne sont pas cryptés.

Il y a un projet actuellement en cours de développement pour changer cela, il s’appelle Darkmail. Le projet Darkmail vise à introduire un « protocole de cryptage d’un bout à l’autre unique et une architecture qui est la ‘prochaine génération’ d’emails privés et sécurisés. » S’ils y parviennent, la NSA pourra surveiller vos emails autant qu’ils le veulent, tout ce qu’ils réussiront à voir c’est la taille du message.

Mettez ensemble toutes ces technologies et ce que nous voyons émerger est un nouveau paradigme de communications où les réseaux décentralisés remplaceront les énormes serveurs, et où les géants des médias sociaux comme Facebook et Google peuvent très bien se voir prendre le même chemin que les dinosaures/MySpace. Si vous ne pouvez pas les battre à leur propre jeu, rendez leur jeu inopérant.

Voici une technologie bonus qui pourrait rendre YouTube obsolète:

Références: 

Média social décentralisé Vole: http://vole.cc/

Getsync: l’alternative décentralisée et cryptée à Dropbox: http://getsync.com/

Konstantin Lissounov, un ingénieur bulgare développe une alternative à Dropbox, décentralisée et cryptée:http://www.wired.com/business/2014/02/bittorrent-sync

Chat décentralisé et crypté avec Bittorrent: http://labs.bittorrent.com/experiments/bittorrent-chat.html

The PirateBay travaille à une version p2p de son site web: http://www.ibtimes.co.uk/pirate-bay-developing-p2p-network-tool-trump-isp-blockades-1431160

Le téléphone anti-NSA: http://mashable.com/2014/01/15/blackphone/

Le projet d’emails cryptés, Darkmail: http://darkmail.info/

Source : globalepresse

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